Du pourquoi le jeu n'est pas un art

Toute acte de création demande une maîtrise et toute maîtrise appel a un art. Cela n’est pas autrement le cas que pour le jeu de société, je dirai même que le rôle quasi omnisciente du game designer le pose dans un “rôle de grand créateur”, celui du verbe, de la loi et des mécanismes qui doivent régir son oeuvre.
L’artisanat ludique doit encore passé au statut d’Art ludique, bien que les prémisses d’un tel art ont déjà été fonder par nos aïeux je pense à au méncanique épuré d’un go ou senet qui jadis avait déja dépasser le rang de simple objet ludique pour celui de support théologique & cosmogonique. Le jeu est un Art passerelle entre les Arts (art plastique, art de l’écrit, art numérique, art musical …) un art qui accentue la maîtrise des émotions humaine, un catalyseur affectif et social (chaque civilisation a eu son jeu référent de sa vision au monde, car le jeu agie un comme vecteur éducatif d’un schéma social propre). Si vous creusez les jeux actuels vous trouverez des jeux qui interpellent clairement certaine fibres profonde concernant notre société, notre terre et son histoire récente avec emotion& intelligence je pense à CO2, Pax emancipation, raid of thaihoku et d’autres… voir les prochains Artificial intelligence (What’s Your Game?) Transhumanity (Mindclash) ou encore On Mars, Living planet…
Soyez à l’écoute de ce que leurs auteurs chuchotent ! ce ne sont que les premiers bourgeons d’un Art moderne en devenir…

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Difficile de trancher personnellement pour savoir si le jeux est un art, y a t’il une frontière intangible entre sa présence et son absence ?
Pour y répondre j’ai envie de me diriger vers les jeux les plus abstraits.
Prenons par exemple les échecs, il est convenu que les plus grands champions sont reconnaissable à leur style.
Par exemple un connaisseur face à une partie de mikhail tal reconnaîtra son auteur comme un œnologue identifiera un vin.
De même à l’opposé des sacrifices de spéculation du maître letton on trouvera Petrossian se cachant derrière une partie menée sur un style hyper prophylactique.
Peut être hésitera t’on entre lui et Nimzowitch le précurseur de cette façon de jouer mais l’ouverture donnera une idée de l’epoque et donc tranchera entre les deux…
Ainsi comme en musique ou en peinture, il existe dans certains jeux un style, et une interprétation de ce style.
Un expert reconnaîtra un Vermeer ou une symphonie de bartok rien que par le style et sans forcément se souvenir exactement du tableau ou de la mélodie.
Est ce que la présence de style et d’interpretation sont suffisant pour parler d’art ?
L’emotion dégagée lors de la lecture d’une partie existe aussi, rejouer les coups de l’immortelle d’ andersen ou de la partie de l’opera de Morphy provoque indubitablement des sentiments.
Je terminerai avec cette citation de Joël Lautier (Grand maître international) : « A chaque partie perdue on laisse un peu de soi, le plaisir de la victoire n’est jamais proportionnel au remord de la défaite… »
Ce sont des sentiments profonds qui psychanalytiquement peuvent s’associer à une forme de mort. Ceux qui s’aventurent vers les frontières de la performance logique y ont parfois laissé la raison (par exemple bobby fisher).
N’y a t’il pas un parallèle avec des artistes tourmentés comme van gogh, gérard de nerval, etc…
Je vois par contre une différence avec la peinture , la musique et le jeu en général.
A l’heure de l’intelligence artificiel en plein boom avec les techniques Deep mind qui ont fait s’ecrouler le dernier jeu résistant à la machine l’année dernière (le jeu de go), aucune machine n’a réussit encore à produire un tableau de maître ou une symphonie à la hauteur des plus grand compositeur.
Est ce un signe qu’il existe une frontière entre le jeu et l’art ?

“Toute acte de création demande une maîtrise et toute maîtrise appel a un art.”

Donc tout ce qui serait crée appellerait à l’art?
Vous m’en voyez fortement douter.
L’élaboration d’un discours afin de convaincre son auditoire n’est pas un art (le fameux “art” de la rhétorique), la création d’une voiture, d’un gadget de la vie de tous les jours, d’un ordinateur nest d’aucune façon artistique.

