ISF : Impot Sur Filosofia donc^^
Moi je suis adepte des aides aux associations qui ne demandent pas d’argent.
Je pratique :
- Le don de sang
- je trie mes “bouchons”
- Je donne sur le site “donnons.org”
- Je donne à Emmaüs
On peut considérer ça comme des associations ou non.
limp dit:- Je donne à Emma üs
Moi je donne à sa sœur, Anne.
Oh flute Dod, ca m’a fait rire, ca doit vouloir signifier que c’est pas d’un très haut niveau ![]()
Pareil, je donne mes bouchons, je donne énormément à Emmaus, je peux pas donner mon sang parce que j’ai été transfusé (lunaire), et je connais pas donnons.org, mais je vais m’en voir de ce pas !
Et comme préciser plus haut, je donne aux associations de type banque alimentaire, resto du coeurs, mais aussi aux associations de protection des animaux quand ils font une collecte a la sortie des magasins…et j’essaye de manger deux ou trois fois par mois dans un restaurant solidaire de Poitiers (L’entracte pour ne pas le citer…)
boulius dit:C'est pas mal ce système, je connaissais pas![]()
![]()
faut dire que moi et la finance, ca fait 15.000
ben je crois qu'il n'y a qu'au crédit coopératif qu'ils font ça. et la CB est moins chère que partout ailleurs (27 euros je crois)
les intérêts sur livret, ils m'ont dit que c'était une mauvaise idée d'en refiler une partie, parce que j'ai pas assez de sous, autant que je les garde
(ceci dit, dans l'autre banque à la noix, je crois que plutôt que de prendre la cafetière nucléaire ou le super sac à main en plastique à la mode extra top fashion, on peut convertir les points en un don à une asso.).
limp dit:On peut considérer ça comme des associations ou non.
ben si !
Dod dit:limp dit:- Je donne à Emma üs
Moi je donne à sa sœur, Anne.
pfff... j'aime pas quand on trolle mes sujets... mais bon, faut bien avouer, c'était drôle...
blancas' dit:pfff... j'aime pas quand on trolle mes sujets... mais bon, faut bien avouer, c'était drôle...
D'où la fameuse phrase: "Anne, ma soeur Anne, ne sens-tu rien venir?"
Désolé...
Plus sérieusement, je donne quelques sous à Aide et Action.
Moi aussi suis au crédit coop
Je donne surtout du temps aux assos…participer au rangement, chercher des infos bien particulières etc…soirée jeux gratos avec mes jeux et mon sourire ! Mise en place d’animations diverses et variées : la prochaine étant “lectures érotiques” ![]()
j’achète aussi beaucoup chez emaüs ![]()
blancas' dit:Bonjour bonjour,
je me demandais si parmi les trictraciens il y en a qui ont leur petite association coup de coeur, ou une cause particulière à soutenir.
Comment choisissez-vous, combien donnez-vous en moyenne par an, qu'est-ce qui vous pousse à donner, ou au contraire pourquoi ne donnez vous pas etc?
Je donne 240euros à Oxfam, 10 au Guide du Roliste Galactique et mon sang.
greuh
Week-end opérationnel au siège de MSF à Paris : une campagne de prévention et de soins organisée pour traiter des exilés afghans touchés par la gale.
Chère Madame, cher Monsieur,
Dimanche 5 juillet, 8 heures. J’arrive au square Villemin, à Paris. 200 à 300 exilés, Afghans pour la plupart, vivent ici dans des conditions de vie déplorables. Nous avons remarqué un nombre inquiétant de personnes atteintes de la gale, maladie très contagieuse.
L’objectif pour MSF est d’en traiter un maximum en deux jours. Au siège de MSF, une soixantaine de bénévoles s’affaire. Après avoir été traité, chaque patient prend une douche puis est reçu en consultation pour un « check-up » et une vaccination contre le tétanos. A l’issue de la journée, chacun repart avec un kit d’hygiène et un sac de couchage. Au total, 300 patients sont pris en charge.
Certains se confient. M. est jeune, il n’a pas encore 20 ans. Il a quitté, seul, l’Afghanistan. Lorsqu’il arrive en Iran, il est arrêté et jeté en prison. Il y restera trois ans. Il raconte les passages à tabac, les injections forcées d’héroïne. Après il fuit vers la Turquie où il est pris en charge par une association. M. dit qu’il souffre de violents maux de tête le rendant très agressif.
Claire, médecin, l’oriente vers le Centre d’écoute et de soins (CES) de MSF qui offre des soins médicaux et psychologiques aux étrangers venus chercher asile en France. La majorité d’entre eux ne parle pas français et est exclue de fait des soins.
