[La Course à l’Élysée]
La Course à l’Élysée, est un jeu de Abel Lanzac, édité par Letheia et si vous voulez savoir comment le jeu fonctionne , regardez donc les explications de la charmante Stéphanie.
Je comprends mieux pourquoi Mops serait Ministre de la Culture avec 4 points ;). Sinon, certes le jeu est opportuniste quant à sa sortie, mais le fond est plutôt bon. Un jeu de parole guidé par des idées masquées, par forcément en lien avec ce que l’on pense vraiment. Une phase de vote (avec plus ou moins de mauvaise foi surtout en politique ^^), des points en rapport avec les idées jouées des autres. Le seul point noir de ce que j’ai vu serait un plateau trop grand pour son utilité, mais ceci n’est qu’un détail.
Je ne suis pas particulièrement emballé par ce jeu mais étant moi-même gamer et venant de l’édition livresque j’aimerais saluer l’audace et le courage de Mlle Stéphanie qui a crée sa maison d’édition et qui travaille avec les auteurs de l’une des BD les plus vendues en ce moment !
Les jeux basés sur l’éloquence ne sont pas les plus accessibles et, de ce fait, je comprends bien le 14 . J’attends la partie pour me faire un avis, mais la règle me semble intéressante dans le genre “party-game”. Ce qui me gêne un peu pour le moment, c’est le format de la boite (on dirait un format supermarché, pour la mise en avant). Malgrés la belle illustration, il aurait pu être beaucoup plus petit, Ce qui aurait permis de baisser le prix par la même (que je trouve un peu élevé).
Le jeu me semble pas mal, même si j’aime pas vraiment les jeux de débat. Je trouve intéressant qu’une aussi jolie fille, qui est nouvelle dans le monde du jeux performe aussi rapidement avec une bonne idée. je lui souhaite d’autre succès. Un seul commentaire, un plateau plus petit serait parfait.
…misere…(bien que charmante…)
Qui est gros?
Grand moment !
Un jeu qui peut être très didactique avec de jeunes étudiants. La règle de vote n’est-elle pas de choisir celui qui a eu le plus de verbe indépendamment du courant politique auquel on appartient?
pas verbe mais verve…
La citation d’Obélix était effectivement grandiose !