Concours : [Cyclades Ext.] de Matagot

Nono, vous êtes compris et excusé.

Votre ode m'a amusé mais hélas je ne batifole pas avec les citoyens, mon sang est sacré et ma lignée puissante. Mes mains me chatouillent à l'approche d'une flamme et il est si facile d'embraser quelqu'un.

Sibylle ! Le barbecue !

Bon, il est l'heure de manger et de festoyer en ce week-end rallongé. Que ces quelques jours soient propice au jeu et à Cyclades ! Bon jeu !

Arthas54 dit:Hestia, meme discrete tu es crains !
Mais le Feu entre tes mains
Tel un Hadoken tu le lance comme un pain
Dans ma tronche qui résonne je fait moins le malin


Hey suis pas trop d'accord moi :pouicboulet:

Le feu est sacré
J’aime à le choyer.
Mère de mon foyer
Laisse le s'embraser.

O toi ma préférée, qui fait vibrer mon coeur
D'un feu ardent pour toi, je brule et me consumme
Bien que simple mortel, j'affronterai mille dangers
Pour un simple baisé de tes levres enflammées

Toi dont le feu sacré réchauffe nos piètres âmes
Comment gober qu'un jour Cronos t'ait recrachée
Nul mortel pour cela ne le sauverait du blâme

Par les cieux et la terre dont tu es la maîtresse
Puisses-tu être attendrie par les odes ou les tresses
Sois l'accueillant foyer prêt à tout avaler

Quatrain du dimanche soir :

Après Pirée et Olympie, chants et lyres,
De Vestales, suivi, à l'heure vespérale,
S'élèvent les effluves d'encens, de myrrhes,
Votre coeur, mon foyer, bien que lundi s'étal' !

Hestia dit: hélas je ne batifole pas avec les citoyens, mon sang est sacré et ma lignée puissante.


Il est vrai que je ne suis qu'une crotte,
Par votre pet je suis indigne de votre culotte,
Comme celle d'un chien, tout juste bon pour votre botte,
Mais dans mes rêves c'est avec vous que j'ai la quote.

Votre intelligence à du saisir l'ode de Chifoumi,
J'ai un peu honte mais j'avoue que je n'ai rien compris,
De deux chose l'une : je suis un peu abruti
ou tout simplement pas assez érudit.

Aucun des deux ne sauraient s'appliquer,
A celui qui, Jurassik et Sherlok, nous propose !
Par quelques lignes de prose, faisont une pause,
Que le fil de ma pensée, je puis dévider :

Pirée et Olympie, de notre déesse, sont des sanctuaires connus,
Et les chants et les lyres, y accompagnaient toutes vénérations,
Chez les Romains, Hestia avait pour nom Vesta, le savais-tu ?
Et les jeunes vierges à son service, les Vestales, nobles générations.

En cette heure vespérale, tardive, nocturne
Je crois sentir les fumées de ces temples antiques
Monter jusqu'à son coeur, le mien est taciturne
Car nous étions dimanche, et bien que férié, toujours le lundi, me pique

Voilà donc comment,
le rouge au joue maintenant,
j'en viens à confesser :
je suis poète comme mes pieds !

expliquer ses écrits,
c'est être un abruti !
à être trop abscon,
on finit, sans "abs", con !

Wow !! par tant d'explications me voilà nourrit,
Et pour vos commentaires je vous dit grand merci.
Pour avouer, mot par mot j'avais un peu saisi,
mais c'est bout à bout qu'ils avaient brouillé mon esprit.

Un bon week end, j'espère Hestia a passé,
Et que bientôt elle se montrera apprêtée
De par nos odes toute auréolée
Et qu'une partie de Cyclade elle aura gagnée.

Citoyens !
Vos odes m'ont conquise. J'ai passé un agréable week-end de festivités dans la ville de Metz, car oui, les dieux aussi, jouissent des plaisirs terrestres. Le tout bercé par vos odes fanfaronnes.

Hermès est le prochain palier à franchir. Bon courage.

Hestia ma belle, merci pour l'introduction.

Vaillants poètes étoilés, survivants de l'épreuve ! Lancez-moi vos offrandes.

Quand on a le nom de sac à mémère,
On ne devait pas faire le fier.
Surtout qu'avec tes sandales ailées
tu n'as vraiment pas l'air aidé.

Hermès, toi le dieu des voyageurs
Hermès, toi le dieu des marchands
Hermès, toi le dieu des voleurs
Au fond, en quoi sont-ils différents ?

Hermes, n'es tu pas juge et partie
En protégeant les routes, en guidant les bandits.
Peut on jouer comme cela dans chaque camps,
au gré de ton envie, tour à tour, une mi-temps ?

Bel Ephebe qui guide mes pas
Transporte moi vers des Cieux Infinis, guide moi au-dela
J'aime a t'entendre jouer de ta Flûte
Et pour te remercier, je peux te faire une Turlutte

Prenez garde, j'ai ma fierté. Je suis, en plus de tous ces rôles, le conducteur des âmes aux Enfers...
Lequel de vous dois-je terrasser en premier ?

En tant que gardien des routes et des voyageurs, comptez-moi plutôt une ode sur le pays de vos rêves.

Et pour la turlute Arthas, merci mais non... c'est sale un mortel, et ça manque d'expérience face à nous dieux exigeants et blasés (ZZZzzzzz Hermès s'est endormi).

Ce qui est chouette avec les pays de fiction,
c'est qu'on peut s'y rendre par téléportation,
Les yeux fermé, avec un peu d'imagination
Ce laisser porter sur des ailles de papillons.

Dans ce genre de voyage, nulle besoin d'un chaperon
Hermes, tu peux alors sur une de tes autres missions
Te concentrer, et a Zeus faire une retranscription
Sur le fait que je rêve, allongé, sur mon balcon.

Ce pays vallonné et merveilleux
où je me rend reposé dans mon pieu
j'y suis avec Artémis et Hestia
Chacune d'elle enlacées par mes bras.

Tous les soir, Dyonisos est au bar
Il nous sert des remède anti cafard
Aphrodite danse nue sur le comptoir
c'est autre chose qu'il lui a fait boire.

Appolon est au platine
Hera est aux cuisines
Mais... que vient faire ici ce gros con
:
:
Oui, oui je vous fait ça patron

Avec des ailes aux pieds c'est sur
il n'a pas besoin de chaussures
et encore moins d'une voiture
pour nous guider vers le futur

plus vif que les belles déesses
même celles qui ont le feu aux fesses
il n'a pas une once de graisse
notre divin héraut hermès

Oh toi,le messager Hermès,
Qui aide les filles en détresse,
Méfie toi de tes mains aux fesses,
Car un jour,tu finiras avec de l'herpès !

Dans mon Imagination, pourtant si feconds
Je reve d'etre transporter dans les bras musclé
Du Dieu Hermés au casque ailés
Je sais qu'il peux m'emmener vers Le Ciel Bleu
Ou meme en enfer mais je suis un peureux
J'ai besoin de sa grandeur de sa sagesse
je lui tiens la mains pour qu'il m'emmene avec hardiesse
Vers un monde de reves et de Lumiére
Celui ou il n'y aurai pas de guerre !