Dans ce cas, autant assumer et faire les prix du “meilleur jeu de cartes”, “meilleur jeu sur telle thématique” etc. 
C’est sûr que ça serait plus clair et plus « rangé ».
Mais on multiplierait drastiquement le nombre de catégorie, surtout en croisant avec celles sur « l’accessibilité » déjà existantes.
Et on perdrait donc beaucoup en simplicité et en lisibilité.
Je pense que la situation que tu décrivais correspond à une sorte de compromis entre « prix facile à comprendre des meilleurs jeux » et « vitrine efficace pour la promotion auprès du grand public ».
(Bon après je dis ça sans jamais avoir suivi ni l’As d’Or ni le Spiel autrement que par quelques sujets ouverts au hasard de mes passages sur Tric Trac donc il me manque peut être des éléments pour avoir un point de vue pertinent 
)
Non pas vraiment !
Prend quelqu’un qui connaît tout les jeux de notre enfance… Monopoly, la bonne,paye, docteur maboulle, cochon qui rit, les mille bornes… tu lui met Carcassonne 15ieme version entre les mains ils vont trouver ça hyper original … du jamais vu. Pour lui.
La notion d’originalité peut être absolue quand on connaît son sujet, ou relative à une expérience personnelle. Quand elle est personnelle, elle n’a pas vraiment de sens « absolu ».
Tu réponds à côté, vu que je viens de te dire que celui-là, de toutes façons, ne connaitra pas l’As d’Or non plus (le prix, en général), et que par conséquence, il ne sert à rien de le “viser”.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
Je pense que le logo “jeu de l’année de l’univers du festivale intergalactique de Maubeuge” (JdlAdlUdFIdM) bien visible sur la boite, ça peut rassurer le public qui ne connait pas, et ne sait donc pas déjà ce qui va lui plaire.
Il n’ira pas chercher le JdlAdlUdFIdM de l’année catégorie “Draft d’ouvrier semi-croustillant initié mais pas trop” parce qu’il n’est probablement pas initialement conscient de son existence. Mais face à un choix souvent pléthorique dans la boutique, ces petits logos sur une boite mais pas sur l’autre vont peser dans la décision.
C’est comme le conseil en boutique, une façon d’orienter le choix de quelqu’un qui, sinon, serait perdu.