Durant le Festival International des jeux de la ville de Cannes, les visiteurs pouvaient compter sur le Tric Trac Mag pour savoir quoi aller voir. Mais ça vous le saviez peut-être puisque nous avons fait une annonce sur ce petit événement.
Le tirage.
20.000 exemplaires ont été imprimés et 17.000 ont été distribués sur place, rencontrant un bon écho, voire un petit succès, limite un record ! Pourquoi 17.000 et pas 20.000 ? Simplement parce que Origames, qui s’est occupé de tout de main de maître, a gardé 3000 exemplaires pour que les boutiques qui le souhaitent puissent en avoir à poser sur leur comptoir.
Les boutiques.
Là, et c’est amusant puisque cela fait un doux écho avec la grosse discussion actuelle qui parlent de monopole à position dominante de la part d’Asmodee (et bien souvent de notre allégeance à l’ogre qui va tuer le secteur), ce sont 3 distributeurs qui vont s’occuper d’envoyer l’objet aux boutiques qui en font la demande. Il s’agit de Black Rock, Olympie et Iello. Oui. Si vous êtes une boutique et que vous voulez avoir quelques exemplaires sur votre comptoir, vous savez à qui réclamer… C’est gratuit !
Un Magazine gratuit qui avait de la gueule !
En ligne.
Ce Magazine a(vait) pour vocation de toucher les gens qui ne nous connaissent pas. En gros, un spécialiste du jeu, un joueur chevronné n’a aucun intérêt à se procurer l’objet (si ce n’est par affection). C’est un outil pour attraper du joueur qui s’ignore. Un appât. Mais Origames vient de mettre ce numéro en ligne au format PDF afin que tout le monde puisse le consulter. Un bon moyen de se rendre compte de la qualité du travail effectué par l’équipe qui s’est chargé de la chose, car, à part quelques photos narcissiques, nous n’avons rien fait.
Le futur.
Sur le salon, tout le monde (à part un ou deux vieux grincheux*) a félicité les qualités de l’initiative et sa réalisation. On nous a demandé si nous allions renouveler. Des boutiques nous ont fait part de l’envie d’avoir ça régulièrement sur leur comptoir. Nous avons répondu qu’Origames doit d’abord faire les comptes et que nous allions ensuite étudier la faisabilité du truc. Nous sommes chauds, forcément, mais nous verrons bien…
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Ndlr : * si ce sont vraiment de vieux grincheux, ils devraient mal le prendre, mais s’ils ont gardé leur sens de la dérision, tout devrait bien se passer parce qu’on les aime bien quand même.
(surtout pour ceux qui comme moi n'ont pu aller à Cannes et ne vivent la manifestation qu'aux travers des différents reportages vidéos ou photos !).