bertrand dit:Du Quenau?
Nan!
Même si je vous en promets à un moment ou à un autre.
L'auteur était aussi homme de radio et à publié (entre autres) ses Pensées
Nan!
Même si je vous en promets à un moment ou à un autre.
L'auteur était aussi homme de radio et à publié (entre autres) ses Pensées
robert desnos
bertrand dit:Robert Desnos?
Nanplus, tu n'est pas sur la bonne piste. Si je cite une de ses pensées ça devriendrait trop facile.
Indice en forme de question : Que ne doivent jamais oublier ceux qui ont leur avenir devant eux?
Pierre Dac?
bertrand dit:Pierre Dac?
Ouiiiiii!
Il ne reste plus qu'a trouver la pièce. L'original est de Racine. Allez encore une citation:
- "Encore eu il fallu que vous sussiez, madame!"
- (S'agenouillant) "Mais je n'demande que çà..."
_______________________________________(choqué) - "Relevez vous madame"
- "M'enfin tu n'y songes pas! je n'peux pas fair' çà d'bout!"
Phédre?
bertrand dit:Phédre?
Et voilà! C'est Phèdre qui fait des avances au vertueux (quoiqu'un peu niais si l'on en croit Pierre Dac) Hippolyte.
A toi
Retour à l’incipit:
Au XVIII éme siécle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus abominables de cette époque qui pourtant ne manqua pas de génies abominables.
C’est le Parfum non? et après le couplet sur tout le monde qui pue… (ça se voit que je suis pas sûr de mon coup là?)
6*M*A*S*H dit:C'est le Parfum non? et après le couplet sur tout le onde qui pue... (ça se voit que je suis pas sûr de mon coup là?)
: C'est bien la première phrase de Le parfum de Süskind Et je ne résiste pas à passer l'extrait (
) dont tu parles:A l'époque dont nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l'urine, les cages d'escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces d'habitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries la puanteur de leurs bains corrosifs, et les abattoirs la puanteur du sang caillé. Les gens puaient la sueur et les vêtements non lavés; leurs bouches puaient les dents gâtées, leurs estomacs puaient le jus d'oignons, et leurs corps, dès qu'ils n'étaient plus tout jeunes, puaient le vieux fromage et le lait aigre et les tumeurs éruptives. Les rivières puaient, les places puaient, les églises puaient, cela puait sous les ponts et dans les palais. Le paysan puait comme le prêtre, le compagnon tout comme l'épouse de son maître artisan, la noblesse puait du haut jusqu'en bas, et le roi lui-même puait, il puait comme un fauve, et la reine comme une vieille chèvre, été comme hiver. Car en ce XVIIIe siècle, l'activité délétère des bactéries ne rencontrait encore aucune limite, aussi n'y avait-il aucune activité humaine, qu'elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c'est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c'était le cimetière des Innocents. (...) Or c'est là, à l'endroit le plus puant de tout le royaume, que vit le jour, le 17 juillet 1738, Jean-Baptiste Grenouille.
6*M*A*S*H dit:C'est le Parfum non? et après le couplet sur tout le monde qui pue... (ça se voit que je suis pas sûr de mon coup là?)
Meeeerde je savais que je l'savais!
Maintenant si on applique le même reglement que dans les jeux similaires j'avais pas l'droit de répondre.
sanjuro dit:6*M*A*S*H dit:C'est le Parfum non? et après le couplet sur tout le monde qui pue... (ça se voit que je suis pas sûr de mon coup là?)
Meeeerde je savais que je l'savais!
Maintenant si on applique le même reglement que dans les jeux similaires j'avais pas l'droit de répondre.
Exact, tu n'avais pas le droit de répondre
Mais rien ne t'interdit de laisser des indices...
Bon je vous en laisse un que je pense facile et que vous pourrez probablement confirmer entre vous parcequ’en ce moment TT c’est que le soir pour moi:
“Prologue
Vendredi 1er Novembre
C’était maintenant devenu un événement annuel. L’homme qui recevait la fleur fêtait ce jour là ses quatre-vingt deux ans.”
Si personne n’a mis la main dessus d’ici demain midi (ça m’étonnerait mais bon…) j’autorise qui veut à reprendre le flambeau (et je donnerai dans ce cas la réponse demanin soir!)
Les hommes qui n’aimaient pas les femmes de Larsson
Elfyr dit:Les hommes qui n'aimaient pas les femmes de Larsson
A défaut de confirmation, si tu es sure de toi( tu as le bouquin et tu as vérifié), relance un incipit Elfyr
bertrand dit:Elfyr dit:Les hommes qui n'aimaient pas les femmes de Larsson
A défaut de confirmation, si tu es sure de toi( tu as le bouquin et tu as vérifié), relance un incipit Elfyr
Je confirme... C'est ça...
OK je me lance :
“J’ai été arrêté pour avoir gagné a un jeu télévisé.
On est venu me chercher tard dans la soirée, à une heure ou même les chiens errants dorment déjà. Ils ont enfoncés ma porte, m’ont passé des menottes et m’ont escorté jusqu’ à la jeep qui attendait en faisant tourner son gyrophare rouge.”
J’aurais pu m’arreter a la première phrase… bonne chance…
Running man?
J’ai un flash-back Azimovien là… Sans doute rien à voir, mais… Avec un arrière goût de Brazil, voyez ?..
LOl non ni running man, ni asimov…
Un indice :
Des jeeps avec un gyrophare rouge mais dans quel pays cela peut-il se passer?