Monsieur LoneCat et le communautarisme

j'oubliais un point : pour dire que la LCEN ne s'applique pas en l'espèce du fait qu'un modo ait ouvertement reconnu qu'il pensait que le contenu était illicite : Nemo auditur propriam turpitudinem allegans.
... bosser en milieu juridique et ne pas connaitre ça, ça fait vraiment peur.

Je comprends pas bien le titre de ce sujet par contre moi ?

Quel communautarisme ?
Celui des pro-S&R idéologiques ou celui des des anti-S&R forcenés ? Ou les deux :p

C'est marrant là toute votre discussion mais on élude totalement le phénomène de défense fulgurante et viscérale de S&R par le staff TT.
Cette discussion là m'intéresserait plus ;)

Oui, moi aussi.

On avait le sentiment étrange que la défense épidermique du jeu révélait en fait un réflexe de défense des institutionnels sur le jury, l'as d'or et tout le toutim.

Une sorte de corporatisme, bien plus réel à mes yeux que cette notion de communautarisme sortie d'on ne sait où.

Une basque est une partie découpée et tombante de certains vêtements[1], par exemple le casaquin, le frac, la queue-de-pie.
On parle parfois des basques du costume pour désigner, sur le costume moderne, les pans du bas-dos.
On en parle généralement au pluriel comme dans l'expression « Lâche-moi les basques ».


--> http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque_%28v%C3%AAtement%29http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque (vêtement)

tom vuarchex dit:Une basque est une partie découpée et tombante de certains vêtements[1], par exemple le casaquin, le frac, la queue-de-pie.
On parle parfois des basques du costume pour désigner, sur le costume moderne, les pans du bas-dos.
On en parle généralement au pluriel comme dans l'expression « Lâche-moi les basques ».

--> http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque (vêtement)

doublon.

Voire même triplon, pour le coup :mrgreen:

je viens de comprendre qu'on ne peut pas éditer ses messages dans les douves ! Mais comme je suis un peu têtu j'ai essayé 2 fois avant de m'apercevoir que seul le bouton "citer" est disponible.
Désolé pour cette parenthèse dans cette discussion passionnante...
:)

Mouais à cause de toi je vais finir par perdre le fil :evil:

tom vuarchex dit:Une basque est une partie découpée et tombante de certains vêtements[1], par exemple le casaquin, le frac, la queue-de-pie.
On parle parfois des basques du costume pour désigner, sur le costume moderne, les pans du bas-dos.
On en parle généralement au pluriel comme dans l'expression « Lâche-moi les basques ».

--> http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque_%28v%C3%AAtement%29http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque (vêtement)


Vu le lien que vous produisez, je comprends mieux votre niveau de français.

Ah j'étais triste. Après leur passage dans les douves, les deux autres découpages n'ont pas été découpés... Je pensais avoir acheter trop de pop corn là..

Bé non, je peux m'assoir tranquillement et grignoter.

continués et non pas découpés, désolé de faire moi aussi perdre le fil ...

tom vuarchex dit:Une basque est une partie découpée et tombante de certains vêtements[1], par exemple le casaquin, le frac, la queue-de-pie.
On parle parfois des basques du costume pour désigner, sur le costume moderne, les pans du bas-dos.
On en parle généralement au pluriel comme dans l'expression « Lâche-moi les basques ».

--> http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque_%28v%C3%AAtement%29http://fr.wikipedia.org/wiki/Basque (vêtement)


Sans vous avoir jamais rencontré, quelque chose me disait que vous deviez avoir le profil - bien que vous le baissiez bas, pas encore assez, mais vous faites d'indéniables efforts - quelque chose, en effet, me disait que vous êtes homme à porter la queue-de-pie.
J'ai bien dit porter.

