Plus de chips, plus de fun, plus de morts.
Comme elle est ingrate parfois la tâche de rédacteur…
Comment vous parler de Guillaume Montiage de manière objective sans imaginer quels drames pourraient se nouer si un membre de sa famille devait lire un jour ces lignes.
Comme elle tremble la déontologie du chroniqueur qui vous doit la vérité sur les origines et les activités de Sébastien Duverger-Nédellec alias Beus…
Il n’est pas besoin de savoir les circonstances de leur rencontre ni la nature des travaux d’utilité publique qu’ils partagèrent pour dédommager leurs victimes. Point n’est besoin d’évoquer le trouble présidant à leurs relations et la curieuse manière qu’ils ont eu de collaborer qui provoqua des hauts de cœur au personnel du centre de resocialisation. Si d’aucun jugent avec sévérité la légèreté des peines effectuées par ces deux hommes aux destins immondes, il est à la fois inutile de s’étendre sur le sujet d’autant qu’ils ont été suffisamment menaçants et explicites sur les conditions de rédaction de cette news.
Il y a 10 ans déjà, Guillaume Montiage savait qu’il ne saurait jamais quoi faire de sa vie. Il fit donc rédiger par une équipe de nègres “Beverly Place” vendu pour une somme monstrueuse à l’éditeur Asmodée. Celui-ci frôlant la banqueroute revendit alors tous leurs accents aigus à un conglomérat de riches orthophonistes. Il suffit d’écouter la pathétique Radio des Jeux pour comprendre les liens que Guillaume M tisse depuis sa plus tendre enfance avec ces spécialistes de l’élocution.
Ce jeu destiné à de riches étudiants désœuvrés en mal de sensations permettait de camper, le temps d’une soirée, quelques rôles abracadabranquestes inspirés de manière lointaine de tout ce qui fait la grandeur de la narrativité oniricokitchosanglante immature de la grande Amérique.
Cette nouvelle fortune dilapidée en quelques jours l’amena a renouveler l’expérience avec d’autres créations psychotiques.
C’est dissimulé par la poussière soulevée dans son sillage infernal qu’il réussit à faire rédiger son dernier volet par celui qu’il présente ignominieusement comme un coauteur : Sébastien Duverger-Nédellec dont le patronyme laisse présager une naïveté et une oisiveté toute bretonisante expliquant bien des choses.
Voici donc le résumé officiel de la chose :
A quelques kilomètres de Beverly Place, le soir d’Halloween, dans un chalet isolé au milieu d’un lac se situant lui-même au dessus d’un ancien cimetière indien, des jeunes gens font la fête en mangeant des chips. Ces jeunes gens (que l’on pourrait difficilement qualifier de « Prix Nobel ») ignorent que Georgie Tobby, le célèbre serial killer rôde dans les environs. Pour être honnête, ils le savent mais ils s’en fichent. Tout d’abord parce qu’ils ont assez de chips pour tenir 3 semaines et ensuite parce que parmi eux se trouve le seul et l’unique Chuck Norris. Ce qui est bizarre aussi, c’est que Georgie Tobby, le fameux « tueur au palet » a disparu il y a 20 ans juste après avoir massacré toute une équipe de Hockey et leurs petites amies qui étaient venus faire la fête au fameux chalet. De là à dire que le chalet est maudit…
Point n’est besoin de s’étendre plus sur la chose pour comprendre l’esprit nihiliste et sociopathe qui préside à cette Murder Party qui est hélas disponible à toutes et tous en téléchargement libre.
Après avoir essayé de ruiner ses précédents éditeurs, c’est cette fois à toute la profession que s’en prennent ces deux mécréants en proposant un jeu complet et gratuit qui n’a pour autre ambition que de détourner la jeunesse de leurs habituelles et couteuses valeurs festives tout en réussissant le pari incroyable de proposer un jeu sans aucun composant éducatif.
Rendez-vous compte par vous même en téléchargeant “Beverly Place 2” ici.
La radio des jeux
“Beverly Place deux”
Un chose commise par Sébastien Duverger-Nédellec & Guillaume Montiage
Édité on ne sait trop comment
Pour 11 mangeurs de chips
Incroyablement disponible depuis peu