Le Goncourt des jeux de société

bonjour je reponds rapidement a tous ce débat plutot sur l'aspect prix.

La journaliste a inventer ce nom, ce n'est pas un goncourt c'est simplement le prix public du jeu de st herblain( on cherche un nom plus rigolos).

Deuxiéme chose il n'a pas été créer pour médiatiser quoi que ce soit meme si l'on est content que l'on en parle, d'ailleurs on attend un article dans libération.

L'objectif c'est de faire rencontrer le public avec les auteurs et de pouvoir avoir une culture et un regard critique sur les jeux et ce qui est proposé; De faire prendre conscience qu'il y a des auteurs des illustrateurs et qu'il propose une aventure grace a un jeu.

Pour le jury nous le voulons le plus hétérogène possible, c'est a dire des joueurs invétérés avec des gens qui joue plutot en famille, dse joueurs de cafés car a nantes Enjouez vous anime 16 soirée dans le mois dans ces estaminet, des joueurs qui aime ce retrouve dans leur ludothèques de quartier parce que l'on se connait bien et ainsi de suite.

Par contre j'apprécie que roberto est balancé cet article car il entraine des reflexions et des positions intéressante qui vont nous permettre d'affiner notre réflexion sur ce sujet.

A bientotexplication

résultat le 15 fevrier durant le grand week end de la carriere et remise du prix à l'auteur le 21 janvier

sympa, l'auteur aura son prix 3 semaines avant les résultats :D

pardon c'est le 21 fevrier au centre social du soleil levant de st herblain

Le gagnant est... MAKA BANA !

Remise du prix le 21 février.

Je suis parfaitement suis d'accord : faire vivre le jeu sous toutes ses formes est un plus. Fédérer cette promotion est aussi une bonne idée.

Pour l'aide publique je suis moins réceptif : La tradition politique de soutien économique à la français...

Sans rentrer dans un débat, qui lui aussi serait politique, la notion d'aide économique de l'état est une vraie fausse bonne idée : quelque soit le domaine, elle se résume souvent a "celui qui connait bien son produit" et "celui qui connait bien le ministre"... devinez qui aura la subvention ?

La perfusion de l'état est un piège : elle fait souvent vivre artificiellement des secteurs qui n'ont aucun avenir commercial... sitot qu'on débranche la perf, on se retrouve avec des dizaine de manifestant qui vilipendent "l'état providence, qui refuse ses responsabilités".

Que l'état soutienne l'art, le cinéma et les secteurs par essence non rentables, c'est un devoir...

Pour les secteur "industriels" c'est plus discutable dans l'état actuel des choses : cf. le secteur du jeu vidéo.