[Cinéma] Le jeu des captures (partie 1)

Un Pan… ou plutôt pamphlet de notre société.

Tomboy est un film qui en dit long sur les préjugés et le formatage culturel. L’histoire d’une fille qui s’aperçoit que socialement, il y a des avantages à être considéré comme un garçon.

(Un peu le miroir de Billy Eliot (le danceur étoile) qu’on rabesse au statue de femmelette, comme si les loisirs connotés féminins étaient pour une caste inférieure d’être humain. Même si dans le cas du film avec Billy, c’est largement édulcorée.)

Relance - Shunpo

Il y en a un des deux qui rit.

Vicen dit

(Un peu le miroir de Billy Eliot (le danSeur étoile) qu'on rabAIsse au statuT de femmelette, comme si les loisirs connotéEs féminins étaient pour une caste inférieure d'être humain. Même si dans le cas du film avec Billy, c'est largement édulcoré.)

(kk fautes )
et ceci dit je déteste billy elliot , y'a pas de propos , c'est en effet un gros marshmallow caricatural à l"américaine qui fait proutch

je suppose que c’est pas les 7 samouraï ?

galadriel dit :je suppose que c'est pas les 7 samouraï ?
 
Je ne crois pas... Et c'est pas moi non plus.
galadriel dit :
Vicen dit

(Un peu le miroir de Billy Eliot (le danSeur étoile) qu'on rabAIsse au statuT de femmelette, comme si les loisirs connotéEs féminins étaient pour une caste inférieure d'être humain. Même si dans le cas du film avec Billy, c'est largement édulcoré.)

(kk fautes )
et ceci dit je déteste billy elliot , y'a pas de propos , c'est en effet un gros marshmallow caricatural à l"américaine qui fait proutch

Oui trop guimauve. Pourtant les pressions exercées sur les garçons pour qu'ils fassent montre de virilité, sont un problème sérieux qui gangrène notre société (et participe à la misogynie ambiante).

("Loisirs connotés". Même le mot "féminins" est au masculin (pluriel). Autant je veux bien être une quiche lorraine en orthographe, mais sur l'accord, je suis sûr de moi.)



 

Et il n’y a pas d’araignée non plus.

enpassant dit :Et il n'y a pas d'araignée non plus.

Dis moi si je me trompe :

Quand le chat n'est pas là, le fromage à la crème de lait des enfants n'est gardé par personne.

galadriel dit :je suppose que c'est pas les 7 samouraï ?
 

non désolé :) pas de toshiro mifune mais c'est un tres grand acteur japonais

pour l'anecdote, les katanas et autres armes n'étaient pas factice, de véritable katana de maitre

andellyon dit :
galadriel dit :je suppose que c'est pas les 7 samouraï ?
 

non désolé :) pas de toshiro mifune mais c'est un tres grand acteur japonais

C'est Pu Khu alors?

Non, c’est Ha Rha .

On devrait trouver tantō.

Vicen dit :On devrait trouver tantō.

Cuore ? surprise

Sinon c’est Tatsuya Nakadai dans Harakiri de Masaki Kobayashi.

jwel_01 dit :Sinon c'est Tatsuya Nakadai dans Harakiri de Masaki Kobayashi.

oui c'est ca bien joué 

un magnifique film

Tatsuya Nakadai a tourné également avec Toshiro Mifune

si j'ai bien compris tu as la main

PS désolé je n'ai pas eu les notifications d'où ma réponse tardive
 

Pas de soucis, c’est l’été, on n’est pas pressés angel(en fait en hiver non plus yes )

Pour la relance, c’est les vacances

Après le harakiri, le yakuza, on est à fond dans le japon.

au pif à l’ambiance :
l’été de kikujiro ?

Tu as un bon pif 

C’est bien L’été de Kikujiro avec l’excellent caméléon artistique qu’est Takeshi Kitano. 

Road movie d’un duo improbable rencontrant de multiples personnages tout aussi improbables, un film très attachant si on se laisse embarquer dans l’histoire (moi à l’époque je me suis laissé embarquer et j’ai beaucoup aimé).



Avec L’Eté de Kikujiro, Takeshi Kitano revisite son enfance. En effet comme souvent dans ses films, on retrouve des éléments qu’il a vécu. Le père de Kitano s’appelait Kikujiro, comme dans le film. Ce film est donc un hommage qu’il rend à son père.
Le film conte l’histoire de Masao, un petit garçon, dont le père est décédé et dont la mère a disparu, qui est élevé par sa grand-mère. C’est les vacances, tous les amis du petit Masao partent à la mer. Une amie de sa grand-mère lui présente Kikujiro, un yakuza d’une cinquantaine d’années à qui elle demande de l’accompagner voir sa mère.
Livrés à eux-mêmes sur les routes du Japon, ils vont croiser de drôles d’individus. Leur périple sera fait de jeux délirants, de surprises parfois cruelles, de rêves, de cauchemar et de larmes.