Allez, un coup de second degré à la con, ça me fait bien rire, toutes ces polémiques:
- Or donc, en attribuant la pièce de puzzle bleue à une fille, pièce qui plus est pourvue d'un embout turgescent, l'organisation montre clairement son parti pris, sa volonté d'aider à propager une théorie des genres nauséabonde. Une fille qui porte du bleu, et qui pénètre manifestement un jeune homme qui en a l'air tout ravi! Mais que devient notre société, qui brouille les signaux pourtant clairs? Une fille, c'est rose, et ça reçoit ! J'exige que l'organisation dévoyée de ce festival soit brûlée vive!
Deuxième type d'argument à la con:
- Bonjour. Je ne me reconnais pas dans cette affiche, qui en présentant un homme et une femme sveltes et manifestement heureux de l'être, se fait la porte-parole des diktats fascistes de la minceur à tout crin imposée par une société de consommation putride et uniformisante. J'ai un problème de surpoids, moi, et je suis un joueur! En quoi cette affiche me représente-t-elle? Et tout mon cercle de joueurs (qui est large, dans presque tous les sens du terme) est bien d'accord avec moi! Non à l'anorexisation des joueurs et joueuses!
Et le dernier pour la route, je ne crois pas l'avoir encore vu (attention, celui-là va être court):
- Deux blancs sur l'affiche, bien sûr.
Je le répète, parce qu'on ne sait jamais: ce sont des arguments à la con, hein, pas de la vraie pensée. Du second degré, tout ça.