Alors “Yec’hed mat” !
Et si les bretons avaient des chapeaux carrés ?
Ils ne vaudraient pas un rond…
Ils seraient encore plus fier de leurs racines.
Et vive les bourrés
Alors les bretonnes auraient des chapelles cubiques !
Nous serions bons pour arrondir les angles.
Ils viendraient de Nantes.
Alors ils boiraient le cidre et le chouchen au cubi.
On les appellerait les bretés 
Ils auraient l’air miné et porteraient des crêpes en signe de deuil.
J’en ai pas vu au Mont St Michel
Arrête de souffler sur les braises, tu risques d’y prendre goût, haine indue !
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Décidément, je ne sais commettre qu’impairs et qu’arnaques avec mes vannes… L’homme de bon goût que tu es me dis nan, mais pourrais aussi bien m’envoyer me les faire carrer 
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Enfin tu comprends que l’homme, fini, se terre, se mord, dit “han !” lorsqu’il arrache sa côte d’arbre mort pour y tailler une idole débile et vilaine…
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Cet homme, au fond, je n’en ai cure… Et de came : arrêt ! Allez, couic, qu’y s’pende.
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Couic ? Ah ! Farce !!!
Tu couines ? Amende plutôt tes paroles ! C’est une véritable gale et -oh hisse !- voilà que tu décrètes, complètement beurré, en fanfare : “aux burnes” ! Oh ? On se calme : soit chou, chaîne tes ardeurs mec.
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Houat ?? Mais qu’est-ce que tu grois don avec ta molle haine ? Allez, oust ! Tu ne sais que blaver des paroles rances. Ou est-ce en parlant que tu brais ? Ah ! Non, tu bêles (il emmerdre le monde) !
Merci
Et si vous saviez, la prose vous être naturelle ?
Certes, en vert comme en vers, les proses rient.