Mais qui a écrit ça et qui l’a chanté en vrai…
Me dit pas que tu l’as connue en allant entendre une chorale de gamins massacrer ce texte dans les années 19*0…!!!
Moi aussi faudrait que j’me fasse copies et contrôles… Mais j’aime pô
KleO dit:Mais qui a écrit ça et qui l'a chanté en vrai...
Me dit pas que tu l'as connue en allant entendre une chorale de gamins massacrer ce texte dans les années 19*0...????!!!!
Moi aussi faudrait que j'me fasse copies et contrôles... Mais j'aime pô
Les Frères Jacques l'ont chantée dans les années 60.
trop tard :boulet:
Et faux en plus!
Chuis en mode vieux trucs…
S’il vous parle une main sur le coeur
C’est que l’autre est dans votre poche
Dans une église, tout en ferveur
C’est sûr qu’il va voler les cloches
C’est sûr qu’il va voler les cloches
Bonnimenteur, surtout menteur
De couleur feu et d’artifices
Escroc mignon, gentil frimeur
Sa vérité, c’est la malice
Croisez son regard dans la rue
Vos lunettes ont disparu
Vos lunettes ont disparu
**
On s’dit toujours qu’il est sympa
Lorsque Renart vous serre la main
Plus tard en comptant sur ses doigts
On s’aperçoit qu’il en manque un
On s’aperçoit qu’il en manque un
On est malade, il est docteur
On est poulet, il vous rôtit
On est poisson, il est pêcheur
On est ruiné, il est parti
Il manque pas d’air, le mariole
Plus gonflé que lui tu t’envoles
**********************
ETC.
A vous les studios
C’est le générique de Renart !
Aurait-on la même culture?
Pour la ptite histoire dont tout le monde se fout mais ça fait une thérapie à pô cher pour raconter sa life, je kiffait grave Renart, si j’avais pu, j’en serais tombée amoureuse
Pas impossible que le générique y soit pour quelque chose…
En tout cas à toi la main Dod
Ça s’appelait “Moi, Renart”. À noter que le nom était dans l’extrait.
Exact, Golapinos… Et le Renart m’a échappé…
KleO dit:Exact, Golapinos... Et le Renart m'a échappé...
Moi pas !

'Savent pas que les oiseaux ont des ailes.
Quand on a des visières,
On ne regarde pas le ciel.
Allez les piafs, allez nombreux
Et bouffez leurs parterres,
Puisqu'il paraît que c'est à eux.
On peut rêver, il est toujours
Possible qu'ils se perdent
Dans les jardins du Luxembourg.
Répétons-leur en attendant,
Qu'ensemble, on les emmerde
[titre]
C’est du Forestier non?
bertrand dit:C'est du Forestier non?
Oui, absolument

Indice: cette chanson est entre deux âges.
Avec les indices : “Entre 14 à 40 ans”. Jamais entendu cette chanson mais je l’ai sur un de mes cahiers de chant.
Direction Deezer.
grolapinos dit:Avec les indices : "Entre 14 à 40 ans". Jamais entendu cette chanson mais je l'ai sur un de mes cahiers de chant.
Direction Deezer.
C'est bien ça

