Les d*** scandaleuses font les grandes c***
MrSel dit:8)
Les dames scandaleuses font les grandes couillonnes
Les Danseuses scandaleuses font les grandes Comédiennes
Les diffamations scandaleuses font les grandes calomnies
Les Directions scandaleuses font les grandes Compagnies.
Le point à Richard 
Et c’est une des pires p*** qui soient que de g*** une r*** par-devers soi.
Richard dit:Et c'est une des pires partie qui soient que de garder une ressource par-devers soi.
Et c’est une des pires pipes qui soient que de gerber une ricorée par-devers soi.
Et c’est une des pires publicité qui soient que de générer une ristourne par-devers soi
petezahh dit:Et c'est une des pires pipes qui soient que de gerber une chicorée par-devers soi.
Magnifique (assez loin de la chanson de Brassens* mais c'est de très bon goût, à condition d'aimer la chicorée et à condition que chicorée commence par un r... mais avec Ricoré, ça colle au poil ! )
*Et c'est une des pires perversions qui soient
Que de garder une rose par-devers soi.
Oups, j’avais pas vu que c’était Richard qui avait proposé la phrase… Bon, merci pour le point alors…
C’est donc reparti avec :
Les a****, ça va qu’en il n’y en a un, c’est quand il y en a ***e que ça pose problème 
Les aspirateurs, ça va qu’en il n’y en a un, c’est quand il y en a massivement que ça pose problème
petezahh dit:
Les anges, ça va qu'en il n'y en a un, c'est quand il y en a vraiment que ça pose problème
petezahh dit:
Les Agricola, ça va qu'en il n'y en a un, c'est quand il y en a l'extEnsion que ça pose problème
Les abrutis, ça va qu’en il n’y en a [qu’]un, c’est quand il y en a souverains que ça pose problème
Les arrivistes, ça va qu’en il n’y en a un, c’est quand il y en d’autres que ça pose problème
Les arbres, ça va qu’en il n’y en a un, c’est quand il y en a une forêt que ça pose problème**
Les Apéros, ça va quand il y en a un, c'est quand il y en a carrEnce que ça pose problème
Les amis, ça va qu’en il n’y en a un, c’est quand il y en une que ça pose problème…
J’ai toujours pensé que les filles, c’étaient toutes des pisseuses