Effectivement, je parlerais peut être plus d’artisanat,

Est ce qu’une mécanique épuré en fait un art? A mon sens cela ne suffit pas, même si c’est effectivement peut être un pas vers quelque chose…
La mécanique doit à mon sens disparaitre afin de laisser sa place à une force créatice, émotionnelle. alors que la priorité actuelle est justement de baser les jeux sur la mécanique.
Même si j’entends certains de vos arguments, aucun jeu ne vient vous perturber dans vos habitudes, ne vient changer votre vie de manière profonde et bouleversante.

J’utilise souvent la définition qu’en donne Michel Lalet.
« L’art provoque de l’émotion. »

Mais je suis d’accord, ça ne suffit pas à caractériser une œuvre d’art.
J’ai ouvert « Histoire de l’art », pour me rappeler ce qu’en dit Ernst Gombrich.
Je cite : « Disons nettement, tout d’abord, qu’à la vérité « l’Art » n’a pas d’existence propre. Il n’y a que des artistes. »

Voilà, je trouve, une brève et adéquate définition.
Il n’y a pas d’art, il n’y a que des artistes.

Si on se réfère à la classification des arts, quasiment tout est art, la page wikipoupou est bien faite.
Nous en sommes au “10e art”… chaque période voit de nouveaux thèmes, groupes, se rattacher aux précédents ou en créer de nouveau…

Je continue pour le plaisir la suite de l’introduction :
« Il n’y a aucun inconvénient à nommer art l’ensemble de ces activités, à condition toutefois de ne jamais oublier que le même mot recouvre cent choses diverses. » /…/
« On peut écraser un artiste en lui disant que ce qu’il vient de faire n’est peut-être pas mal dans son genre, mais que ce n’est pas de l’ « art ». Et on peut confondre un brave homme qui admire un tableau en lui disant que ce qu’il aime dans cette œuvre ce n’est pas l’Art lui-même, mais quelque chose d’autre. »

Bref, il continue en disant qu’il n’y a pas de mauvaises raisons d’aimer une “œuvre”.
Et que notre vision, nos sentiments quand nous apprécions une œuvre avec nos sens, entrent en raisonnance avec notre vie propre, et que cette expérience est unique.

Il n’y a pas d’art, il n’y a que des artistes :slight_smile:

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Et ceux qui ont réponse à tout, et qui ne se remettent jamais en question aussi…

L’article est une remise en question avec principalement aucune affirmation mais essentiellement des interrogations sur le sujet.
Il me semble normal de toujours répondre à Mr Eldarh qui n’aime pratiquement aucun de mes articles mais continue de me suivre assidument depuis maintenant 2 ans, ce qui évidemment m’a fait me poser quelques questions sur son intérêt à mon propos. Mais je préfère lui indiquer que je suis marié et heureux en couple , mais je reste toujours disponible pour lui répondre évidemment :wink:

Je suis complétement d’accord avec vous sauf sur la dernière phrase mais effectivement et comme je le dis dans l’article une oeuvre qui nous touche fait résonance dans notre vie, nous bouleverse, ce qui est assez rare voire à ma connaissance inexistant dans le monde du jeu, ou en tout cas pas de la même force qu’une oeuvre d’art du type musique, cinéma théâtre…

Je crois que depuis le début vous confondez œuvre d’art et chef d’œuvre.
Vous avez le droit de penser qu’il n’y a pas de chef d’œuvre dans le jeu car c’est une opinion très subjective.
Mais les jeux sont créés par des artistes, tous les artistes créent des œuvres et ça ce n’est pas une opinion mais une vérité.

La vérité est toujours subjective et c’est bien pour cela que j’ai parlé de vision subjective dans l’article, comme l’avait fait Michel Lalet lui-même.
Si personnellement, vous pensez détenir LA vérité, grand bien vous fasse.

Peut être que le jeu est un art qui n’a pas de chef d’oeuvre, ce qui voudrait dire qu’il est alors un art alors démuni d’artistes talentueux puisqu’ils n’ont pas réussi à créer de chef d’oeuvre bouleversant la vie des gens…
Ce qui serait bien malheureux à mon avis de dire cela et ce serait même un dénigrement de votre “art” .

Le jeu peut être autre chose sans que cela soit un dénigrement et c’est bien cela que j’essaye d’expliquer depuis 1 semaine.
L’art n’est pas le domaine suprême de la vie.
Les meilleurs artistes peuvent être de total cons sans aucun intérêt humanistes, donc si je devais porter des domaines à mettre en valeur plus important que l’art, ce serait le respect et la courtoisie par exemple.