BASQUE1, subst. fém.
A. HABILLEMENT
1. Partie découpée du vêtement qui descend au-dessous de la taille. Habit à petites, à grandes basques (Ac. 1835-1932). Basques rapportées, moulage des basques :
1. Il portait les souliers à boucles de diamant, les bas de soie, la culotte courte bouclée sur le genou, la veste à longue basque et à larges poches pleines de tabatières, ...
LAMARTINE, Nouvelles Confidences, 1851, p. 55.
2. Andoche entre par la gauche. Paysan d'une cinquantaine d'années. (...) Il est en manches de chemise; gilet à basques, de forme ancienne; ample pantalon, dont le bas est serré contre le mollet par un entrelacs de cordes. Le cou est largement découvert.
R. MARTIN DU GARD, La Gonfle, 1928, I, 1, p. 1172.
3. ... presque aussitôt, elle [Élizabeth] se retrouvait assise sur l'herbe, pendant que l'oncle Édouard se sauvait, les basques au vent.
GREEN, Journal, 1928-34, p. 269.
4. ... l'habit à basques est le signe distinctif de l'homme du monde ou du maître d'hôtel; ...
R.-H. LOWIE, Manuel d'anthropol. culturelle, 1936, p. 98.
Rem. On rencontre dans la docum. une forme région. baste qui signifie « rempli fait à une pièce d'étoffe » :
5. « Ne voyez-vous pas, disait-elle [Mme de Hautcastel] à sa femme de chambre (...) que ce caraco est beaucoup trop large pour ma taille, surtout en bas, et qu'il y faut faire une baste avec des épingles? »
X. DE MAISTRE, Voyage autour de ma chambre, 1794, p. 77.
Au fig., fam. Se pendre, s'accrocher aux basques de qqn. Le suivre partout, ne pas le quitter :
6. Ils vont tous s'accrocher à vos basques pour vous retenir, mais vous ne faiblirez pas : un garçon comme vous, un garçon anglais n'a qu'une parole, je le sais, j'en suis sûr.
MAURIAC, Asmodée, 1938, III, 6, p. 117.
2. Spéc. ,,Corsage de robe serré à la taille, en forme de corset(GAY t. 1 1887) :<br />7. Les coussins, le « strapontin » de l'affreuse « tournure » avaient disparu, ainsi que ces corsages à basques qui, dépassant la jupe et raidis par des baleines, avaient ajouté si longtemps à Odette un ventre postiche...<br />PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, p. 618.<br />B. P. anal. ,,Table de plomb ayant la figure d'une basque d'habit et qu'on place dans les couvertures des grands édifices sur l'angle que forme le faîte avec les arêtiers, ou sous la panne du brisé d'un comble (JOSSIER 1881).
Prononc. : 1. Forme phon. [bask]. 2. Homon. : basque2.
Étymol. ET HIST. 1. 1351 baste « rempli qu'on fait à une pièce d'étoffe » (Compte d'Estienne de la fontaine, argentier du roi dans HAVARD, Dict. de l'ameubl. et de la décoration, Paris, t. 1 s.v. : cendaux de plusieurs couleurs pour faire la bordure et [les] bastes du poële [aux funérailles de G. de Valennes, Chambellan du roi], qui fut semé de XXX escussons des armes dudit chevalier); 2. 1532 basque « partie d'étoffe située au-dessous de la ceinture du corsage ou du pourpoint [ici du corsage] » (Inv. de la garde-robe de la reine, fo 219 dans GAY t. 1 s.v. : Une basque de satin cramoisi rouge où soulloit avoir une broderie d'or traict qui a été hostée pour l'antrée de Rouan. Plus 2 vertugalles de taffetas gris).
1 est prob. empr. au prov. basto « troussis, rempli d'étoffe » (v. MISTRAL t. 1 s.v.), seule lang. rom. du Sud, avec le cat., à avoir ce sens : l'ital. basta, proposé comme étymon par EWFS2 (qui propose également l'étymon prov.) et DAUZAT 1968, n'a en effet que le sens de « faufilure » (v. DEI et BATT. s.v.) qui ne suffit pas à expliquer le sens du mot fr., et il en est de même pour l'esp. basta, attesté dep. 1571 (d'apr. AL. t. 1 s.v.). Baste ne peut pas être non plus le contin. direct du judéo-fr. baste (XIe s., Raschi, v. FEW t. 15, 1, p. 75a), déverbal de l'a.fr. bastir « faufiler », à cause du s prononcé (v. BL.-W.5, s.v. basque). Tous ces mots remontent au germ. bastjan (bâtir). 2 est dû à une contamination avec basquine*.
BBG. DUCH. 1967, § 35.

Source : http://atilf.atilf.fr/
Ca fait plus sérieux, là ?
Ca lui va,

Kalen dit:Je comprends pas bien le titre de ce sujet par contre moi ?
Quel communautarisme ?
Celui des pro-S&R idéologiques ou celui des des anti-S&R forcenés ? Ou les deux :p
C'est marrant là toute votre discussion mais on élude totalement le phénomène de défense fulgurante et viscérale de S&R par le staff TT.
Cette discussion là m'intéresserait plus ;)


Cette discussion aurait ça place ailleurs qu'ici non ?

Pour répondre succinctement : Le staff de TT qui s'exprime c'est deux personne : Monsieur Phal et moi-même. Et il y a plusieurs débats qui s'emmêlent : Un débat sur le jeu, un autre sur le choix de celui-ci comme prix du Jeu de l'Année et un autre sur le fonctionnement; la pertinence et la légitimité du jury.

il se trouve par ailleurs que nous sommes particulièrement concernés sur les questions du projet du Prix du Jeu de l'Année puisque nous y avons contribué depuis plusieurs années.
Plusieurs années cela veut dire une implication suivie; des débats avec tous les acteurs concernés y compris avec les organisations similaires européennes comme le Spiel et autres consorts.

