Aïe, c'est un impair impardonable, ça. Va-t'elle m'en vouloir ?
Mme Kouynemum, je vous présente mes plus plates et plus sincères excuses.
Bah... c'est pas très très grave en fait... et comme tu le signale... on ne s'amuse pas, on joue. 
Croyez-bien que je suis fort contri de vous avoir fauché l'herbe sous le pied.
Je dois dire pour ma défense qu'il est fort tard et que suis très las...
Mince ! tu faisais une page ?... argh ! 
Je me tais.
... ce qui a certainement dû engourdir mon attention. Quelle situation désolante.
Si par cet acte odieux je venais à gagner quelque point que ce fut ...
Enfin, non : je t'aide à finir cette page. Ainsi, tu pourras faire tranquillement la suivante.
Je pense que la galanterie la plus élémentaire voudrait que je le ou les lui cédasse.
(Je parle des points. Que je lui cédasse les points, ou le score, ou la renommée qu'importe c'est clair là ?)
Et je salue ton éloquence, soit dit au passage !
A toi la prochaine page !
Encore que, à la réflexion, une offrande expiatoire s'impose. Je prépare l'autel, je brule l'encens et la myrthe, j'affute la lame sacrée...
... viens par ici mon petit Deckard, petit, petit ...
M'enfin, quelle idée aussi de m'interrompre dans mon excuse à Mme kouynemum...
En même temps, on ne peut pas chasser deux liêvres à la fois, je ne suis que justement puni.
Merci, ô rose et divin cochon, de m'éclairer ta divine sagesse...
... pardonne mon ire cochonnicide. J'errais dans l'obscurité et m'emportait contre toi alors que la faute était mienne.
Il est vrai que parfois un trop grande clarté aveugle tout autant que les ténêbres les plus profondes.
Il est alors aisé de se méprendre, égaré que l'on est...