A toi la main.
Une chanson qui me remue la tripe à chaque fois, pas moyen…
Toi que j’ai connu à l’école
Chevalier, cow-boy, justicier
Bonhomme qui joue et qui rigole
Dans son bien-être journalier
Qu’est ce que j’ai fait
Pendant ce chemin parcouru ?
Qu’est ce qui t’a fait
Devenir ce que tu es devenu ?
Y’a eu ce coup de vent sur ton crâne
Qui a emporté tous tes cheveux
Ce nouveau copain en terminale
Puis ces deux flingues au fond de tes yeux
Deux ou trois échecs en amour
Une sacrée bonne dose d’ennui
Plus d’ignorance de jour en jour
Et puis ces livres interdits
Qu’est ce que j’ai fait
Pendant ce chemin parcouru ?
Qu’est ce qui t’a fait
Devenir ce que tu es devenu ?
Ce sont des petits morceaux de peur
Un peu partout, disséminés
Des petits fragments de frayeur
Qui finissent par s’assembler
Rien que des petits morceaux de peur
Que l’on t’a gentiment donnés
Des limailles, des copeaux de terreur
Qui paralysent la pensée.
Et puis tu as suivi la horde
Les chiens les grenades les canifs
Ont attisé ta notion de l’ordre
Et ton goût pour le punitif
Le désir d’éliminer
Tout ce qui ne te ressemble pas
Les ignorances que tu hais
Tu as buté n’importe quoi
Qu’est ce que j’ai fait
Pendant ce chemin parcouru ?
Qu’est ce qui t’a fait
Devenir ce que tu es devenu ?
Ce sont des petits morceaux de peur
Un peu partout, éparpillés
Des débris, des tessons de terreur
Qui t’incitent à ne pas changer
Rien que des petits morceaux de peur
Qui paralysent la pensée
Des éclats, des débris de frayeur
Qui effacent une identité
A vivre ta vie à pile ou faf’
Ta pièce t’a rendu sa monnaie
C’est l’heure d’écrire ton épitaphe
Sous une croix qui n’est pas gammée
Y’a personne d’autre que moi sur Terre
Le jour de ton enterrement
A franchir la grille du cimetière
Vois, tous tes copains sont absents
Et maintenant
Qu’est ce qui fait qu’au jour ou nous sommes ?
Je ne suis qu’une maman
Qui pleure son petit bonhomme ?
Ce sont des petits morceaux de peur
Qu’à droite à gauche j’ai glanés
Des éclats, des débris de terreur
Tiens, je t’en ai fait un bouquet
Rien que des petits morceaux de peur
Qui paralysent la pensée
Des petits fragments de terreur
Qui t’obligent à ne plus bouger
Les Wriggles, Petit bonhomme.
Bon, on va rester dans le même registre, mais en plus drôle…
Tous les chanteurs ont un petit refrain
A reprendre en chœur dans la salle
Pour bien informer le citoyen
De la menace du Front-National.
Après le concert, les petits nazis
Vu ce qu’ils se sont pris dans les dents
Rentrent chez eux, pleurent toute la nuit
Ca doit pas les rendre plus marrants.
Essuie tes larmes dans ton mouchoir
Mon petit facho, dis-toi que c’est rien
Nous on va chanter le cauchemar
De ton triste petit quotidien.
Dire ce que c’est en vrai la peur du noir
Chaque soir quand tu te couches et que t’éteins
Puis ça renouvellera le répertoire
De la chanson qui n’engage à rien…
Car faut savoir que c’est pas de la tarte
D’être un bon petit gars d’extrême droite…
Ah non, vraiment c’est pas de la tarte
D’être un bon petit gars d’extrême droite…
La boule à zéro, tous les matins,
Faut que tu te rases le crane avec soin :
Ca fait que tu te ruines en produits de beauté
Et le pire c’est que tout ça c’est rien que pour être laid…
Le soir, tabasser des mecs de gauche
Ou s’en aller casser du bougnoule
A force de manier le manche de pioche
Ca fait que t’as toujours les mains pleines d’ampoules…
Ein, zwei, t’essaies de marcher comme ça
En claironnant les airs de la Wehrmacht,
Mais t’es pas doué quand tu fais le pas de l’oie
Ca ressemble plutôt à la danse des canards…
Tu aimerais bien repeupler la France
Mais de ce coté là, t’as pas plus de chance :
A force de tendre le bras en l’air
Comme un SS, pour faire coucou,
Il te faut gueuler bien fort « Heil Hitler »
Pour baiser sinon tu bandes mou…
Chaque fois que tu trouves un cimetière sympa
Où aller peindre des croix gammées
Des petits branleurs y sont passés avant toi
Rien qu’histoire de faire comme à la télé…
T’es trop jeune pour avoir connu la guerre
Tu te poses toujours la même question…
Tu penses à ce qu’à vécu ton grand-père
Et tu te demandes si, sous l’occupation,
Toi, t’aurais eu le courage de faire
Le choix de la collaboration ?
Mais aujourd’hui ce qui te fout la haine
C’est d’entendre dire les journalistes
Que parmi les électeurs de Le Pen
Il y aurait plein d’anciens communistes…
Encore que le pire à supporter,
C’est depuis que musulmans et juifs
Se passent de toi pour s’entretuer
T’as l’air de quoi, ça c’est pas sportif.
C’est les mal"quekchoz", pas Malotrus, pas Malpighi, pas malicieux… MalMachin, je retrouve plus
Et le titre, je sais plus…
Foutue mémoire de poisson rouge!
Tout à fait, t’es sur la bonne piste, c’est pas les ImMachins, c’est les MalMachins…
Et pour le titre, heu, comme indice… Les P****** P***** F*****
Les MalMortels…?
nan, pis le titre, vraiment pas… ça va pas me revenir
Mais en coopérant, y a bien quelqu’un que ça va mettre sur la piste…