Si vous souhaitez vous définir comme un artiste, faites le, mais dans ce cas le créateur de fonds d’assurance ou l’ingénieur qui fabrique les casseroles, pourra lui aussi se considérer comme un artiste car il crée.

Si vous aviez lu mes derniers articles de jeux, vous auriez pu voir que j’ai tenté d’y apporter une critique se portant sur l’oeuvre, sauf que cela reste embryonnaire. (The Mind, indian Summer…)
Il n’y a pas en tout cas actuellement à mon sens assez de matière pour définir le jeu comme un art.
D’ailleurs, i lsuffit de voir que toutes les critiques des blogueurs ou des “journalistes” se porte sur les illustrations, la mécanique et le matériel… une bien pauvre approche au final et non d’une approche politique, métaphorique, spirituelle… Mais pourquoi? Y a t-il matière à mieux?
Le jour où un jeu me bouleversera, transcendera ma vie et changera celle de milliers de personnes dès sa première partie, alors je changerais ma position qui n’est pas ferme.
Je suis une sorte d’agnostique ludique. :slight_smile:

Cher Monsieur,

Sauf qu’a la vérité, l’art n’a pas besoin de bouleverser ou transcender la vie de qui que ce soit pour être Art :slight_smile: Pour être Art, une œuvre doit bouleverser ou transcender qu’une seule chose, l’Art.

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C’est pourtant l’idée que j’en défends, et ma rencontre avec un chanteur d’opéra ce week-end qui lui aussi allait dans ce sens, me confirme dans ma pensée.
Le beau ne suffit pas. C’est l’émotion qui va apporter la particularité, la force à une oeuvre et au final la définir. Car ce qui est au centre de l’art, ce n’est pas l’art lui même mais bien l’être humain à qui il est destiné.
Ou bien cela ne devient qu’une sorte de “performance” sans aucun intérêt.
Mais cela reste ma vérité subjective, comme chacun possède la sienne :slight_smile:

Réduire l’art à de l’emotion, c’est considérer la mort d’un proche comme de l’art, la peur comme de l’art… et jouer provoque des émotions… donc cela contredit paradoxalement votre vision du jeu « non art ». :o) qu’un ténor partage votre opinion ou pas :o)

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Vous avez raison effectivement sur ce point, et je ne le réduis pas à cela.
C’est ce que je dis d’ailleurs dans l’article, sinon un créateur de manège serait un artiste etc…
Effectivement jouer provoque des émotions, ce que je dis également dans l’article mais essentiellement des émotions positives.
Et c’est d’ailleurs l’image qu’ont les gens, c’est de passer un bon moment. Alors qu’une oeuvre n’est pas forcément là dans cette optique (en tout cas, de mon point de vue).
Vous ne faîtes pas un jeu pour mettre les gens fassent à eux mêmes, les déranger, les faire pleurer, les troubler profondément…
Pourquoi? Car ils ne s’y retrouveront pas et n’achèteront pas le jeu.
Je donnais l’exception peut être de The Mine of war qui semble justement être dérangeant apriori.
Le poker que vous adorez également peut faire pleurer mais soit pour le côté perte d’argent, soit par perte compétitive lors d’un tournoi après tout comme le sport, qui est selon moi très très proche du jeu de société.
L’intensité de l’émotion n’est également selon moi pas la même.
Alors peut être que les mentalités changeront un jour et peut être qu’il sera possible d’émouvoir profondément les gens avec un jeu de société.

Le Bouleversement d’âme ne suffit également pas à définir l’art à lui seul, la religion ou la politique peuvent créer cet effet là également.
Ce qui me laisse me dire c’est qu’un ensemble de paramètres.
Diderot je crois, disait, de manière sublime en définissant le beau que c’est telles règles et un “Je ne sais quoi”
Ce que nous disions essentiellement avec mon ténor de covoitureur c’est que le beau ne se suffit également pas à lui même pour bouleverser. mais ce “Je ne sais quoi” que nous n’arrivons justement pas à définir :slight_smile:

Ce « vous ne savez quoi » a été débattu, définit, démonté, remonté dans bien des ouvrages, dans bien des écoles, dans bien des mouvements artistiques depuis des années :slight_smile: parce sur les goûts et les couleurs ça se discute. Joyeusement. Justement. :slight_smile: Personnellement, ce « je ne sais quoi » qui m’interpelle en Art se nomme «  la raison ».

