A propos de la règle des combats simplistes d'After the Flood. C'est moins simpliste qu'à Britania et compagnie et pourtant, à Britania et compagnie, c'est le coeur du jeu, pas question de commerce dans ces jeux-là.
A After the Flood, les points apportés par les militaires sont certes très importants. L'implication de ce constat c'est qu'en terme de jeu, il faut s'attacher à prendre les empires les plus forts et faire ce qu'il faut pour cela On peut aussi jouer sur la force des empires grâce à la force de son commerce, en consacrant ses excédents de commerce à renforcer la puissance militaire de son empire. Les combats ne sont là que pour rajouter une incertitude, un sigma, au nombre de points que vont apporter les militaires. En plus, on peut influencer sur ce sigma en choisissant des les envoyer au combat avec du lapis-lazuli comme breloque ou de les laisser à poil, breloques libres.
Bref, c'est parfait, avis modeste après, hum, 2/5 de partie.
Meeeuuhhh dit:A propos de la règle des combats simplistes d'After the Flood. C'est moins simpliste qu'à Britania et compagnie et pourtant, à Britania et compagnie, c'est le coeur du jeu, pas question de commerce dans ces jeux-là.
Pas d'accord monsieur le Duc (ça c'est depuis la partie de Palais Royal d'hier
) :Primo, a Britannia, il y a des jets de dés en simultanné (le défenseur réplique quoi)...Dans after the flood, le défenseur est passif....et il y a quelques modificateurs de dés à Britannia (1 seul à After the flood).
Secondo, a Britannia, il est effectivement pas question de commerce et ce sont les conquêtes qui rapportent des points, et c'est d'ailleurs la philosophie globale du jeu. Or, à After the Flood, où il est question de commerce, de gestion (et cela peut rapporter des points par la phase extension de cité), je constate que les occupations territoriales par la force militaire rapportent beaucoup de points.
Qu'un jeu de baston rapporte des points grace à des occupations territoriales, cela me surprend évidemment pas. Mais qu'un jeu, qui se veut être autre chose qu'un jeu de baston, donne une telle importance en terme de points aux résultats des actions militaires, cela me gène un peu...surtout quand la phase combat est aussi...simpliste.
Mmh, je crois que vous lûtes mal ce que j'ai écrit... Enlevez donc la peau de saucisson qui vous obscurcit le regard et vous verrez mieux.
Nulle ficelle de paupiette dans mon regard bleu azur. 
Vous dites que les combats à After the flood sont moins simplistes qu'à Britannia, et bien je dis que je ne suis pas en accord avec cette affirmation pour des raisons exprimées plus haut...j'ajoute que cette extrème simplicité est un peu "décalée" en rapport à la quantité de points que peuvent rapporter ses résultats... 
Alors que marquer des points par extension de cité, c'est assez difficile, car les échanges sont exigeants sur le plan de la reflexion et des placements de travailleurs, les travailleurs/commerçants pouvant d'ailleurs se retrouver paralysés par...une armée ennemie qui elle en plus, peut commercer...prime encore à l'action militaire
Le Zeptien dit:
Vous dites que les combats à After the flood sont moins simplistes qu'à Britannia, et bien je dis que je ne suis pas en accord avec cette affirmation...
Tout ça, ça se discute, à Britania, on lance un dé, on fait 6, l'unité en face est dégommée, bon, avant de l'être, elle le fait aussi, bon. Mais en terme de statistique, c'est pareil, hein. Et si on est sur une montagne on fait +1 et voilà. C'est du même acabit, allons, je veux bien le concéder.
Le Zeptien dit:
j'ajoute que cette extrême simplicité est un peu "décalée" en rapport à la quantité de points que peut rapporter ses résultats...
