Un jeu de cartes sur les smileys, signé Faidutti et Bouquin
Quatre, trois, deux. “Smiley Face”, le prochain jeu que Bruno Faidutti et Gwenaël Bouquin s’apprêtent à sortir chez FFG (et très certainement chez Edge dans les mois qui viennent), sera le quatrième de la gamme familliale de FFG. Ce sera également la troisième collaboration entre les deux auteurs, et le deuxième jeu de Bruno Faidutti chez FFG.
“Smiley Face”, comme son nom l’indique va traiter des émoticones, quand on parle le bon françois, ou les smileys quand on ne respecte rien. Il s’agira d’un jeu de cartes, 82 pour être exact, la plupart représentant les smileys (on ne respecte rien chez Tric Trac) de quatre familles, avec des valeurs plus ou moins fortes. Il y a encore peu d’informations sur le site de l’auteur mais ce qui fait le sel du jeu est de savoir abandonner la course aux armements durant une manche quand on se rend compte qu’on est juste en train de dépenser inutilement ses cartes. IL est alors possible d’aider un joueur en lui refilant des cartes. Un bon soutien pouvant rapporter plus de points qu’une manche remportée. Des manches, une partie en comprend sept. A son tour, un joueur doit simplement jouer une carte de sa main ou passer. Il y a aussi pas mal de cartes spéciales qui permettent de mettre des bâtons dans les stratégies si bien réglées de ses adversaires.
Le jeu devrait sortir durant l’été en anglais et en français. Sans plus de précisions pour le moment.
Pour en savoir plus, le mieux est encore d’aller faire un tour sur le site de Bruno Faidutti ou, si vous lisez l’anglais, sur celui de FFG.
Il sort du chapeau ? je passe souvent sur le site de edge et il était m^me pas annoncé en préparation, rien...cela dit il a l'air sympa... Faidutti me déçoit pas mal en ce moment mais là ça semble prometteur et le thème intéressera pas mal les joueurs occasionnels. cet été ? si il sort du chapeau il doit être sacrément avancé sur sa production.
1. Même si Bruno Faidutti dit avoir tiré son idée d'origine de Pascal, il ne s'est pas départi lui non plus d'un thème quelque peu fantasy, puisque le roi auquel il pensait pour son divertissement semble n'être autre qu'Arthur (il parle d'ouvrir le bal avec Guenièvre).
2. Ceci nous rapproche d'autant plus d'un autre jeu duquel Smiley Faces semble être très voisin : le Camelot de Knizia. La principale différence me semble être la possibilité de soutenir un autre joueur.
Cela suffira-t-il à démarquer le jeu ? Peut-être. En tout cas je trouve les cartes sympathiques (même si elles me rappellent Wazabi), et j'attends de voir le résultat final.
Ouille ... Je critique rarement les graphismes d'un jeu, mais là, vraiment, les gros smileys, je trouve ça particulièrement repoussant ... Et quand, de plus, l'historique sur le site de l'auteur nous montre une idée de base tirée de Pascal, ce qui aurait été autrement plus classieux, je pleure ...
Quand donc les éditeurs laisseront les auteurs libres de choisir le thème de leur oeuvre ? Pour une vraie réussite (Marchand d'empire qui devient Himalaya), combien de désastres ?
Enfin, peut-être que l'éditeur aura eu raison au bout du compte d'imposer ce thème, mais bon, j'en doute fortement ...("Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous ayons mis quelque chose devant pour empêcher de le voir")
Il s’agira d’un jeu de cartes, 82 pour être exact, la plupart représentant les smileys (on ne respecte rien chez Tric Trac) de quatre familles, avec des valeurs plus ou moins fortes. Il y a encore peu d’informations sur le site de l’auteur mais ce qui fait le sel du jeu est de savoir abandonner la course aux armements durant une manche quand on se rend compte qu’on est juste en train de dépenser inutilement ses cartes. IL est alors possible d’aider un joueur en lui refilant des cartes. Un bon soutien pouvant rapporter plus de points qu’une manche remportée. Des manches, une partie en comprend sept. A son tour, un joueur doit simplement jouer une carte de sa main ou passer. Il y a aussi pas mal de cartes spéciales qui permettent de mettre des bâtons dans les stratégies si bien réglées de ses adversaires.