Quoi, on nous empêcherait d’écrire ?
Mobilisons-nous, compadre ! No pasaran !
Prenons nos fourches et montons à Paname,
Déterrer les pavés de la Bastille
Faisons-en un jeu de quille
Dans lequel nous lancerions le chien
A la Défense, quelques adipeux requin
Puisse-t’il mordre avec appétit
Tous ces pingouins et leur sosie
Qu’il avale goulûment en trinquant à la Badoit
Qui lave. Va le goule humant en train, quand Al là bas doit
Rassembler ses gangster, et passer à l’attaque
Et rase sans blesser gangs, stères et pas sales au talc
Comme de gros chérubins qui auraient fait leur rôt
De retour sur le ver car m’ennuyant un peu au boulot
Caressant ce vieux troll qui s’était endormi
Marcel, un demi
les écoutés, ça rend plus gaie.
Dit le client, tenant sa bière ambrée,
Pendant que les trolls jouent à la pétanque.
Mon Dieu le cochon a disparu sous un tank
Qui donc lance une guerre à l’heure de la sieste?
D’aucuns les décriront barbus comme la peste
Mais qu’importe la toison, tant qu’ils n’en veulent qu’aux kurdes
Et délaissent le bonheur pour des idéaux absurdes.
Ciel, le porcin s’est transformé en tranches de jambon