J’ai déjà entendu la chanson, mais alors le titre…
Fauteuil pour dames ?
Potrick dit:J'ai déjà entendu la chanson, mais alors le titre...
Fauteuil pour dames ?
Non, mais regarde mon premier indice: "petit parasol". Trouve le mot et sépare-le en 2 autres mots, tu aura le titre

Cookie dit:Dod dit:Potrick dit:Gnawa Diffusion ?
Le groupe est bonreste le titre
Jamais entendu parler...
Rhoo, il faut vite combler cette petite lacune !
Ombrelle ?
Ombrelle pour dames ?
L’ombrelle du coiffeur ?
Para sol ?
ombre elle ?
ombre aile
On brêle ?
bertrand dit:ombre elle ?
C'est ça !

En français donc
Mon grand-père était un marin,
Il a dû mourir sur une île,
Mon père avait une ferme,
Et moi je suis sa seule fille.
Je me suis enfuie avec ce voyou
D’un village des alentours,
Aujourd’hui il s’étouffe dans son alcool,
Et me laisse seule
Avec nos trois gosses à nourrir.
À la fabrique c’est pas facile,
C’est pas non plus très dur,
Mais ce sont ces heures qui défilent,
Et puis cette horloge sur le mur.
Le premier rêve qui passe
L’aide à tenir jusqu’à midi,
Où j’ai quelques minutes d’espace
Pour prendre un sandwich,
Boire un café, et m’asseoir.
Autrement c’est moi et la machine,
Jusqu’à ce que la sirène le décide,
Jusqu’au bout de l’après-midi,
Jusqu’au bout de ma vie.
Malgré moi mon cœur s’en retourne
Vers cette maison dans les terres,
Où j’ai passé tant d’années d’amour
À danser sur les bras de mon père.
Ces histoires de marins perdus,
Ces orages sur le lac Erié,
Ces navires à jamais disparus,
Avec leurs voiles grandes
Comme des morceaux de ciel.
Oui mais c’est ma vie qui a été gâchée,
Et c’est moi qui ai eu tort
De laisser cette fabrique
Pour bien utiliser mon corps.
Moi je vais rentrer chez moi ce soir,
Je vais regarder mes mains,
Je vais me dire qu’au moins une fois
J’aurais aimé avoir la chance
D’aller plus loin.
Mais je vais travailler ici
Et oublier tout ce que je souhaite,
Peut-être ne jamais rencontrer
L’homme dont le nom
Est sur l’étiquette.
Ce sera moi ou la machine
Jusqu’à ce que la sirène le décide
Jusqu’au bout de l’après-midi
Jusqu’au bout de ma vie.
Ben c’est Cabrel ça, mais je sais plus le titre.
EDIT : “la fabrique”, non ?
Je viens de voir l’autre post, et je me souviens d’où je sors cette chanson : c’est sur un triple album live d’il y a deux vies et demie. Je viens de remettre la main dessus.
grolapinos dit:Ben c'est Cabrel ça, mais je sais plus le titre.
EDIT : "la fabrique", non ?
Si. Peut-^tre la plus belle chanson de Cabrel...
En fait elle apparait dès son premier live Cabrel public (1984)
Tu as la main et un indice bonus: my auteur is rich!
Bonjour douanier, je suis le barde
Relève ta hallebarde
Ce petit bagage
Ce petit étui
Ce n'est pas celui
D'un tueur à gages
C'est ma crevette, mon têtard
Mon avorton de guitare
C'est ma guitare porte-clefs
C'est ma guitare de poupée
Musèle ton chien de garde
Ouvre les yeux et regarde
Au fond de la grotte
Habite un génie
Qui sort de la nuit
Lorsque je le frotte
Le représentant de l'ordre
Ne veut pas se faire mordre
Il est saisi d'épouvante
Cette bûche est bien vivante
C'est ma crevette, mon têtard
Mon avorton de guitare
C'est ma guitare porte-clefs
Veux-tu l'essayer ?
Le douanier n'y prend pas garde
Et il se plante une écharde
Un éclat de bois
Dans le petit doigt
Ça s'est infecté
Il nous a quittés
Le voilà dans les nuages
Avec mon petit bagage
Il arrive au paradis
Et voilà c'qu'il dit
Bonjour douanier, je suis le barde
Relève ta hallebarde
Cette petite mallette
Ce petit étui
Ce n'est pas celui
D'une mitraillette
C'est ma crevette, mon têtard
Mon avorton de guitare
C'est ma guitare porte-clefs
C'est ma guitare de poupée
Thomas Fersen ! Ukulele
Allez, comme je suis sûr de moi, je relance de la même veine et du même sang:
Au printemps de ma vie
Je quitte mon père
La ville attend
Les petits rats des champs.
Une jolie fermière
Me dit : “Où vas-tu ?
Monte derrière
Avec les laitues”
Les pieds dans le ciel
Chez les hirondelles
Nous filons doux
Et la route est à nous.
Thomas Fersen, le bal des oiseaux
Et comme je suis sur de moi, je relance ?
Bon, j’ai supprimé les refrains parce que sinon c’est trop facile, mais c’est un chanteur que j’aime beaucoup.
Vous qui affirmez d’un air très sûr
Que quand on aime on à toujours vingt ans
Vous ne trompez personne, je vous rassure
Ah, si vous pouviez chanter gaiement :
[REFRAIN]
Quitte à être con quelque soit l’âge
Je préfère être un con de vingt ans
Vingt ans oui vraiment, c’est le bel âge
Le seul où on peut chanter sincèrement :
[REFRAIN]
Et vous me direz, vous croyant sage
Qu’ça, qu’ça va pas durer longtemps
Certes, un jours hélas, j’aurai votre âge
Vous, je n’sais pas mais en attendant…
[REFRAIN]
Demain des jeunes me chanterons cet air
Trop contents d’arroser l’arroseur
Sage et bienveillant je laisserai faire
Car c’est moi qui toucherai les droits d’auteur
[REFRAIN]
Un indice?
Jeune con ?
Votre fils a vingt ans et il est très con ?