Wonderdice se dirait pas intéressé. Huhuhu.
On dirait qu’Hachette a observé Bragelonne et s’est dit “le jeu, tiens, on avait oublié, mais c’est une bonne idée ça ?”.
Tout le monde se réjouit de ce rachat mais, on le voit dans d’autres domaines, ce sont souvent des démarches opportunistes de groupes qui n’ont rien à voir historiquement parlant avec le secteur et qui cherchent à faire encore plus de chiffres d’affaires …c’est un peu du n’importe quoi…le monde du jeu ne s’improvise pas et demande un vrai savoir faire…
On aurait aimé un peu plus d’explications de la part d’Hachette. Le secret et la discrétion sont-ils nécessaires ? Ou bien au contraire un peu plus de pégagogie et de transparence sur les ambitions et les projets ne seraient-ils pas mieux accueillis (pour éviter les conjectures et rassurer) ? On est curieux dans le monde du jeu
On aurait aimé un peu plus d’explications de la part d’Hachette. Le secret et la discrétion sont-ils nécessaires ? Ou bien au contraire un peu plus de pégagogie et de transparence sur les ambitions et les projets ne seraient-ils pas mieux accueillis (pour éviter les conjectures et rassurer) ? On est curieux dans le monde du jeu
A court terme, il est peu probable que Hachette se sépare ou “casse” leurs nouvelles acquisitions. La filiale Hachette étant depuis plusieurs années celle qui représente une part très importante du résultat opérationnel du groupe (c’est dire).
Par contre, Lagardère, au-delà du fait qu’il fait pas bon être à la direction d’un de ses médias, n’est pas connu pour faire dans la dentelle. A chaque séparation d’activité, il y a forcément des remous (pour ne pas dire parfois de la casse). Des “départs volontaires” entre autre.
Si on essaye de voir la stratégie mise en place depuis une dizaine d’années, on peut imaginer l’arrivée de titres Gigamic / Studio H dans les lieux de transports comme les gares ou les aéroports, (d’ailleurs peut être y trouves-t-on déjà des jeux dans ces lieux ? je ne les fréquentes pas :D) voir des jeux du catalogue Blackrock.
Le prix du livre étant réglementé, cela va être intéressant de voir si avec des produits comme les jeux de société ils vont se lâcher ou pas.
Si on met de côté toutes les questions ou les craintes qu’on peut avoir en essayant d’y voir du positif, la question de la TVA sur les produits culturels pourraient enfin être mise sur la table.
Car si Asmodee n’a pas réussi (ou même essayé, j’avoue ne pas savoir), il n’est pas impossible qu’un groupe comme Lagardère puisse s’y intéresser et réussir. Ils ont certainement les bons contacts et la possibilité de faire du lobbying.
De la même manière, avec leurs acquisitions dans le digital et si on regarde ce qu’ils font avec leurs locomotives comme Asterix par exemple, on peut imaginer qu’ils suivent la même route déjà prise par Asmodee avec le cross média. Là ou Asmodee essaye de s’insérer dans le monde du livre, Hachette s’y trouve déjà.
Pouvons nous imaginer l’arrivée de B.D. ou de romans développant le background de grosses IPs ? Et en cas de succès, du cinéma ?
Pourquoi pas. Certes, pas demain. Mais peut être après-demain.
Voilà… c’est ça !.. Ou pas !.. On ne sait pas trop en fait !
Bref, « on s’autorise à penser dans les milieux autorisés qu’un accord secret pourrait être signé »… je n’en vous fais pas la fin, n’est-ce pas ?
C’est peut-être aussi pour ça que, opportunistes ou non, les groupes r’Hachette du savoir-faire qui ne s’improvise pas
On attendais pas une troisième nouvelle “surprenante” ?