Cher Actetylene, poster deux phrases en moins de quinzes secondes ne pose généralement aucun problème…pour personne, tu en apporte le preuve °)
Je vais faire court :
Mensa France tourne bon an, mal an autour de 1000 membres, pourtant le potentiel (2 derniers percentiles, QI>132) dans notre beau pays est d’au moins un million de M’s.
J’avais développé dans mon commentaire refusé quelques pistes explicatives de cette curieuse hostilité franchouillarde à l’idée même de mesurer l’intelligence.
J’y reviendrai peut-être.
Les M’s se recrutent à tout age, dans tous les milieux sociaux, toutes les professions, toutes les confessions et ont en commun une curiosité d’esprit, des centres d’intérêts très pointus et variés, des parcours de vie souvent étranges, une sens de l’humour certain… et sont très souvent des joueurs passablement acharnés!
Se rencontrer entre Mensans est souvent la certitude de bien se marrer, de mener des discussions passionnantes, de découvrir des univers singuliers et insoupçonnés…
Autour d’un jeu de société c’est aussi l’espoir de trouver des adversaires retords et souvent prêts à tout pour gagner… l’essence même du jeu, et c’est très amusant.
Beaucoup de Mensans sont joueurs, et beaucoup de vrais joueurs sont potentiellement M’s.
Le plus grand GIS (groupe d’intérêt spécifique) de Mensa France est INTERlude (environ 150 membres), consacré à l’entraide, l’humour… et au jeu !
Chaque fin d’année ce GIS organise un marathon ludique qui se termine généralement après 40 à 50 heures de jeu ininterrompu, certains participants ne sont pas membre de Mensa, certains ne souhaitent pas le devenir, d’autre ont peur de passer les tests et d’échouer.
Tout cela pour vous dire qu’il est toujours souhaitable de dépasser les préjugés et les idées reçues, Mensa n’est pas une association élitiste, simplement un groupe d’individus qui au-delà de leurs différences ont accepté une règle simple : passer et réussir un test de QI standardisé.
Donc bons jeux à tous.
NB : pour les non-matheux, il suffit de se placer dans les 2% (une personne sur 50, c’est pas si difficile) sur un des trois test, dont un purement verbal, pour être admis à Mensa.