Exactement… c’est pour ca que je pense que c’est mort… ils ont tellement dépensé qu’ils ne pourront jamais ne serait ce que rembourser les gens… ces gens devraient être endettés à vie pour rembourser le maximum.
Ben, tu as des gens, pour Sans détours, qui ont porté plainte, qui en souffrent, car c’est épuisant, mais qui ont tenu le coup.
Si personne ne porte plainte et ne prend sur soi (en plus du préjudice) pour porter l’affaire, tu n’auras pas ton enquête.
Toi t’as pas lu l’article, puisqu’on y parle des invités qui viennent avec des jeux…pour éviter ces relous, tu devrais justement n’inviter que des gens qui n’aiment pas jouer…
Ah, si la vie était si simple…
Fut un temps où, en couple, je sortais bcp, et je devais être estampillé “Mr jds”, du coup, si j’amenais du jeu, c’était “il peut pas s’en empêcher”, et dans le cas contraire “ah, tu n’as pas amené de jeux ?” alors qu’ils l’espéraient…
Du coup, j’ai fini par trouver la parade : prendre des jeux qui tiennent dans la pôche de la veste et ne les sortir qu’à la demande…
trouver un sac à dos anodin dans lequel on puisse mettre en toute discretion Les Demeures de l’Epouvante avec toutes ses extensions. Un modeste et discret sac à cajon péruvien de 30 x 30 x 50cm devrait suffire. Il se remarquera à peine dans l’entrée au milieu des chaussures.
(Et oui, pour un article sur les “relous”, il est très, très sympa avec les joueurs)
Moi, quand j’allais au travail, c:était pour gagner des sous.
Et ce même si mon travail était intéressant, j’étais capable de trouver des activités bien plus intéressantes mais malheureusement pas payées.
Je sais qu’il y a des gens qui vont me parler du rôle social du travail et autres fariboles qui ne résistent pas à un ticket gagnant du loto. À l’heure des neurosciences, je pense qu’on est capable de dire que si les humains travaillent, c’est pour la nourriture, la sécurité, la reproduction, etc. Si on peut résoudre ces besoins de façon moins fatigante, on le fait.
Quand je joue par contre, c’est juste pour le plaisir.
Et quand il m’arrivait de jouer à des « jeux » au boulot, c’était pour le chèque en fin de mois, pas pour le fun.
Il y a peut être des objets « jeu de société » en entreprise, mais comme ils sont utilisés pour autre chose que le plaisir, il n’y a pas d’activité « jeu », juste du travail de management ou de ressources humaines qui utilisent un objet jeu.
Je trouve marrant de constater que l’entreprise et le travail ont maintenant tellement de mal à justifier une utilité autre que financière qu’il leurs faut aller piller les activités de loisir.
Je deviens peut-être parano sur les articles générés par IA , mais je le trouve un peu curieux cet article, notamment au regard des exemples. Un 7 wonders en serious game d’entreprise ? Un loup garou pour résoudre les tensions dans l’équipe ?
J’en fais (malheureusement , je rejoins jmguiche sur la vision du jeu et son lien au travail) des ice breakers et autres team building en entreprise, mais les outils qui sont utilisés sont très généralement des “jeux” inventés pour . Parce qu’il doit y avoir un but dans l’exercice ludique et surtout il faut un jeu facile à mettre en place , aux règles vite assimilés. La seule exception dont je me rappelle ça a été un Bandido que j’ai découvert à cette occasion. Mais c’est vraiment ponctuel.
Le jeu en entreprise, ça existe et j’en fait mais justement en pause déjeuner, hors du cadre du travail sans autre objectif que le plaisir
J’ai animé pendant quelques mois un atelier jeux de société hebdomadaire au sein de mon entreprise (quittée depuis) programmé sur la pause déjeuner.
La hiérarchie avait validé l’idée sur le principe d’un temps informel pour provoquer la rencontre entre collègues de différents services (car on travaille mieux ensemble si on se connaît un minimum).
Durant ces activités, ce qui m’importait, c’était bien l’aspect “société” du jeu, et on y venait avant tout pour jouer.