Ce que j’aimerais comprendre est pourquoi dès que des gens aiment quelque chose, ils y collent l’étiquette d’art.
Je tenterais bien une réponse mais elle est misanthrope.

La raison? Surprenant. J’aurais dis instinctivement totalement l’inverse, comme quoi ! :slight_smile:
La raison dans les idées apportées à l"oeuvre ou dans la façon de créer?

Pour ma part, je n’ai pas envie de le définir, cela perdrait tout son charme justement.
La magie de l’art c’est aussi le fait d’échapper à autre chose que la technique pure, même si lorsqu’on crée on tente d’accéder justement à cette pleine maitrise, en recommençant encore et encore parfois la même oeuvre.

Je l’avais déjà évoqué mais la femme du boulanger comporte “je ne sais quoi”, Pagnol ne maitrisant absolument pas l’art technique du cinéma et pourtant arrivant à insuffler une magie incroyable.
Au contraire, certains réalisateurs actuels et d’ailleurs de plus en plus possèdent les compétences de savoir et de savoir faire du cinéma mais n’arriveront jamais à trouver cet élément qui fait que l’on sort exclusivement de la création.

Votre article part dans tous les sens. Vous posez des titres mais n’apportez pas de bons exemples ou alors des préjugés ou amalgames.
Avant de tenter de répondre à des questions sur le jeu, il faut parfois se renseigner d’avantage et pourquoi pas vivre le jeu lui même, ou le voir être vécu par d’autres. Certains de vos exemples sont d’ailleurs hors sujet, et montre que vous êtes un jeune journaliste souhaitant se faire remarquer (tipee à l’appui ATTENTION !!!) mais que vous n’avez pas encore la maturité ludique pour débattre sur ce genre de question.
Suivant l’endroit où l’on se place, le jeu ou l’objet jeu peut être bien différent. (Art, Outils, moyen de faire des sous, etc.)
Bref, ce message ne sera pas plus long et je ne chercherai pas à développer d’avantage avec vous. Je souhaitais juste exprimer rapidement ma déception suite à la lecture de votre brouillon, car je m’attendais à une lecture enrichissante comme certains articles du Dr Mops ou d’autres de la team Tric trac, ou de certaines personnes qui savent de quoi elles parlent et tente d’en extraire un nectar et non des sous (Tipee) ou un jus de …
Bon jeu à tous de la part d’un ludothécaire qui aimerait lire des articles plus intéressant.
P.S: Vivement la suite des aventures de Asmodee Research qui peut nous mener vers des choses très très intéressante ! =)

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Le mieux serait alors d’apporter votre pierre à l’édifice :slight_smile:
Avant de tenter de répondre à des questions, j’y tente d’en ressortir questions, c’est ce qui est précisé .

Je vis le jeu pleinement depuis environ 32 ans, je n’ai pas commencé hier si vous aviez lu l’article pleinement et je suis également professionnel à plein temps, où j’anime quotidiennement des jeux que ce soit pour des professionnels ou d’autres publics.
Désolé.

Au contraire d’autres personnes, je ne me prétends pas journaliste
Je publie depuis 2 ans chaque semaine des entretiens d’acteurs du monde ludique soit 68 à ce jour, Ces entretiens sont appréciés (à ma grande surprise) et je propose un tipeee pour ceux qui souhaitent soutenir cette démarche.

Vous avez le droit d’aimer d’autres démarches, j’espère que vous vous remettrez d’avoir payé…Ah non, vous n’avez rien payé… du coup vous n’aurez qu’à sauter votre chemin la prochaine fois, désolé de vous avoir fait perdre juste votre temps.

Un professionnel tout comme vous

PS : Bonne lecture avec Asmodée alors :wink:

Bonjour,

Avant de commencer ma formation de ludothécaire je pensais connaître l’essentiel sur le jeu, au bout de 30 ans cela me paraissait normal. J’avais joué à presque tous les types de jeux (il me manque encore le vrai “killer” des universités des années 80 à expérimenter :wink: et j’avais aussi des maquettes, X années en clubs, bénévolats chaque année en salons ludiques, concours, rencontres et échanges avec auteurs etc… Mais être joueur ou fréquenter le monde du jeu depuis X décennies, avec X articles, n’est qu’une connaissance d’usage, finalement réduite à sa propre perception.

