Monsieur Bilbo dit: Brass : - Monsieur ça y est ! Nous avons construit la filature que vous avez demandé, mais nous allons avoir besoin de charbon pour l'alimenter ! - Pas de problème, cher ami, je vais importer du charbon de ma mine en utilisant ce canal que j'ai creusé il y a quelques années. - Monsieur, nous allons aussi avoir besoin de fer pour construire les rails que vous réclamez... - Pas de problème non plus. Il nous suffit de l'importer depuis l'autre côté du Lancashire, en utilisant cette machine de téléportation qui est arrivée du 25ème siècle en passant par un trou de ver du continuum espace-temps !
J'ai relu les règles dernièrement afin d'envisager une première partie avec des potes, mais comme j'aime expliquer un jeu en y mettant un peu de 'thématique', me voilà fort embarrassé par ce point de règle effectivement.
T'as qu'à dire que le fer peut être transporté par la route, mais que le charbon est trop salissant et doit passer par voie fluviale ou par rails (C'est peut-être n'importe quoi comme excuse mais ça aide à se souvenir de la différence de règle de façon amusante)
Héhé pas bête du tout Non pas que parfois tu dises des choses bêtes hein...enfin tu vois....bref.... merci
Le charbon est pondéreux, il faut en déplacer des quantités énormes par rapport au fer (il sert à faire fondre le fer et entre dans la composition de l'acier). Il est donc logique que dans Brass on doive gérer la logistique du charbon et pas celle du fer. D'ailleurs, la sidérurgie traditionnelle se situe sur les bassin houillers et pas à proximité des ports, points d'entrée du fer (ça a changé d'ailleurs : voir Dunkerque par exemple).
La Guerre de l’Anneau - dialogue possible en sortant du Conseil de Rivendell
(Les Hobbits) - Et les gars c’est cool, on forme une méga-compagnie de la mort qui tue. On a le mago-pétard, l’archer-surfeur, le nain-comique, le joueur de trompette et le frustré du trône qui se tape la fille du patron. Avec ça on va l’avoir facile de péter l’anu… euh l’anneau de Sauron. (Gimli) - Ouais mais moi au lieu de m’emmerder à me promener à côté d’une tafiole d’Elfe je pourrais bouger les gars en Erebor, z’ont vachement envie de casser de l’orc aussi et ils comptent pas laisser tous les points d’ex aux costumés de Mirkwood. J’me cââsse. (Legolas) - Oh oui Gimli a trop raison. Je pourrais aussi l’accompagner pour voir si ces bons à rien de Dale ont autre chose à faire que de passer la journée à pêcher au bord du lac. Les mecs, ils butent un dragon par millénaire et ils se croient quittes. Tu viens mon barbichounet ? (Gimi) - Grr… collante celle-là. Bon allez, on y va. (Les Hobbits) - Oui mais enfin bon si Elrond nous a tous réunis c’est que… (Aragorn) - Bon à vrai dire le vieux n’y comprend plus grand chose et il voulait surtout que je me barre vite et loin de la chambre de fifille. Ca me gave de me traîner avec vous, en plus on vous entend à des kilomètres et ça va me tuer ma réput’ de randjo de la mort. Et puis il paraît qu’il y a un super boulot plus au sud pour moi, il faudrait vite que j’aille postuler et que je puisse m’en casser rapidos avant que Minas Tirith tombe. Ciao. Bonne bourre à Gorgoroth. (Les Hobbits) - Oui mais Elrond il a dit que… (Boromir) - Bon c’est pas tout les gosses mais je crois aussi que je vais aller au sud, si je reste avec vous je vais me prendre tous les coups et ce sera mauvais pour ma légende. Autant aller me faire une fête avec mes potes de régiment. Bon voyage, suivez les flèches. (Les Hobbits) - Mais vous Gandalf, vous restez… (Gandalf) - Ouais ouais, et bien visible en tête de la Compagnie. J’espère que Frodo fera vite une connerie pour que je me fasse exploser la tête et j’irai me réveiller le cul dans l’herbe à Fangorn à fumer un pétard avec Sylvebarbe en attendant la bonne pioche pour casser Saruman. Et puis si on reste ensemble trop longtemps au lieu d’être plus forts on sera tous dans la merde. Bon allez, on a tiré le bon dé, on peut marcher. Tout le monde s’est barré, en avant la Compagnie !
Res Publica Romana, Phase de Guerre Civile, Détermination du Premier Rebelle
- Ave Scipion, alors ? L’Afrique, c’était bien ? Content d’être de retour à Rome ? - Ave Caius, ouais, ouais, c’était sympa, mais ça craint un peu en ce moment Rome, non ? C’tout pourri, non ? Les gars et moi… - Les gars et toi ? - Ouais, mes Légions, tout ça quoi, on se disait qu’on se rebellerait bien un peu tu vois ? Vu qu’on est encore chaud, là, le sang a pas fini de sécher, on se disait, que bon, tant qu’à faire, autant prendre le pouvoir, non ?
