Les répliques mythiques du cinéma

Sigurd dit:La Coccinelle ??


Euh je vois pas le rapport avec le "Boucher" dans La Coccinelle :|

Le film à trouver est lié à une série avec deux flics (un blond, un brun) qui roulent dans une voiture rouge à bande blanche, et même qu'il y a un revendeur de tuyaux dedans...

starsky et hutch alors

Flubuh2 dit:starsky et hutch alors


Voilà, reste plus qu'à trouver le film... :mrgreen:
Flubuh2 dit:starsky et hutch alors


J'y avais pensé, mais l'adaptation ciné date des années 2000 ...

Il y aurait autre chose?

Peut-être que l’un des acteurs de Starsky et Hutch n’est pas QUE simplement acteur :pouicintello:


(et je parle de la série Starsky et Hutch hein, pas du film !)

Running Man ? mais je me souviens pas de boucher…

Commando ?

Ah je crois effectivement que Eric a vu juste … une remontée de souvenir flou …

Eric dit:Running Man ? mais je me souviens pas de boucher...


Exact, The Running Man

Réalisé par Paul Michael "Starsky" Glaser en 87 !!

Où Damon Killian, le présentateur du show fait passer Schwarzie / Ben Richards pour "Le Boucher de Bakersfield", qui a soit disant abattu des centaines de crève-la-faim innocents du haut de son hélico :mrgreen:
rsidie dit:
Sigurd dit:La Coccinelle ??

Euh je vois pas le rapport avec le "Boucher" dans La Coccinelle :|
Le film à trouver est lié à une série avec deux flics (un blond, un brun) qui roulent dans une voiture rouge à bande blanche, et même qu'il y a un revendeur de tuyaux dedans...


:lol: Je ne faisais que passer... J'ai lu entre les lignes et voilà, mon cerveau s'est déconnecté un moment. :oops:

Donc je prends la main. Un très grand film

Et tant qu’on y est, j’emmerde Jésus-Christ.
Il l’a eu facile…
un jour sur la croix, un weekend en enfer,
et tous les alléluias des anges de la légion pour l’éternité.

24 heures avant la nuit d’Edward norton . C’est un extrait de la réplique, une longue tirade…non?

Heu…après recherche de la tirade: un film de Spike Lee :oops:

