Mon premier était souvent relevé par un mousquetaire.
Mon second préfère le bridge à la roulette.
Pour Rimbaud, mon tout faisait partie d’un corps de balai.
Défi yettes ?
Jésuska, tu manques de poésie !
J’espère que tu n’as pas pensé une seule seconde que cela pouvait être la bonne réponse.
non, bien sûr
Grace à Jesuska, je vous donne la réponse à cette charade triviale (pour les autres restées sans réponse, vous repasserez) :
Mon premier était souvent relevé par un mousquetaire.
chien
Mon second préfère le bridge à la roulette.
dent
Pour Rimbaud, mon tout faisait partie d’un corps de balai.
chien-dent
chiendent
oulalaaaaa
c du haut vol là
je suis un ignare
Euh … pourquoi chien ?
Je sais je suis bête mais je me soigne …
Arthas Anté dit:Euh ... pourquoi chien ?
Je sais je suis bête mais je me soigne ...![]()
Un mousquetaire est un fantassin armé d'un mousquet, et plus particulièrement un cavalier gentilhomme armé d'un mousquet, appartenant à l'origine (1622) à la compagnie des gardes du Roi, à celle de Richelieu puis de Mazarin.
Le mousquet est une arme se chargeant par la bouche, et le tir se produit après ignition de la poudre déposée dans le bassinet.
À partir de 1650, les platines à mèche ont été progressivement remplacées par des systèmes d'ignition à étincelles, provoquées par la percussion entre 2 matériaux.
Dans la plupart de ces systèmes, le chien est la pièce qui tient la pierre à feu. Cette pièce est mobile autour d'un axe, et doit être armée avant le tir, c'est-à-dire relevée. Le chien est libéré et s'abat lorsque le tireur presse la détente de l'arme.
Bon ben merki pour la précison …
Le pire c’est que c’est à ça que je pensais mais ça me semblait un peu tiré par les cheveux … Parce que comme un abruti j’étais resté sur les troi Mousquetaires avec leurs zolies épées et que j’avais paqs du tout fais le rapprochement mousquetaires/mousquets …
Enfin je me soigne du mieux que je peux c’est déjà ça …
Me flagelle avec des orties rouillées … Ouïe !
J’ai juste oublié de préciser que la solution se trouvait également dans une poésie d’Arthur Rimbaud intitulée « Le Balai ».