Quelques minutes plus tard :
- Alors Scipion ta rébellion, elle avance ? - Chut, vas-y déconne pas, j’suis plus rebelle moi. - Ben pourquoi ? J’croyais qu’Rome c’était tout mure pour te tomber dans les mains. - Ben c’est Julius… - Quoi Julius ? - Ben il est revenu, tu vois ? - Nan pas bien, nan… - Ben il en avait une plus grosse que moi, tu vois ? - Ouais, je commence à voir, ouais… - Moi, c’était Carthages, il faisait beau et puis avec mes 4 pauvres Légions de vétérans, j’faisais un peu guignol à côté son armée d’un quinzaine de Légions de vétérans. Il a quand même chopé la Gaule… - Hmmm, c’est clair, t’as bien fait de te découvrir loyaliste et puis tu t’es fait plein de nouveaux amis au Sénat qu’ont hâte de s’entretenir avec toi. Vraiment hâte.
La tribu est réunie autour du feu, à l’écart du village. Il est temps de décider ce qu’on va faire aujourd’hui. Déjà Grut et Hougra ont filé vers la hutte d’accouplement pour fricoter toute la journée pendant que les autres trimeront. Flüuck prend la parole : On pourrait aller chercher du bois. Ca sert toujours le bois. Le groupe proteste. Encore du bois ! Ils en ont assez. A force, ils ont des échardes plein les mains. Gabou boude. Il voudrait bien fabriquer des outils, mais un gars d’une autre tribu le fait déjà. De toute façon, songe-t-il, personne ne s’en sert jamais de ses outils. On n’ose pas les utiliser, on les garde toujours pour une meilleur occasion. Tibra se lève soudain pour aller vérifer quelque chose. Il revient vite : Les réserves sont vides ! On devrait aller chasser ! C’est vrai ça ! s’exclame Biglir. Hier soir, on a tout mangé. On a même été obligé de se finir à l’argile et la la pierre. Les autres acquiessent, ils ont encore les dents qui crissent en se remémorant ce souvenir pénible. Aussitôt, la tribu se met en marche vers la prairie.
Le soir venu, ils sont de retour au camp. La chasse à été bonne, ils ramènenent un ours. L’ambiance est joyeuse. Grut et Hougra les attendent, épuisés. Pour eux aussi la journée a été fructueuse. Hougra a mis au monde un magnifique chasseur à la peau bleue et de taille moyenne, comme le reste de la tribu. L’accouchement a été difficile. Ce sont surtout les épaules qui ont eu du mal a passer, avoue-t-elle. Inventer la césarienne ne serait pas du luxe, ajoute-t-elle en massant son bassin endolori. On félicite les deux parents. Le nouveau pourra dès demain participer aux tâches collectives. Mais pour le moment, l’heure est au festin. Toute la tribu se jette sur l’ours. Sauf Tibra qui se tient debout le regard perdu au loin. Entre deux bouchée, Flüuck l’interpelle : Tu ne viens pas manger ? Inutile, répond-elle. Regarde ! Elle désigne, au loin, un champ cultivé sur lequel trône un cube bleu : le champ de la tribu. Ce spectale, à lui seul, la nourrit.
Lorsque le repas prend fin, il ne reste plus grand chose de l’ours. A peine une racine et quelque baies. Même pas de poisson. Tout le monde est repus. On pense au futur. Il faudra compléter le garde-manger bien sûr, mais après ? J’ai une idée ! s’enthousiasme soudain Gabou. Il faudrait descendre à la rivière ramasser de l’or. Plein d’or. Et ensuite, moi, je vous construirai une hutte en or ! Les hourras éclatent dans la nuit. Le projet de Gabou, c’est certain, fera bien avancer la tribu.
- Chef, nous avoir tué mammouth. Mammouth bon! Tribu mange mammouth. - Pas tout manger. Moi semer restes dans champs. Inventer Agriculture. - Chef, malin! Nous contents toi être chef.
Et pis du bon usage des cartes “astuces”
- Chef! Moi inventer pirogue. Nous traverser rivère. Capturer femmes clan de l’ours. <Bing, Paf, Glong, Pouf> - Clan de l’ours gros minus. Leur femmes, nos femmes, maintenant. Toi refaire pirogue pour rentrer village. - Fabriquer Pirogue? Pas possible. Moi avoir oublié.
Palomides: Sire Sire, y a mordred qui se pointe devant camelot avec une chiée de catapultes… On fait quoi?
Arthur: Il n’y a qu’a leur envoyer sire Kay, il a toujours un atout dans la manche pendant les combats, il sera plus efficace que nous et…
Kay: Euh, juste une question… Pourquoi que chaque fois qu’il y a une merde qui peut être nettoyée par n’importe qui devant le chateau, le n’importe qui, c’est toujours moi?
palomides: Voyons, vous avez été désigné par le roi et vous râlez… seriez vous capable de félonie?
Kay: Et c’est le fayot qui débarque en dernier sur les quêtes pour prendre plus de récompenses que les autres qui dit ça??? Sire, donnez moi l’épée noire sur la table ronde, que j’indique au sarasin le chemin du retour!
Arthur: Tiens, en parlant d’épée, excalibur est toujours dans le lac? Qu’est ce qui glande le Perceval?