A Britania, ce sont tous les points qui sont apportés par des combats très simples. Mais passons. Ensuite, dans ce que je dis, parce que je ne faisais pas que dire que les combats étaient du même acabit (disons) qu'à Britania, c'est que l'économie va être au service de l'acquisition de l'armée la plus forte et donc de celle qui est la plus prometteuse en points. Peut-être qu'il faut se battre un peu plus pour les emplacements des armées fortes. Wallace est un adepte des enchères, ne l'oublions pas. Et bien, la prise de contrôle d'une zone qui fait naître un empire, ce n'est jamais qu'une enchère un peu déguisée. Combien est-on prêt à mettre de zigues sur telle zone de naissance d'un empire, sachant que ces zigues n'iront pas produire de quoi commercer pour équiper les armées, faire des extensions de villes, etc. Sachant aussi que les zigues pourront servir à continuer à jouer quand quelqu'un aura passé (donc). Ce n'est pas parce que les points sont majoritairement apportés par les armées qu'ils sont majoritairement apportés par les combats. Loin de là. Comme je le disais tout à l'heure, les combats vont apporter le sigma : j'ai une armée de 10, ça fait 20 points si je les place tous, mais avec les combats, je peux en avoir moins. Ce qui est le plus déterminant, ça va être la capacité à prendre l'armée la plus forte, à se bien placer, et à renforcer son armée ; et ça, c'est respectivement l'enchère cachée, le placement, la production et le commerce. Donc ce qui rapporte les points, ce ne sont pas tant les combats, mais plus ce qu'il y a avant.
En tout cas, à première vue.
Le Zeptien dit:
Alors que marquer des points par extension de cité, c'est assez difficile, car les échanges sont exigeants...
Ce sont les excès de ces échanges qui peuvent permettre de renforcer l'armée. Peut-être qu'en fait, il faut surtout s'acharner à renforcer ses armées, ce n'est pas pour rien qu'il y a 20 soldats par couleur (même si ça dépend des boîtes, mais bon). L'extension des villes est peut-être plus anecdotique. Pour consommer ce qui ne va pas dans l'armée. Mais bon, je pense que c'est plus un équilibre à trouver. Si mes souvenirs sont bons, un extension de ville maximale, ça fait 20 points, ce qui fait 10 armées. Donc, en gros, si on joue bien, il faudrait arriver à faire payer celui qui prend l'armée la plus grosse l'équivalent en terme d'extension de cité de la différence entre sa grosse armée et l'armée la plus petite. Mais ça ne doit pas être facile.
Comme dans tout bon jeu d'enchère, finalement...
Le Zeptien dit:Meeeuuhhh dit:A propos de la règle des combats simplistes d'After the Flood. C'est moins simpliste qu'à Britania et compagnie et pourtant, à Britania et compagnie, c'est le coeur du jeu, pas question de commerce dans ces jeux-là.
Pas d'accord monsieur le Duc (ça c'est depuis la partie de Palais Royal d'hier
Primo, a Britannia, il y a des jets de dés en simultanné (le défenseur réplique quoi)...Dans after the flood, le défenseur est passif....et il y a quelques modificateurs de dés à Britannia (1 seul à After the flood).
Secondo, a Britannia, il est effectivement pas question de commerce et ce sont les conquêtes qui rapportent des points, et c'est d'ailleurs la philosophie globale du jeu. Or, à After the Flood, où il est question de commerce, de gestion (et cela peut rapporter des points par la phase extension de cité), je constate que les occupations territoriales par la force militaire rapportent beaucoup de points.
Mais vous parlez pas du même jeu ! Meeeuuhhh il parle de Britannia et compagnie et toi tu parles de Britannia
.
Bon c'est lundi et je suis déjà fatigué 
Meeeuuhhh dit:Le Zeptien dit:
Alors que marquer des points par extension de cité, c'est assez difficile, car les échanges sont exigeants...
Ce sont les excès de ces échanges qui peuvent permettre de renforcer l'armée. Peut-être qu'en fait, il faut surtout s'acharner à renforcer ses armées, ce n'est pas pour rien qu'il y a 20 soldats par couleur (même si ça dépend des boîtes, mais bon). L'extension des villes est peut-être plus anecdotique. Pour consommer ce qui ne va pas dans l'armée. Mais bon, je pense que c'est plus un équilibre à trouver. Si mes souvenirs sont bons, un extension de ville maximale, ça fait 20 points, ce qui fait 10 armées. Donc, en gros, si on joue bien, il faudrait arriver à faire payer celui qui prend l'armée la plus grosse l'équivalent en terme d'extension de cité de la différence entre sa grosse armée et l'armée la plus petite. Mais ça ne doit pas être facile.
Comme dans tout bon jeu d'enchère, finalement...
Tout d'abord, je compatis aux désertions et à la présence de grands blessés de guerre par rapport à votre boîte de ATF.