Ouais, je t’emmerde, toi aussi.
Tu m’emmerdes ? Je t’emmerde.
Je t’emmerde, toi, toute cette ville et tous ses habitants.
J’emmerde les mendiants qui me taxent du fric,
et qui me sourient derrière le dos.
J’emmerde les hommes à la raclette
qui salissent le pare-brise propre de ma voiture.
Trouvez un job, putain !
J’emmerde les Sikhs et les Pakistanais
qui foncent sur les avenues dans des taxis pourris,
le curry qui sort de leurs pores, qui pollue ma journée.
Des terroristes qui s’entraînent, putain. Ralentissez, merde !
J’emmerde les Chelsea Boys
avec leur poitrine épilée et leurs biceps gonflés,
ils se tripotent dans mes parcs et sur mes avenues…
remuant leur queue sur mon canal 35 !
J’emmerde les grossistes coréens
avec leurs pyramides de fruits hors de prix
et leurs tulipes et leurs roses enveloppées dans du plastique.
Dix ans qu’ils sont dans ce pays, eux toujours pas parler anglais.
J’emmerde les Russes à Brighton Beach.
Des petits truands qui s’assoient dans un café, sirotant du thé dans des petits verres,
des morceaux de sucre entre les dents,
gérant leur propre business en se la pétant…
Retournez d’où vous venez.
J’emmerde les Feuges avec leurs chapeaux noirs,
descendant et remontant la 47ème sans se presser,
dans leur gabardine salie par leurs pellicules,
vendant des diamants provenant du trafic organisé sous l’apartheid en Afrique du sud.
J’emmerde les courtiers de Wall Street.
Les prétendus maîtres de l’univers.
Ces enfoirés qui veulent tous ressembler à Michael Douglas - Gordon Gekko
essayant de trouver de nouvelles façons de voler aveuglément les gens qui travaillent dur.
Envoyez ces enculés d’Enron en prison pour le reste de leur putain de vie.
Tu crois que Bush et Cheney ne savaient rien de cette merde ?
Te fous pas de ma gueule, putain.
J’emmerde les Portoricains.
Vingt par voiture, allongeant la liste des assistés sociaux.
Le pire putain de défilé de la ville.
Et ne me lance pas sur les Dominicains,
parce qu’à côté d’eux, les Portoricains ont l’air beau.
J’emmerde les Italiens de Bensonhurst avec leurs cheveux gominés,
leurs chemises en nylon, leurs médailles de Saint-Antoine,
faisant swinguer comme Jason Giambi leurs battes de baseball Louisville Slugger,
essayant d’auditionner pour “Les Sopranos”.
J’emmerde les femmes de l’Upper East Side avec leurs écharpes Hermes
et leur artichaut à 50 dollars de chez Balducci.
Des visages suralimentés qui se font tirer et lifter
et malaxer pour devenir tendus et brillants.
Tu ne trompes personne, mon coeur.
J’emmerde les frères de l’Uptown.
Ils ne passent jamais la balle,
ils ne veulent pas jouer en défense,
ils font un marcher à chaque avancée vers le cerceau,
et puis ils veulent se retourner
et rejeter la faute sur l’homme blanc.
L’esclavage a été aboli il y a 137 ans.
Alors avance, putain !
J’emmerde les flics corrompus avec leur ventouse à violer l’anus,
et leurs 41 coups de feu,
restant derrière un mur bleu de silence.
Vous avez trahi notre confiance !
J’emmerde les prêtres qui ont posé la main…
sur des enfants innocents.
J’emmerde l’Eglise qui les protège, nous livrant, nous, au Mal.
Et tant qu’on y est, j’emmerde Jésus-Christ.
Il l’a eu facile…
un jour sur la croix, un weekend en enfer,
et tous les alléluias des anges de la légion pour l’éternité.
Essaie de passer sept ans dans cette salope d’Otisville, Jésus.
J’emmerde Osama bin Laden, Al Qaeda,
et ces connards d’attardés qui habitent dans des grottes,
ces trous du cul de fondamentalistes partout dans le monde.
Au nom des milliers d’innocents qui ont été assassinés,
je prie pour que vous passiez le reste de l’éternité avec vos 72 putains,
en train de rôtir en Enfer dans un jet en feu.
Vous, les jockeys de chameaux coiffés d’une serviette, pouvez tous embrasser mon royal cul d’Irlandais.
[…]
J’emmerde toute cette ville et tous ses habitants,
des rangées de maisons du quartier d’Astoria…
aux grands appartements sur Park Avenue,
des lotissements dans le Bronx aux lofts de Soho,
des immeubles à Alphabet City,
aux bâtiments de grès brun à Park Slope,
aux bâtiments à deux niveaux de Staten Island.
Qu’un tremblement fasse tout tomber en ruines, que les feux règnent,
que cette ville soit réduite en poussière, que les eaux s’élèvent…
et submergent toute cette ville infestée de rats.
Non.
Non. Je t’emmerde, Montgomery Brogan.
Tu avais tout,
et tu as tout foutu à la poubelle, pauvre crétin !

Vi c’est bien ça et c’est avec Edward Norton. Et c’est vachement bien. A toi

[Hors jeu on]

Pour la petite histoire:

J’emmerde les flics corrompus …,
…et leurs 41 coups de feu,


fait référence à une bavure policières où un jeune homme ,Amadou Diallo, fut criblé de balles par la police …;

Springsteen avait composé American skin (41 shots) à ce sujet, une de ses chansons les plus émouvantes.

[Hors jeu off]


Je suis capitaliste et ils paient…

Indiana Jones 4. son pote qui le trahi dans la zone 51.

ynys dit:Indiana Jones 4. son pote qui le trahi dans la zone 51.


Exact! A toi la main

“Méchant tonton Dog !”

Hors jeu : Merci pour le spoil j’ai pas encore vu indy 4 (ca passait pas a la tv de la clinique ). lol Enfin pas grave si j’allais le voir pr l’intrigue, ca se saurait …

:lol:

Elfyr dit:Hors jeu : Merci pour le spoil j'ai pas encore vu indy 4 (ca passait pas a la tv de la clinique ). lol Enfin pas grave si j'allais le voir pr l'intrigue, ca se saurait ...
:lol:


:oops:

A défaut de Tribun on va se cotiser pour t'offrir la place en guise d'excuses :P ( seances de 11h, faut pas exagérer tout de même :mrgreen: )

Mais heuuuuuuuuu :D :D :D :D :D