Palomides: La dernière fois que je l’ai vu, il jetait des cartes au bord de l’eau… Il disait que ça ferait revenir excalibur chez nous! Il lui manque vraiment une case à celui-là!
Kay: C’est pas faux…
Arthur: Et le graal? Gauvain l’a ramener? Ou bien il batifole avec merlin dans la forêt? j’ai pas échangé une bonne carte avec lui pour qu’il me ramène des glands! ça, j’en ai assez autour de moi…
Palomides: Gauvain? mais il est dans la salle de la table ronde. Il ramasse des cartes, il dit qu’il peut en avoir plus que les autres et que ça va nous aider… Faut pas chercher à comprendre!
Kay: Sire, il y a de nouvelles catapultes qui arrivent. Et un messager nous annonce que les saxons ont débarqués. On fait quoi? On évacue?
Arthur: Faudra faire le plein de bravoure plutôt, parce qu’on va avoir du taf… Et sire Galahad? Toujours pas revenu du tournoi?
Palomides: Il est rentré à l’instant, il a pris une dérouillée! Il a même pas eu le temps d’utiliser une carte spéciale. Tout ce qu’il ramène, c’est une épée noire. ça va pas nous aider beaucoup!
Kay: Il y a bien sire Tristan qui est parti combattre Lancelot, mais bon, quand on a le mauvais gout de s’habiller en violet…
Arthur: Décidement, je suis entouré de nazes! On n’est pas prêt de sauver le royaume! Appelez moi Cathala et Laget…
Zankamoulox dit:Dans Sylla, le fait d'avoir des chrétiens alors que Sylla est mort en 78 avant JC, disons que...voilà quoi
Que dire sinon que c'est magnifique ? En avance sur leur temps les chrétiens !
Pour Sylla il y avait eu une polémique lors de la sortie du jeu, certains criant comme içi à la grosse erreur historique.. Cyril avait expliqué que le jeu ne s'arrêtait pas à la vie de Sylla mais couvrait une très grande période incluant l'apparition du christianisme..
Le parrresseux dit:L'Âge de Pierre Que fait-on aujourd'hui ? La tribu est réunie autour du feu, à l'écart du village. Il est temps de décider ce qu'on va faire aujourd'hui. Déjà Grut et Hougra ont filé vers la hutte d'accouplement pour fricoter toute la journée pendant que les autres trimeront. Flüuck prend la parole : On pourrait aller chercher du bois. Ca sert toujours le bois. Le groupe proteste. Encore du bois ! Ils en ont assez. A force, ils ont des échardes plein les mains. Gabou boude. Il voudrait bien fabriquer des outils, mais un gars d'une autre tribu le fait déjà. De toute façon, songe-t-il, personne ne s'en sert jamais de ses outils. On n'ose pas les utiliser, on les garde toujours pour une meilleur occasion. Tibra se lève soudain pour aller vérifer quelque chose. Il revient vite : Les réserves sont vides ! On devrait aller chasser ! C'est vrai ça ! s'exclame Biglir. Hier soir, on a tout mangé. On a même été obligé de se finir à l'argile et la la pierre. Les autres acquiessent, ils ont encore les dents qui crissent en se remémorant ce souvenir pénible. Aussitôt, la tribu se met en marche vers la prairie. Le soir venu, ils sont de retour au camp. La chasse à été bonne, ils ramènenent un ours. L'ambiance est joyeuse. Grut et Hougra les attendent, épuisés. Pour eux aussi la journée a été fructueuse. Hougra a mis au monde un magnifique chasseur à la peau bleue et de taille moyenne, comme le reste de la tribu. L'accouchement a été difficile. Ce sont surtout les épaules qui ont eu du mal a passer, avoue-t-elle. Inventer la césarienne ne serait pas du luxe, ajoute-t-elle en massant son bassin endolori. On félicite les deux parents. Le nouveau pourra dès demain participer aux tâches collectives. Mais pour le moment, l'heure est au festin. Toute la tribu se jette sur l'ours. Sauf Tibra qui se tient debout le regard perdu au loin. Entre deux bouchée, Flüuck l'interpelle : Tu ne viens pas manger ? Inutile, répond-elle. Regarde ! Elle désigne, au loin, un champ cultivé sur lequel trône un cube bleu : le champ de la tribu. Ce spectale, à lui seul, la nourrit. Lorsque le repas prend fin, il ne reste plus grand chose de l'ours. A peine une racine et quelque baies. Même pas de poisson. Tout le monde est repus. On pense au futur. Il faudra compléter le garde-manger bien sûr, mais après ? J'ai une idée ! s'enthousiasme soudain Gabou. Il faudrait descendre à la rivière ramasser de l'or. Plein d'or. Et ensuite, moi, je vous construirai une hutte en or ! Les hourras éclatent dans la nuit. Le projet de Gabou, c'est certain, fera bien avancer la tribu.
Ecrit ce matin, au saut du lit.
Rooooh ceci mérite de revenir en première ligne pour tous ceux qui l'auraient manqué : c'est tellement drôle ! Merci le parrresseux !