Ah ben non alors… D’abord, un petit extrait…
Elle est abonnée á Marie Claire
Dans L’nouvel Ob’s elle ne lit que Brétécher
Le Monde y a longtemps qu’elle fait plus semblant
Elle a acheté Match en cachette c’est bien plus marrant
Ah ben non alors… D’abord, un petit extrait…
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Dans L’nouvel Ob’s elle ne lit que Brétécher
Le Monde y a longtemps qu’elle fait plus semblant
Elle a acheté Match en cachette c’est bien plus marrant
Enpassant dit:Faut pas prendre ça trop à cœur, ça t'empêche de trouver le titre.
Réfléchissons un peu puisque Jean-Louis ne répond pas au téléphone.
Fleur, oui, mais où est-elle cette fleur?
Pas à la campagne, alors où?
Plus lourdingue dans les indices je ne pense pas que ce soit possible.
Enpassant dit:Potrick dit:J'arrive, j'arrive !![]()
Au Coeur de la Nuit (Téléphone)
Tu peux repartir.
Potrick dit:Ah ben non alors... D'abord, un petit extrait...
...
Enpassant dit:Potrick dit:J'arrive, j'arrive !![]()
Au Coeur de la Nuit (Téléphone)
Tu peux repartir.
Potrick dit:Ah ben non alors... D'abord, un petit extrait...Ah ben ça, je l'ai !!! Femme libérée...
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Dans L'nouvel Ob's elle ne lit que Brétécher
Le Monde y a longtemps qu'elle fait plus semblant
Elle a acheté Match en cachette c'est bien plus marrant
Aaah, j’étais sûr de mon coup
Toutes mes confuses !
Bon on ne va pas y passer 2000 nuits ! Si ? Mais avant je la laisse tomber
Cookie dit:Comment ça, il a relancé alors qu'il n'avait pas trouvé la fleur ou le coeur dans la ville précédent !
Enpassant dit:Cookie dit:Comment ça, il a relancé alors qu'il n'avait pas trouvé la fleur ou le coeur dans la ville précédent !
Il me semble que Cookie a pour ainsi dire trouvé, non?
Effectivement j’ai trouvé mais j’aimerais bien que les efforts de Cookie soient récompensés, je l’aime bien moi la petite.
Donc:
Fleur … … ville
Coquelicot de mat mégapole ?
Fleur de ma ville ?
Je suis pas sur que Langon soit une mégapole.
Bertrand, tu aurai du mettre un mat de bateau
Fleur de ma ville (Téléphone)
Je pensais ne mettre ni l’un ni l’autre en mettant juste Langon ( ma ville) mais j’étais pressé d’en finir…
La main à Cookie
Ouf…
Les amateurs devraient trouver facilement… sinon je vous donnerai des bouts de plus en plus parlants de la chanson…
Quand j’suis arrivée dans la chambre
En t’les montrant
T’étais comme un caméléon sur le lit blanc
Je t’ai demandé à qui c’était
J’peux pas croire que t’as bredouillé
Exactement ce que j’craignais
Que t’en avais aucune idée
C’est du pur Lynda Lemay (les deux derniers vers sont signés, et je sais que t’aimes bien).
Je connais pas la chanson par contre
Après vérification dans ma bibliothèque à CD, en fait, si, je la connais : c’est “les souliers verts”, une histoire d’adultère.
Ç’aurait quand même été bizarre que je sois aussi sûr de moi sans l’avoir jamais entendue.
En effet… Et pour ceux qui ne connaissent pas, je vous conseille, elle est tordante !!!
Cherchez pas, vous connaissez pas… mais vous pouvez deviner le titre, qui est à la place des tirets.
J’en profite juste pour vous faire connaître ce texte magnifique d’un mien cousin qui écrit de belles choses.
Philippe Geoffroy dit:T’en souvient-il mon étrangère
Au début de notre parcours
On vivait d’amours montgolfières
Du vent brûlant dans du velours
Puis l’ange s’accroche aux gouttières
Et vient racler le haut des tours
On se déleste mais la terre
En bas tire elle attend son tour
J’ai su quand le poids de la chair
M’enfonça dans un terrain lourd
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Ou alors il n’y a pas d’amour
Vous qu’on berce des nuits entières
Les membres las le sommeil court
Qu’on hisse vigies familières
Sur l’océan de nos labours
Ai-je assez pesé sur ma mère
Pendant deux cent cinquante jours
Et gravi le dos de mon père
Croyant m’y percher pour toujours
Enfants petits briseurs de verre
Serre fragile et fruits si lourds
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Ou alors il n’y a pas d’amour
Et vous qu’on a portés en terre
Dont ne rien subsiste au grand jour
Rien que nos pleurs sur vos chimères
Reposez puisqu’on vous entoure
Réglez nos années nos horaires
Aimés d’hier soleils autour
De quoi sans pouvoir s’en abstraire
On gravite comme à rebours
Trous noirs dévoreurs de prières
Vivants nous n’étiez pas plus lourds
----------------------------------
Ou alors il n’y a pas d’amour
Tu ne pouvais comme Saint Pierre
Te renier avant le jour
Toi dont les épaules portèrent
Dit-on le plus terrible amour
Le plomb coule dans tes artères
De ton flanc ce métal qui sourd
Coule déjà la statuaire
Du fils d’un Dieu devenu sourd
Eli Eli pourquoi mon père
Ce mystère infiniment lourd
----------------------------------
Ou alors il n’y a pas d’amour
Et l’amour qu’on n’a pas su faire
Qui sait s’il n’est pas le plus lourd.