Librairies et disquaires,commerces essentiels. Pas les magasins de jeux.

limp dit :Les boutiques de jds vendent des BD dont vous êtes le héros, des livres escape game et parfois des LDVELH : ça pourrait pas leur permettre de rester ouverts ?

A mon avis cela se joue au niveau du code ape, et celui d’une boutique vendant principalement des jeux et jouets n’est pas le même que celui d’une librairie. 

jmguiche dit :
limp dit :Les boutiques de jds vendent des BD dont vous êtes le héros, des livres escape game et parfois des LDVELH : ça pourrait pas leur permettre de rester ouverts ?

A mon avis cela se joue au niveau du code ape, et celui d’une boutique vendant principalement des jeux et jouets n’est pas le même que celui d’une librairie. 

Oui sans doute. C'est le + simple pour l'État.

Mais rien n'interdit à des boutiques voisines de s'unir pour fournir des services.

Exemples vus : Resto dans une chambre d'hôtel (luxe) , resto dans un camping-car (en Belgique), sites communs de villes ou quartiers (ça commence à peine à fleurir)...

C'est un des défauts de l'économie française , cette volonté farouche d'indépendance.
J'avais lu ça pour l'agriculture, mais il me semble que c'est assez vrai ailleurs.
L'Italie excelle avec ses ETI (entreprises de taille intermédiaire,entre PME et grosses boîtes).

Les villes commencent aussi à peine à fournir des moyens pour animer les centres-villes.
Certaines méthodes ont montré leur efficacité: des postes d'animateur du commerce , des commerces loués par la ville (ou une société d'économie mixte).
Si on veut éviter (ou du moins limiter) l'effondrement prévisible des petits commerces , il faudra des actions massues des collectivités locales.