J’en viens toujours à la conclusion que même dans la réponse, vous parlez plus de vous-même et de votre grande compassion que du sujet qui aurait dû vous inciter à poster sauf quand on vous critique, dans ce cas, c’est qu’on a forcément besoin d’un psy, vu qu’on ne voit pas le monde comme vous. Qui a besoin d’un psychologue dans ce cas ? Vaste question. Mais je vais vous répondre car comme beaucoup, sauf ceux qui ont le complexe du Messie, j’ai un rapport délicat aux gens malades. Je ne me jette pas sur eux par envie, je ne suis pas forcément à l’aise lorsque j’en vois (par peur de dire ou faire une connerie, sans doute) et j’espère, ce qui va peut être vous paraître bizarre, que la vie m’épargne autant que possible d’y être confronté. Peine perdue, j’ai déjà fréquenté des hôpitaux, déjà vu des proches au plus bas. Et le fait que vous vous montriez aussi peu compatissant avec mon ressenti, votre manque de recul, me prouverait presque que vous n’avez pas fait ce papier pour les raisons que vous dites. Mais dans le fond, oui, qu’importe. Et puis d’ailleurs, si on va plus loin: pourquoi écrire alors ? Pourquoi ici ? Pourquoi pas sur un site en rapport avec le sujet ? Pourquoi choisir un sujet qui semble déjà fonctionner comme une sorte de bouclier contre toute critique “si t’aimes pas, t’es rien qu’un sans cœur d’abord” ? En gros, si on se fout du sujet de base et des avis de tout ce qui est contraire à ses propres idées, pourquoi se donner autant de mal ? Montrer qu’on a une belle plume ? Qu’on est un type bien, à l’écoute ? Ou interroger sur certaines causes peut-être. Ce qui est déjà plus noble mais sans contextualisation, sans rapport avec le sujet du site, comment espérer “intéresser” ? Lorsqu’on arrive sur un site de jeux de société pour poser sa prose hors-sujet en se disant “c’est pas à moi à m’adapter au sujet d’un site mais à ceux qui le visite de s’adapter à ce que je dis”, c’est en effet qu’on a pas besoin de grand monde pour vivre, on s’en fout d’être lu et apprécié… . Mais dans ce cas, comment espérer faire entendre son message si on a si peu de respect, et d’estime, pour l’auditoire et le lieu où on se trouve ? Peut être que j’ai des choses intéressantes à dire sur un sujet sérieux (c’est pas sûr) mais si j’écrivais mon message sur un site parlant des Pokémon (c’est un exemple), ça me paraitrait normal que les gens me regardent brutalement d’un drôle d’air. Parce que c’est pas le lieu et que rien dans ce que je raconte n’aurait de rapport avec les tribulations de Pikachu et de sa clique. Vous, non, vous arrivez, poussez vous que je m’y mette et c’est encore à ceux qui osent parler de jeux de société à s’adapter ? Faut pas confondre liberté d’expression et foire à la prose, je pose ça là, on verra, j’m’en fous un peu en fait. Certaines de vos autres interviews étaient dans le cadre, fournis, plus ou moins intéressantes, et je maintiens un peu racoleuse lorsqu’il s’agissait de parler de tel sujet ou d’orienter les questions (et je parlais bien du type dont vous parliez et non de vous même lorsque je critiquais votre façon de faire. C’était je le reconnais pas très clair dans la manière dont je l’ai écrit, et finalement peut être pas si grave… d’autant que mon avis ne vous intéresse pas). Mais on parlait jeux de société, quelque part, plus ou moins, alors soit, on est dans les clous. Là… . Sauf que plutôt que de le reconnaître, on commence à se montrer cassant. Bon et bien écoutez, si vous ne faites pas ça pour être lu, pas ça pour être aimé, pas ça pour être compris, on va tous faire autre chose. Il n’y a pas de mal.