bertrand dit:Pour mon lapin parisien préféré:
Nighteye dit:Et merde!
bertrand dit:Pour mon lapin parisien préféré:
Nighteye dit:Et merde!
C’est çui qui dit qui y est.
grolapinos dit:À la limite, si vous y tenez, trouvez-moi un bel aphorisme de votre cru
Et voilà une journée de productivité limitée qui s’achève.
Bilan commercial mensuel et présentation des nouveaux produits ce matin.
Buffet et parties de weykicks hockey ce midi.
Théraphie du rire cet après midi : un truc de malade mental que ca me fait pas rire du tout.
Et pour finir, champagne sur fond d’ABBA pour fêter le CDI d’une collègue.
Dans le genre journée tranquille y’a pas mieux.
grolapinos dit:À la limite, si vous y tenez, trouvez-moi un bel aphorisme de votre cru
thespios dit:Et pour finir, champagne sur fond d'ABBA pour fêter le CDI d'une collègue.
bigsam dit:grolapinos dit:À la limite, si vous y tenez, trouvez-moi un bel aphorisme de votre cru
Life sucks, and then you die.
ça ira bien avec le ouin-ouinage ambiant.
Journée de merde
Bon, quekchose de fort Marcel!!c
bigsam dit:grolapinos dit:À la limite, si vous y tenez, trouvez-moi un bel aphorisme de votre cru
Life sucks, and then you die.
ça ira bien avec le ouin-ouinage ambiant.
Moi je suis toujours pas là, hein, faites comme si vous m’aviez pas vu
bigsam dit:Moi je suis toujours pas là, hein, faites comme si vous m'aviez pas vu
Fulgan dit:grolapinos dit:À la limite, si vous y tenez, trouvez-moi un bel aphorisme de votre cru
Ca serait dommage, c'est la meilleure signature que t'aies jamais eue
Amis de la poésie, bonsoir.
Si vous distinguez de fines allusions dans le texte qui suit, vous n’avez peut-être pas tort…
Le jour se lève j’irais bien chanter
Avec le merle d’à côté
Déjà les étourneaux volent là-haut
Merveilleux nuage d’oiseaux
Oh mon amour la belle heure pour s’aimer
L’aurore dans mon corps fait couler la rosée
Le ciel est clair et l’air encore frais
Par la fenêtre ouverte, triomphe l’été
tiens puisque Marcel devient un café littéraire j’en ai un aussi à vous proposer :
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front,
Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime,
Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime,
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C’est le prophète saint prosterné devant l’arche,
C’est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche,
Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d’être en ne pensant pas.
Ils s’appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N’a jamais de figure et n’a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans noeud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s’écroule en nuage ;
Ceux qu’on ne connaît pas, ceux qu’on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L’ombre obscure autour d’eux se prolonge et recule
Ils n’ont du plein midi qu’un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l’on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l’astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l’âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N’attendre rien d’en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d’immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés
Et j’aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, coeurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu’une âme en vos cohues !
Paris. 31 décembre l848. Minuit.
Victor Hugo ?
Eric dit:Victor Hugo ?
Kouynemum dit:Eric dit:Victor Hugo ?
oui
Bonjour à tous,
Je veux faire un petit test d’image. Pas de tracas, restez assis, il n’y a pas de risque…
Ca a bien marché. Merci.
(C’est un paysage dans la vallée du Bayehon, près de Malmedy)
Tiens… une phrase de Mylène Farmer :
“J’ai peur du noir. Quand je suis dans le noir, je ferme les yeux.”
Trop forte.
Et puis aux Etats-Unis, un employé d’un grand magasin piétiné à mort à l’ouverture des soldes…
Tout va bien, malgré la crise, il reste de quoi dépenser !