S'acharner à renforcer ses armées ? Et bien ça aussi cela me pose problème...parce que si le jeu consiste à avoir la plus grosse armée, c'est un peu problèmatique par rapport aux autres mécanismes qui veulent faire penser que nous ne sommes pas dans un jeu de baston (ou pas seulement pour le moins). Cela résume l'effort des joueurs à accumuler ce qu'il faut pour avoir une armée maximale à chaque tour, de jeter deux dés et...de jeter deux dés. Si l'extension des villes devait être anecdotique, que reste t-il alors ?
Le Zeptien dit:
Tout d'abord, je compatis aux désertions et à la présence de grands blessés de guerre par rapport à votre boîte de ATF.
Le maître s'est platement excusé, jurant qu'on ne l'y reprendrait plus. Déjà, je suis bien content de les avoir reçues, les boîtes.
Le Zeptien dit:
S'acharner à renforcer ses armées ? Et bien ça aussi cela me pose problème...parce que si le jeu consiste à avoir la plus grosse armée, c'est un peu problèmatique par rapport aux autres mécanismes qui veulent faire penser que nous ne sommes pas dans un jeu de baston (ou pas seulement pour le moins). Cela résume l'effort des joueurs à accumuler ce qu'il faut pour avoir une armée maximale à chaque tour, de jeter deux dés et...de jeter deux dés. Si l'extension des villes devait être anecdotique, que reste t-il alors ?
Ben non, ce n'est pas ce que je dis non plus. L'hypothèse du caractère anecdotique des extensions de ville était dans une certaine phase de mon raisonnement, certes traité par-dessus la jambe, hypothèse sur laquelle je suis revenu ensuite. Il faut faire payer le plus cher possible l'armée la plus grosse à celui qui l'aura prise. Compenser sa petite armée par un commerce efficace. Dégager des excédents pour étendre ses villes (il doit y avoir des moments plus ou moins judicieux pour ça d'ailleurs). Il ne s'agit effectivement pas d'un jeu de baston, le placement des armées prend certes un peu de temps, mais bon. Le commerce est là pour acheter des points en fait ; sauf que les points ont parfois deux jambes (bon et parfois une aussi).
En gros, c'est encore un jeu où on récolte des trucs, on les transforme en machins pour acheter des points de victoire et il y a d'autres points de victoire qu'on achète avec des enchères qui sont faites en monnaie qui sert aussi à récolter les trucs du début et à transformer les trucs en machins et enfin, les machins peuvent améliorer la capacité des choses achetées aux enchères à se transformer en points. Les dés ne sont là que pour ajouter un aléa sur le ratio de conversion des choses achetées aux enchères en points. Vraiment pas le mécanisme principal, faut pas trop de focaliser dessus.
Évidemment, les 2/5 de partie que j'ai fait, à faire des 4 avec deux dés, ont pu biaiser la vision que vous eûtes de ces combats, j'espère que ce ne sera que de courte durée. Et surtout, que ça mettra un terme à cette fallacieuse rumeur qui prétend que, je cite avec dégoût "j'ai de la chance aux dés". Ce qui ne veut mathématiquement rien dire. Pff, bande d'êtres irrationnels.
Excusez-moi, c'est très décousu, tout ça. C'est parce qu'il m'est arrivé un truc à 7 ans. Après, ça a été fini, que des trucs décousus.
Logan dit:
Mais vous parlez pas du même jeu ! Meeeuuhhh il parle de Britannia et compagnie et toi tu parles de Britannia
Tout à fait, mais vous savez, M. Le Zeptien est un habile discoureur, il déforme toujours ce que disent les autres. Il est comme ma mère, d'ailleurs.
C'est troublant.
Meeeuuhhh dit:Le Zeptien dit:
Tout d'abord, je compatis aux désertions et à la présence de grands blessés de guerre par rapport à votre boîte de ATF.
Le maître s'est platement excusé, jurant qu'on ne l'y reprendrait plus. Déjà, je suis bien content de les avoir reçues, les boîtes.
Que s'est-il passé sur les boîtes de Monsieur Meeeuuhhh ? Elle ont été larguées d'hélicoptère dans son enclos ?
Meeeuuhhh dit:En gros, c'est encore un jeu où on récolte des trucs, on les transforme en machins pour acheter des points de victoire et il y a d'autres points de victoire qu'on achète avec des enchères qui sont faites en monnaie qui sert aussi à récolter les trucs du début et à transformer les trucs en machins et enfin, les machins peuvent améliorer la capacité des choses achetées aux enchères à se transformer en points. Les dés ne sont là que pour ajouter un aléa sur le ratio de conversion des choses achetées aux enchères en points. Vraiment pas le mécanisme principal, faut pas trop de focaliser dessus.