En moins d’un an, lors d’une formation de ludothécaire et en me professionnalisant, à force de lectures, de stages et de rencontres ma vision du jeu et mes connaissances se sont renforcées de 1000%. Puis travailler sur le terrain, a renforcé mes acquis, puis faire des recherches sur des sujets personnels m’a impliqué différemment, par exemple prendre le bâton de pélerin et précher/animer le grand public, ou donner à jouer régulièrement aux mêmes enfants dans une maison quartier m’a encore transformé la vision du jeu. Depuis chaque rencontre, chaque article, chaque échange avec un auteur a une autre résonance et pèse différemment. Croyez -moi je comprends parfaitement ce que Garshell veut dire. Et j’imagine que ce qui est valable pour moi, après 30 années, peut aussi s’appliquer à d’autres.

Vous avez produit par le passé des interviews qui sont utiles je crois, et je suis sûr que votre intérêt est réel. Je ne souhaite pas être impoli avec vous, et je veux vous respecter même si vos arguments ou votre style me déplaisent, essayons de se parler “humainement” même si la passion nous emporte. Je crois que vos dernières assertions ne font que prouver votre faible maîtrise de ces sujets et de plus vous ne présentez pas les choses de façon à poser les bases d’un bon débat , apaisé et utile à tous, pour réfléchir ensemble. Bref sur le fond comme sur la forme, selon moi c’est à revoir.

C’était donc dans votre intérêt que je vous suggérais plus de réserve, et je ne parle qu’en mon nom, pas pour une imaginaire corporation. C’est vrai que je partage beaucoup d’idées avec la majorité des auteurs/joueurs mais pas toujours, la preuve je prend le temps et j’ai pris le temps de débattre avec vous. Je vous conseille de ne pas rester pas bloqué sur vos opinions, tentez d’en apprendre plus en vous formant, prenez un peu de recul et cessez quelques temps de publier si vous voyez autant de réactions négatives contre vous c’est qu’il y a sans doute un soucis non ?
Bien sûr vous pouvez librement donner votre avis mais si c’est pour vous mettre à dos la majorité des auteurs et lecteurs et professionnels du jeu je ne vois pas l’intérêt de continuer ainsi (je pense aux ludothécaires qui je crois sont “par profession” très sensibles à la définition du jeu et de son usage/image dans la société). Ce sont juste des conseils, libre à vous de ne pas les suivre et rester sur votre façon de faire et d’être en ce moment. Sachez qu’il y a toujours à apprendre sur le jeu, et c’est surtout valable pour moi :). Bonne continuation ludique à TOUS.

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La formation est une expérience mais qui reste également partielle.
Comme dans tout métier, on apprend autant sur le terrain qu’en formation.

Vous allez le droit de penser que ma vision n’a pas d’intérêt, d’ailleurs pourquoi tant de foin si elle ne présente pas d’intérêt?
Je présente mes idées pour faire avancer le sujet, si certains veulent faire avancer le sujet avec plaisir, si c’est pour faire du corporatisme comme je le ressens de plus en plus et vouloir se donner un statut, non ça ne m’intéresse pas.
Après si vous souhaitez exposer votre vision du jeu, faites, le, comme Michel Lalet l’a fait.

Beaucoup de gens comme vous me parle de “mon intérêt”, mais mon intérêt me concerne moi, ce genre de simili avertissements n’a que peu d’intérêt et encore moins d’impact sur moi.

A aucun moment j’ai dis que ma vision était la vérité, j’ai annoncé dans l’article que c’était ma vision comme le faisait d’ailleurs Michel Lalet également.
Donc non, je n’arrêterai pas de publier, désolé.
Peu importe les réactions qui la plupart n’avaient pas d’arguments valables.
J’ai répondu de manière posée à ceux qui en avaient, mais j’ai bien souvent vu juste de la critique sur le fond au lieu de l’apport d’idées, même de la part de ludothécaire.

Ludothécaire ne veut pas dire que l’on a la science infuse.
Je ne prétends absolument pas l’avoir, bien au contraire, et c’est pour cela que je fais des entretiens mais je n’ai pas envie de me reposer sur des idées arrêtées sur le jeu, l’art ou quoique ce soit, ce que beaucoup font parce que c’est confortable de se dire que l’on fait une activité intelligente ou artistique .