J’ai du mal m’exprimer si j’ai paru sévère.
Mon premier post n’est pas une critique sur l’article ou son contenu, ce n’est que ce à quoi il me fait penser. C’est un rebond.
Le second post peut paraître plus critique, mais il n’exprime qu’une incompréhension sur une phrase sur laquelle je reste dubitatif.
Mais bon, en même temps comme dit l’autre, on n’est pas obligé d’aimer ce que j’écris.
Gobarkas a dit : “[…] si une faction est bien plus dure à appréhender, elle va paraitre trop faible tant qu’on n’a pas appris à jouer avec.”
J’ai connu ça dans des jeux vidéos Blizzard (Warcraft III et StarCraft. Le multijoueur en ligne était un puissant moteur de motivation car on pouvait voir de quelle manière d’autres joueurs s’en sortaient avec. Ce qu’il manque au jeu de société c’est un ladder officiel. boardgamearena.com ou boiteajeux.net offrent ce genre d’information.
@Benwab Quelle règle pour Race, par curiosité ? Joueur acharné sur boardgamearena, et souvent du mal à convertir des amis à ce jeu.
Monsieur Guillaume a dit : “[…] le joueur qui veut se “ressentir” puissant et maîtrisant le jeu rapidement, directement”
Pas vraiment d’accord. C’est les développeurs et éditeurs qui pensent ça. Poussez par leur service marketing. Expérience issue du jeu vidéo et prolongée dans le jeu de société je dirais. Je regrette énormément ma boîte de Baldur’s Gate qui pesait 1 kg avec son gros livret de règles hyper détaillée. Remplacé par un PDF puis par rien du tout. Et c’est la mode du tuto, du jeu dans lequel on rentre directement puis du jeu comme un service. Je comprend la logique d’ouverture vers un publique plus large. Mais ce n’est certainement pas une demande de joueurs. C’est simplement un moyen d’augmenter son audience. Il y a toujours du public pour les jeux à longue courbe d’apprentissage.
Oui mais chaque force de l’animal que tu réduis c’est 1 action de plus que tu peux utiliser pour récupérer une ressource(dans une certaine limite de l’animal chassé).
Ex :
J’ai un personnage force 3 qui chasse un animal à force 3.
Si j’ai 1 balle, je peux :
-soit prendre 3 bois
-soit prendre 1 bois et tuer l’animal (en consommant une balle donc j’ai échangé 1 balle contre 1 bois)
-soit 0 bois et tuer l’animal
Donc si j’ai 2 balles je peux :
-soit prendre 3 bois
-soit prendre 1 bois et tuer l’animal (en consommant une balle donc j’ai échangé 1 balle contre 1 bois)
-soit prendre 2 bois et tuer l’animal (en consommant 2 balles donc j’ai échangé 2 balles contre 2 bois)
-soit 0 bois et tu tuer l’animal
Donc si j’arrive avec un personnage à 5, et que l’animal a une force de 5, je peux dépenser 5 balles pour chasser l’animal et utiliser mes 5 actions pour récupérer du bois. Au final j’ai donné 5 balles pour 5 bois …
Sauf qu’en plus de ça, j’ai pu optimiser le nombre de bois que j’avais besoin ce tour, si j’en avais besoin que de 3, ben je donne que 3 balles etc…
Article d’autant plus intéressant par le débat qu’il déclenche. Grand fan de jeu de gestion, l’important pour moi est de jouer en testant des stratégies différentes à chaque session, mais également tester de nouveaux adversaires. Pour moi le ressenti est plus lié aux réactions des autres joueurs autours de la table qu’à un mauvais équilibre. Etant JOUEUR au sens pur du terme, le hasard fait partie du jeu et ne pose aucun problème. Mon ressenti négatif est donc largement tempéré par la variable hasard, qui pour moi n’est pas seulement un mauvais lancer de dé ou tirage de carte, le hasard c’est aussi “zut j’avais pas vu cette action” ou "j’aurais du faire ça avant " … Que serait un jeu sans hasard, sans erreur humaine … de simples robots qui s’affrontent. Sans compter que le plaisir de jouer avec des êtres humains autours d’une table, c’est justement pouvoir vanner et se faire vanner lorsqu’on fait des erreurs et fanfaronner quand on réalise un super coup.
Pour revenir a Outlive c’est pile poil le genre de jeu que j’affectionne avec un thème fort, et même en perdant je prends beaucoup de plaisir a y jouer …
“La Vie est une comédie, laquelle il n’importe combien elle soit longue, mais qu’elle soit bien jouée.” François des Rues
clairement, le taux de rentabilité d’une salle le montre, il faut selectionner celle qu’on veut et essayer d’en peupler un maximum pour le scoring dans les dernier tours, au risque de dépenser toutes ses actions dans la recherche de nourriture/eau pour maintenir ses salles