Le prix gagnant peu à peu en visibilité (même s'il reste encore beaucoup de travail à faire) les réactions sont plus nombreuses et aussi plus fortes.
Or il se trouve que cette année, nous avons assisté à quelques réactions tenant plus du brouhaha de presse people que d'éléments de débats.
Cela n'est, à mon avis d'ailleurs pas lié seulement au prix mais à l'accroissement de l'intérêt que le public porte au jeux de société.

Parler de corporatisme est donc une vision bien restrictive. Oui nous défendons le projet ce qui me parait simplement une évidence quand on y est ou a été impliqué. (je n'y travaille plus moi-même depuis cette année). S'il apparaissait que celui-ci soit entaché d'irrégularités ou ne respectait pas les choix annoncés pour y substituer des intentions cachés nous serions aux premières loges pour les dénoncer.

C'est une simple question d'implication dans un projet que l'on a soutenu pour en avoir éprouvé les qualités et les défauts.

Le titre du sujet vient du fait que j'ai dû le découper suite à une polémique concernant un lien vers le blog de Gus&Co qui accusait Lui-même de pratiquer le plagiat sur ces deux derniers jeux. Monsieur LoneCat n'était pas très content que je supprime le lien qui était poste sur la fiche de S&R en arguant que je n'avais pas légitimé pour agir ainsi puisque le TT est communautaire.

Seulement voilà cette communauté est régit par des modérateurs. Et pour ma part je ne laisse pas passer d'accusations infondées. Le problème a été réglé, le texte du blog modifié et le lien remis en place.
Mais voilà monsieur LoneCat se demande quelle légitimité je peux bien avoir pour faire ainsi la police sur ce site et semble artificiellement sourd aux explications. Je le laisse à ses considérations dans les douves car en dépits de ses protestations, il faudra qu'il s'y fasse ^^

Monsieur Zogotunga,

ce qui nous occupe ici n'est pas la définition du mot basque.

Mais de rétablir avec rigueur et exactitude les locutions et expressions proverbiales.
Or le verbe lacher et basques ne sont pas accouplés dans ce cadre.

Bien à vous

Espinha de Bacalhau dit:rétablir avec rigueur et exactitude les locutions et expressions proverbiales.
Or le verbe lacher et basques ne sont pas accouplés dans ce cadre.

6. Ils vont tous s'accrocher à vos basques pour vous retenir, mais vous ne faiblirez pas : un garçon comme vous, un garçon anglais n'a qu'une parole, je le sais, j'en suis sûr.
MAURIAC, Asmodée, 1938, III, 6, p. 117.

Il s'agit juste de revenir à l'origine de l'expression "lâcher les baskets", qui semble (mais peut-être me trompé-je) provenir de "lâcher les basques" (quelqu'un s'y accroche, il est donc bien logique qu'on veuille qu'il nous les lâche, non ?)

Et c'est qui ce monsieur Mauriac chez Asmodée ?

Cher docteur,

j'ai lu votre réponse, je la trouve argumentée et, pour ce qui me concerne, convaincante.
Je vous remercie pour cette réponse.
Et je retire ce mot de corporatisme. Excessif

Dommage que ces éléments d'explication demeurent ici dans les douves.

Merci pour cette réponse Docteur Mops, c'est intéressant et constructif.

Zogotounga dit: Il s'agit juste de revenir à l'origine de l'expression "lâcher les baskets


L'origine de lâcher les baskets n'est pas lâcher les basques.
Le cheminement est le suivant.
Au départ, une expression qui admet plusieurs variantes, être pendu, suspendu, s'accrocher, coller aux basques de quelqu'un qui toutes, en termes de focalisation, parle du point de vue de celui qui suit la personne.
De coller aux basques on passe à coller aux baskets eh oui ! la langue s'adapte à la mise vestimentaire.
Puis, c'est là que survient le changement, on bascule sur la perspective, le point de vue de celui qui est suivi, avec lâche-moi les baskets.
Par un phénomène retroascendant, ce lâche-moi les baskets devient en bout de course lâche-moi les basques

En conclusion, l'expression lâche-moi les baskets n'a pas pour origine lâche-moi les basques. Au contraire, c'est lache-moi les baskets qui est à l'origine de lâche-moi les basques.

Bon, on va peut-être lacher là.

:pouicintello:

Espinha qui ne lâche rien