[Comment j’ai adopté un dragon][Rory’s Story Cubes]
Si pour les biologistes la différence entre un gnou et un dragon est un abîme sans fond, tel n’est pas le cas des “sympathiques” Hirschfeld et Bleuze qui jonglent avec l’absurdité potache comme… des jongleurs ? (Il faut vraiment que je soigne un peu plus mes chutes…)
Comment j’ai adopté un gnou, est un jeu dans la ligne des deux complices : un prétexte pour raconter des imbécilités qui font rire la bouche, les yeux et même le reste parfois. Ils ont explorés le théâtre, les cartes, l’écriture et sont en ce moment dans leur période dés colorés. Même si nous sommes proche des story dices ou autres cousins de dés narratifs, l’approche des deux "amuseurs" demande un peu moins d’habileté dans la narration et l’imagination. Pour faire simple vous lancez des dés qui sont des accroches ou des rebondissements d’une histoire, d’une conversation ou d’un discours. Il faudra placer les dés dans notre improvisation verbale ce qui nous mènera immanquablement vers de l’absurde ou du non-sens. La compréhension de ces deux élément et l’usage d’un langage sont les seuls prérequis.
Avec le Gnou 2014 nous avions des « Je dois vous avouer… », « Vous allez me dire… » et autre « donc » qui sont finalement assez simples à caser.
Avec un Dragon 2016 c’est exactement le même jeu mais avec d’autres dés du même bois : « En réalité… », « Coup de bol… », « Sauf que… », …
Notez que 24 c'est 42 à l'envers ce qui prouve l'origine sataniste du jeu
On trouve des thèmes imposés histoire de démarrer la machine et un dé noir de vilain petit canard pour perturber le narrateur mais rien de vraiment méchant.
On peut donc mélanger les deux versions, commencer par l’un et continuer par l’autre ou l’inverse. Pour le coup nous sommes vraiment dans du jeu d’apéro léger qui est plus prétexte à parler drôle que titiller notre esprit compétitif.
EN REALITE je surfais sur le net quand j’ai découvert que les deux imbéciles avaient sorti un nouveau jeu, DONC SANS HESITER je me dis que les deux couillons ont dû me prévenir SAUF QUE pas du tout, visiblement ils s’en foutent et je pense donc à me venger mais QUAND J’ETAIS PETIT on m’a dit que c’était mal alors il fallait trouver autre chose. ET LA COUIC ! J’écris un article ou je les traite de couillons.
(Ce petit texte suit à peine les règles officielles de la fédération européenne de Comment j’ai adopté… parce que je fais comme je veux avec mes dés !)
C'est d'ors et déjà disponible chez tous les bons plombiers-chauffagistes.