Depuis deux ans, 650 patients ont été reçus au CES lors de 7000 consultations. Ils sont originaires d’Afghanistan, mais aussi de Tchétchénie, du Sri Lanka, d’Ethiopie, de République démocratique du Congo…Ils présentent une grande détresse, à laquelle s’ajoutent les souffrances de l’exil et du déracinement.
La prise en charge psychologique, si elle ne résout pas tout, soulage, reconstruit, pose de nouveaux repères, permettant la rémission ou l’atténuation des troubles les plus invalidants. Et ce sont vos dons qui nous donnent les moyens d’agir ici à Paris, comme au Nord Kivu en RDC ou au Sri Lanka. Nous vous en remercions sincèrement. Sans votre soutien, nous ne pourrions venir en aide aux populations victimes de la violence.
Laura Brav
Chef de mission France
ivy dit:[...]aux restos du coeur, c'est pas les stars qui accueillent et qui servent. C'est des gens comme vous et moi. et j'ai rarement vu autant d'humanité et de gentillesse, surtout dans une grosse structure comme ça.
[...]
Pas nécessairement partout, enfin une année j'avais été donné un coup de main à Noël, j'avais trouvé le truc particulièrement froid humainement.
Sinon je donne 47 euros par an à une association pour la scolarisation des filles au Burkina Faso, ma filleule est une des deux élèves à avoir obtenu son bac cette année
Personne n’en a parlé, donc je rajoute le Réseau Education Sans Frontières à la liste.
Le denier du culte (bah oui on ne se refait pas… mais ça ne doit pas être une assoc.), Villages d’enfants, Emmaus, Amis des monuments rouennais, des dons de livres…
Le Monde – 3 octobre 2009 – page 4 – extraits :
La présence permanente en Asie des grandes ONG permet une mobilisation rapide
« SEISME en Indonésie, typhon aux Philippines, au Vietnam et au Laos, tsunami aux îles Samoa et Tonga : l’Asie a subi en quelques jours une série de catastrophes dévastatrices, qui ont provoqué des milliers de morts et privé d’eau, de nourriture et de toit des centaines de milliers de personnes… La plupart des organisations sont présentes en permanence dans les pays touchés depuis des années, et disposent de réseaux locaux sur lesquels elles peuvent s’appuyer. Environ six cent personnes travaillent pour notre organisation dans les cinq pays touchés, explique Melanie Brooks, porte-parole de CARE. Ils travaillent sur l’accès à l’eau, l’assainissement, la santé, mais ont aussi été formés pour répondre aux urgences. »
Chère Madame, Cher Monsieur,
En l’espace de quelques jours, plusieurs catastrophes naturelles ont provoqué la mort de plusieurs centaines de personnes en Asie et laissé derrière elles des milliers de sans-abri.
La semaine dernière le typhon Ketsana a provoqué de graves inondations aux Philippines faisant près de 300 victimes et des millions de sinistrés. Il a aussi entraîné la mort d’une centaine de personnes au Vietnam et submergé des villages entiers au Laos.
Alors que l’on pensait vivre le pire, un tremblement de terre d’une magnitude de 7.6 a frappé l’île de Sumatra en Indonésie. Plus de 1 000 personnes auraient péri et des milliers d’autres seraient encore ensevelies sous les décombres.
CARE est présent depuis de nombreuses années dans ces pays. Les équipes d’urgence se sont donc immédiatement mobilisées. Elles ont pu distribuer les premiers secours aux survivants : vivres, kits d’hygiène ainsi que tablettes de purification d’eau.
En Indonésie, CARE a ainsi déjà pu porter secours à 5 000 personnes mais prévoit d’étendre son aide à près de 40 000 personnes. Les besoins sont immenses ! Pour cela, CARE travaille étroitement avec les autres ONGs afin qu’aucune zone ne soit laissée de côté. Les équipes font face à de grandes difficultés pour atteindre les zones rurales les plus reculées et pour lesquelles la situation est critique.
Un nouvel arrivage de fournitures est prévu dans les prochains jours mais les fonds sont insuffisants pour acheminer cette aide. Nous devons faire vite.
CARE ne peut intervenir qu’avec votre soutien. Pouvez-vous nous envoyer un don ? 60 euros suffisent pour permettre à plus de 200 familles de boire de l’eau potable pendant un mois !
Je vous remercie d’avance de l’aide que vous pourrez nous apporter.
Philippe Lévêque
Directeur Général de CARE France