Logan dit:Je sais, j'ai le même défaut, la preuve !
Ah ben nous voilà bien ! C'est que j'ai du travail, moi !!!
Logan dit:Et à 5 on tombe à 7/12. Déjà qu'a trois je trouvais qu'on ne pouvait pas vraiment d'établir de prévision sérieuse.
Permettez-moi alors d'apprendre à lire dans boules de cristal. Non, mais, très sérieusement, bien sûr qu'on ne peut pas appliquer une ligne de conduite dans sa droite ligne, mais vous devez être habitués à ce genre de choses, il faut toujours avoir plusieurs pistes. J'aime bien contrôler Sparte à ce jeu, comme ça (pour essayer de récolter des points de victoire militaire) ; bon, quand je vois que ce n'est pas possible à un tour, je passe à autre chose et j'essaie de faire en sorte que ce soit possible le tour d'après ; bon, parfois, je me retrouve avec les Perses aussi...
Logan dit:Mais bon, je suis d'accord que cette partie du jeu étant celle qui m'a le plus intéressée, je lui redonnerai sa chance et je verrais s'il y a vraiment moyen ou pas d'anticiper le tour suivant.
Je ne me souviens plus, vous ne fîtes qu'une seule partie ?
Logan dit:Meeeuuhhh dit:Vi, mais on ne connaît pas celui des autres, donc on ne peut pas anticiper sur ce qu'ils vont faire.
Heureusement ! C'est tout de même pas un jeu solo et il y a de vrais adversaires avec de la chair et des os qui font partie du jeu
Ce n'était pas une critique de Louis XIV (le jeu) bien sûr. Mais c'était juste pour souligner la lapalissade qui consiste à dire que dans ces deux jeux là (c'est marrant cette petite comparaison impromptue entre Louis XIV et Périklès alors que rien ne le laissait présager, je me demande ce qu'en penseraient ces deux grands hommes), il y a de l'incertitude à prendre en compte et que le jeu des autres (choix des tuiles/pose des barriques) influence son propre jeu et qu'il faut s'y adapter (mais c'est vrai de pleins d'autres jeux, c'est pour ça que ça tient de la lapalissade).
Logan dit:En parlant de Lord Kalbut, c'est peut-peut-être ça le problème. Il faisait bien les intermèdes entre les combats mais en criant "Périkles, c'est môôôôôôôôôôôôche !!!". Alors on a fini par le coire !
Ah, voilà ! Et moi qui me suis lancé dans des arguments tout ça tout ça, alors que la solution était là, immédiate, toute simple, diaphane, mystérieusement belle tant elle est évidente : qu'on pende M. Lord Kalbut ! Avec son caleçon !