J'ai la même impression.
Meeeuuhhh dit:Logan dit:
Mais vous parlez pas du même jeu ! Meeeuuhhh il parle de Britannia et compagnie et toi tu parles de Britannia
Tout à fait, mais vous savez, M. Le Zeptien est un habile discoureur, il déforme toujours ce que disent les autres. Il est comme ma mère, d'ailleurs.
C'est troublant.
Oui, et bien sachez que si j'étais votre mère, vous ne passeriez pas votre temps à trainer sur ce site de voyous (oui monsieur ! Parfaitement ! De voyous !), qui jouent à des jeux on l'on maltraite des chrétiens, où l'on transporte des esclaves pour les faire travailler dans des plantations de sucre ou de café, où on joue aux truands qui se partagent le butin d'un hold up (quelle honte !), ah, vous pouvez rire de la philosophie ultra-capitaliste du monopoly ! D'ailleurs, moi je ris : Ah ! ah ! ah !
Et cet After the flood là ! j'ai un peu peur que ce soit un pur jeu de guerre finalement (quelle horreur !).
D'ailleurs dorénavant, je vais l'appeler After the Blood....
Pour Logan : dans la boite de la vachette sacrée, il y avait un soldat cul-de-jatte (un vétéran bléssé sans doute) mais surtout...quelques soldats en moins...le maestro va surement arranger cela rapidement je suppose... chez Warfrog, c'est du sérieux.
Logan dit:Que s'est-il passé sur les boîtes de Monsieur Meeeuuhhh ? Elle ont été larguées d'hélicoptère dans son enclos ?
Et bien, elles m'ont été livrées et déposées au pied de la porte de mon appartement, à la vue de tous, à un mètre de la porte d'entrée de l'immeuble qui est souvent grande ouverte. Et il manquait trois soldats rouges, trois violets et un violet n'a qu'une jambe.
PSt : de nos jours, on ne dit plus un enclos, mais une stabulation libre, M. Logan.
MOz dit:J'ai la même impression.
Ah, ça me rassure. Sur le point de savoir si j'avais été clair, en fait. Pour tout vous dire, j'avais quelques doutes. Mais visiblement, si.
Meeeuuhhh dit:MOz dit:J'ai la même impression.
Ah, ça me rassure. Sur le point de savoir si j'avais été clair, en fait. Pour tout vous dire, j'avais quelques doutes. Mais visiblement, si.
Moi, j'ai la même impression que le Zeptien
.
Meeeuuhhh dit:Logan dit:Que s'est-il passé sur les boîtes de Monsieur Meeeuuhhh ? Elle ont été larguées d'hélicoptère dans son enclos ?
Et bien, elles m'ont été livrées et déposées au pied de la porte de mon appartement, à la vue de tous, à un mètre de la porte d'entrée de l'immeuble qui est souvent grande ouverte. Et il manquait trois soldats rouges, trois violets et un violet n'a qu'une jambe.
PSt : de nos jours, on ne dit plus un enclos, mais une stabulation libre, M. Logan.
Ca c'est un truc qui m'angoisse toujours. Quand je ne les surveille pas, je ne sais pas ce que font les petits soldats de mes jeux. Peut-être qu'ils continuent la guerre !... C'est ce qui a dû se passer avec ceux-là.
Logan dit:Moi, j'ai la même impression que le Zeptien
Mon Dieu, comment peut-on tomber si bas ?
Bon...et un CR de partie de ATF....une partie qui a été jusqu'au bout cette fois !
http://www.jedisjeux.net/after-the-floo ... ie_id=1895
D'après vos commentaires, il semblerait donc que j'ai bien fait de ne pas krÂker kÔmme un gÛgÛsse pour ATF. Mieux vaut que je reste dans le Wallace gestion que d'aller me fourvÔyer dans le Wallace poutrÂge, par rapport à mes goûts.
Sutout que j'ai trouvé un trÊs grÔs Ôs à ronger là: "Le Havre"
Meeeuuhhh dit:Logan dit:Moi, j'ai la même impression que le Zeptien
Mon Dieu, comment peut-on tomber si bas ?
Bah Ôui ! Le PlÔut, il est pas comme nous Meuuuh,
il maaÂitrise le hasard lui !
