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Tigris et Euphrat, mais peut-être moins sensuel que b
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ésarticulées au fil des parties. Mais son état de salade le rendrait-il végétatif ? Il n
'oubliait pas l'histoire de sa grand-mère : "Dans la vie, mon p'tit Henri (ou Harry, je ne sais plus ), il y a deux c
ouilles pour chaque homme, qu'il f
asse jour, ou qu'il fasse nuit." Henri n'avait jamais écouté la fin de l'histoire, mais ces mots résonnaient encore dans s
sa tête de jolie petite patate bien d
éçue. Et les patates alors? Elles n'avaient pas le droit d'avoir des couilles les patates? Non vrament plus il y pensait, plus il r
rougissait de rage et t
répidait d'impatience d'aller se faire une partie de curling avec s
[résumé des épisodes précédents]
Il etait une fois une patate qui s'appelait Henri.
Elle combattait souvent les forces du monopoly, soit en sortant son pictionnary, soit en sortant son couteau suisse pour tirbouchonner les milles bouteilles de vin qu'il devait boire pour s'en sortir correctement avec toutes ces règles.
Aussi quel ne fut pas sa surprise quand il découvrit que le jeu n'étais pas aussi sexuel que caylus et son pote de jeu Marcel le Comcombre Argentin.
Il espera néanmoins que le jeu ne dure pas des plombes parce que ça ne peut pas se situer entre le repas et le magnifique walker le ranger et son cuirassé Potemkine.
Il entendit soudain un cri dans la nuit. Il démonta soigneusement la fenêtre afin de placarder une annonce pour retrouver son chapitre. Ce cri intempestif l'avait indubitablement troublé.
En effet plus il y repensait, plus il s'étouffait de terreur. Quel était ce bruit ressemblant à une moule déguisée en faufiffon qui peftait contre vové bové ? Il remit son dentier et avala sagement sa pillule. Déjà, il se sentais plus craneur.
Sans plus hésiter ni tergiverser, il prona la lutte contre les ratons laveurs du japon, qu'il juge trop guindés. La réplique des ratons laveurs japonnais néo zélandais ne se fit pas attendre. Après s'être rendus devant la maison d'Henri, ils sortirent 3 boites de tic-tacs (les verts et orange : les moins bons) et en couvrirent le pied de la boite aux lettres d'Henri.
Malheusement, igor le mongol passait par là. Et il sortit sa baguette magique qui transformait les tic-tac en mentos, ainsi le plan de ces braves ratons fit pschiiiiiiiittt. Mais ces bougres ne s'arrétèrent pas là. Ils mirent à exécution leur plan B en déposant des zlotys (billets de 1000) sous le parquet de son salon, pour le faire accuser de détournement d'argent des caisses du commissaire moulin, qui dit à sophocle :
-"Je me demande si l'humour est le fait de l'inconcient pro
cédurier." Sophocle rétorqua :
- "Je ne vois pas le rapport avec l'histoire actuelle. Qu'en est il de l'huitre bovéphobe?"
-"C'était pas plutôt une moule avec un cheveux sur la langue" ?
La conversation terminée, nos deux compères s'éloignèrent ensuite de là pour rejoindre la belgique pour payer moins d'impôts comme jetseb, car la voiture ça coute chere.
Henri fut donc ecarté de leurs préoccupations actuelles, ils préféraient désormais manger des flamby 0% de matière grasse, car comme il croyait à la viande bio il faisait attention à savourer chaque petit pétard que lui roulait Sophocle avant de contempler les chaussures de ce dernier.
Elles étaient baroques, oui baroques, avec des lacets qui n'étaient pas sans évoquer le perpétuel recommencement, mais il s'égarait en pensant cela, alors même que lorie était blonde, c'était vraiment quelque chose de spécial. C'est arrivé qu'il y pense, bien sûr, mais jamais en septembre, jamais. Son mois à lui c'était juin, car en juin il ne voyait plus la différence entre les foins dorés par le soleil et la coupe de cheveux de sa femme. Patricia. Qu'est-ce qu'elle avait de beaux cheveux, celle-là... Gorgés de salamandres en or gravées de salami goutu et moelleux.. son plat préféré en plus. Mais il savait ne plus avoir droit d'en manger. Il se contentait à la place de jus à base de concentré de carotte.Il ne s'en plaignait pas, au contraire il mélangeait ça avec de la banane pilée et c'était complètement infecte pour un non initié. Mais il espérait qu'un jour son art soit reconnu par une charmante demoiselle, et qu'ensemble ils partiraient loin pour s'enfiler des cocktails de fruits sur la plage, et quand viendrait le soir des choses un peu plus sexuelles, il attrapera son super taille crayon, et lui demandera de lui tortiller les cheveux entre ses doigts fuselés, et aussi de le saupoudrer de crème (oui oui, ca se saupoudre la crème) de mayonnaise antillaise, dont les propriétés kinesthésiques ne sont plus à rappeler, puis il la battrait largement à E&T.
Une heure plus tard, il décida d'arrêter toute activité pour mieux ecrire j'ai gagné sur le sable, les pieds nus, le vent caressant ses cubitus, l'écume lèchant son poster de patric juvet, une poelle à frire à la main et une plume dans le cou. Il était en train de se transformer en une espèce de grosse scarolle et il se demandait si c'était normal... surtout qu'il était actuellement végétarophobe, dans le sens où il abattait sytématiquement toute forme de limaces et autres libellules. Il se rendit en ville pour outrager un agent, mais lacan sut l'en dissuader après vingt ans d'analyse à 550 euros la séance. Soudain, il voyait clair! Il savait maintenant pourquoi il ne pétait pas dans son bain mais seulement sous la douche, c'etait à cause de l'hélium. L'hélium... Il ne pouvait se passer de son effet "pubérant" pour sa voix. Pourtant, il savait quarto plus stratégique que tigris et Euphrat, mais peut-être moins sensuel que bohnanza, et surtout müll+money est bien plus prenant que battlelore et ses figurines désarticulées au fil des parties. Mais son état de salade le rendrait-il végétatif ? Il noubliait pas l'histoire de sa grand-mère :
"Dans la vie, mon p'tit Henri (ou Harry, je ne sais plus ), il y a deux couilles pour chaque homme, qu'il fasse jour, ou qu'il fasse nuit."
Henri n'avait jamais écouté la fin de l'histoire, mais ces mots résonnaient encore dans sa tête de jolie petite patate bien déçue. Et les patates alors? Elles n'avaient pas le droit d'avoir des couilles les patates? Non vraiment plus il y pensait, plus il rougissait de rage et trépidait d'impatience d'aller se faire une partie de curling avec s
on idole de toujours: Garcimore. Malheureusement, ce dernier était décédé dans des circonstances sordides et c'est la raison pour laquelle il dût se r
résigner, prendre son sac à dos et partir à la recherche d'
un certain LV, qui mime très bien Michael Jackson, Jean-Marie Bigard et Casimir. En chemin, il c