Concours : [Cyclades Ext.] de Matagot

Au clair de ta lune, mon p’tit Dyonisos
Montre-moi tes prunes, tu es dans ton lit !
Un calva, une suze, ou de l’alcool de riz,
Oublie donc Bacchus et ouv’e ton bar gratos !

Dyonisos, Ô Dyonisos!
Mon Dieu, mon guide, imbibé jusqu’à l’os
Donne moi du vin, donne moi l’ivresse
Une belle paire de seins, quelques paires de fesses
Et je jure sur ta tête de toujours t’honorer
De célébrer ta fête jusqu’aux bras de Morphée

Fais-moi mal, Diony, Diony, Diony
Je n’suis pas une mouche… zoum!
Fais-moi mal, Diony, Diony, Diony
Moi j’aim’ l’amour qui fait boum!

Grâce à ton somptueux breuvage,
Ma verge toujours volage,
Autrefois qu’une petite bosse,
Par les dieux devient un os !

Bercé par Automne, Été tendrement s’endort
Bientôt nous foulerons au pied ton sacré fruit
Macéré et décomposé il sera or
Alors divin tu pourra t’enivré de lui

(Emergeant de derrière une tenture apparaît Dionysos).

Mortels ! (rire joyeux)
Durant mon périple dans les songes j’ai entendu vos odes et remercié Sibylle.

Que se dressent devant moi les héros qui méritent la gloire et une amphore pleine de vin !
Arthas 54, Ratchou, Olgir, Kaar, Rugal, Arnolad, vos odes ont été entendues. Ne pouvant me décider je vous remercie tous, et valide ce seuil.

Gloire à Artémis maintenant.

(Dionysos part en éclats de rires et disparait dans un couloir).

Ma douce et chere Artémis,
Puisses-tu aimer mes vers,
Car l’autre con qui sort d’une cuisse,
m’a lu la tête à l’envers.

Puisses tu faire de ma chasse,
Un succes de première classe,
Et qu’enfin cette belle brune
Concède à me montrer sa lune.

Je te vois sur Arté,
Miss de la chasse,
est-ce ton époque ?
n’es-tu pas de temps baroque ?

Vêtus de brun, perdus dans l’eau
Tu les domine toi de là haut
Un simple geste et tu t’en débarrasse
Sans un regard, déesse de la chasse.




:pouicvomi:

Biche parmis les Biches
Chasseresse aux grosses miches
Ton arc bandé, vises Toujours plus haut
Jusqu’ a touché la Lune dont tu es le Logo

Y a longtemps que nous n’avions pas parlé de toi Arthemix
Tu avais disparu, sans laisser un numéro de téléphone fixe !
Oups, peut-être qu’il ne s’agit pas de toi sur ce forum ?
Aujourd’hui, il n’y de place que pour les sur-hommes !

Artémis, guerrière à l’arc bandé
Ta flèche vient de nous toucher
Tel cupidon tu as semé l’amour
à tous les mâles aux alentours

Poètes venus en nombre, je suis flattée. Il est évident que vos coeurs s’emballent à l’idée de me plaire.

Vos odes me semblent d’ailleurs de meilleure qualité que pour les compères précédents. Il est vrai que comme muse, je fais des miracles.

Oui, vos mots me touchent, mais comme une flèche, tentez de transpercer mon coeur de ravissement. Le défi serait-il trop ardu ? Vos odes vont-elles se tarir à l’écoute de ces mots ?

Artemis, ma déesse, Beauté à l’arc d’or
Laisse moi devenir ton grand con qui (s) t’adore
Ouvre moi ton écrin ma vierge chasseresse
qu’enfin alors je puisse m’occuper de tes… ah ben zut, je trouve pas de rime !

Oh Artemis pleine de vertu,
il n’est point de défi trop ardu
Tant que te plaire reste mon but
A tes pieds je me mets nu.

ce qui me permet bien entendu,
comme t’es si joliment court vêtue
d’admirer ton endroits velu
que d’autre appelle fruit défendu

Artémis, chasseresse, ton arc est bien cassant
A chercher les caresses en défiant tes amants
Oui nous célébrons ta gloire, oui nous louons tes vertus
Mais vanité dérisoire finit en flèche dans l’… dos.

Dans cette douce nuit d’été,
j’aperçus, et perdu je fus
car d’Artémis, beauté cachée,
ses plumes, peut-être dans l’cul ?

:oops: mais :pouiclove: tout-de-même

Chifoumi, galant chassé chasseur d’image

Ô Artemis, tu chasses pour nos panses,
Carquois que tu lances,
Tes flèches sont un ART que tu tisses,
ET personne ne pourra dire “MISS”.

O Artemis, vierge entourée par cerf et biche
T’enfuyant sous les arbres, par un croissant de lune
je te poursuis, archère, pour surprendre tes miches
Mais Tu vas tellement vite, je ne vois que ta lune

Oeil de Tigre, tu as l’oeil affuté, tout comme le mien, mais prends garde à toi ! Qu’une flèche ne s’égare pas tandis que tu te retourneras fier de ton ode.

(Artémis est de mauvaise humeur, son arc semble avoir disparu).

Citoyens, une ode à mon arc perdu ! Je ne le trouve plus, apaisez mon chagrin de vos mots.

(Artémis part à la suite d’une biche, les mains vides mais portée par une volonté inébranlable).