[Key to the City - London]
Hello,
Avez-vous remarqué la sortie pour Essen du nouveau jeu de Richard Breese et de Sebastien Bleasdale ?
http://cf.geekdo-images.com/images/pic3145313_md.jpg
Ca ressemble beaucoup à Keyflower mécaniquement…
Ça ressemble vraiment beaucoup, en effet, d’après l’auteur (sur la fiche BGG) c’est un Keyflower “light”. Grand fan de Keyflower, j’achèterai certainement Key to London, même au risque d’avoir un doublon. Et les illustrations ne sont plus de Juliet Breese, mais elles sont quand même très réussies.
Je trouve les illustrations froides… 
J’adore aussi Keyflower dont je possède toutes les extensions et goodies.
Les nouvelles illustrations de Baxter me plaisent beaucoup car j’adore la 3D isométrique à la Sim City 2000. 
MAIS j’ai vraiment un doute quand à la différence avec Keyflower. Je suis entrain de lire l’explanation list sur BGG.
http://www.boardgamegeek.com/geeklist/212701/key-city-london-explanation
Sub-Zero dit :J'adore aussi Keyflower dont je possède toutes les extensions et goodies.
Les nouvelles illustrations de Baxter me plaisent beaucoup car j'adore la 3D isométrique à la Sim City 2000.
MAIS j'ai vraiment un doute quand à la différence avec Keyflower. Je suis entrain de lire l'explanation list sur BGG.
http://www.boardgamegeek.com/geeklist/212701/key-city-london-explanation
Bon en fait il y a même les règles, que je viens de lire... et c'est vraiment très proche de Keyflower, au point que la liste des différences tient sur un mini-tableau récapitulatif d'un quart de page. C'est effectivement du Keyflower en plus simple :
- les tuiles ne produisent plus de "keyples" (ni verts, ni d'une autre couleur) mais uniquement des "connecteurs", qui permettent de relier les tuiles les unes aux autres, et des tuiles Compétence (qui ne sont pas piochées aléatoirement, contrairement à Keyflower) ;
- on oublie les histoires de capacité de transport : pour upgrader une tuile il suffit de poser un keyple dessus, comme pour une activation normale, et de vérifier les conditions d'upgrade (couleur et quantité de connecteurs reliés à la tuile + tuile Compétence à défausser, éventuellement) ;
- pas d'enchère pour les bateaux d'ordre du tour : on peut soit passer normalement (auquel cas on peut toujours revenir dans le tour), soit "mettre les voiles" et se positionner sur le bateau du tour en cours. Selon notre position, on gagnera plus ou moins de keyples (pris au hasard dans le sac), la place de premier joueur ou le droit de conserver la tuile bateau.
- pas de limite de 6 keyples sur une même tuile ;
- les tuiles Routemaster (équivalent des tuiles Hiver) sont visibles dès le début de partie (on pioche 2 tuiles par joueur).
- à noter également que les tuiles "Landmark" peuvent être améliorées 2 fois, auquel cas on place dessus un joli marqueur 3D représentant le monument en question.
Voilà voilà, le jeu fait clairement un peu doublon avec Keyflower, je pense qu'on peut le voir comme l'équivalent de la version familiale d'Agricola. Cela étant je l'achèterai quand même, d'une part pour soutenir les auteurs de mon jeu préféré, 
d'autre part pour avoir sous le coude un jeu procurant des sensations proches de Keyflower mais plus facile à sortir (je ne sais pas pourquoi mais les gens ont toujours du mal à comprendre le transport et les upgrades dans Keyflower). Je trouve aussi que la gestion de l'ordre du tour par simple sélection de sa place (et non plus par enchère) est plus simple et plus élégante que dans Keyflower, et j'aime le fait que les conditions de scoring de fin de partie soient connues dès le départ. J'en ferais même bien une variante pour Keyflower, tiens.
Je viens de finir de lire les regles et je n’arrive pas bien à me faire une idée du tour de jeu. Ca sera plus simple une fois qu’un tour ou deux auront été joués. A noté que je n’ai jamais testé Keyflower.
J’adore les illustrations, honnêtement elles sont top ! Par contre l’iconographie est pas super, on dirait un truc WordArt, bouerk !
J’attendrais les premiers retours d’Essen mais je pense que ça va le faire ! Et puis, j’adore les jeux Quined, j’y peux rien 