Moi, je me suis fait un Okiya avec un jpeg provenant du net sur du papier photo, collé sur des sous bocks car j’étais trop impatient. j’ai adoré alors je l’ai acheté.
Autant je n’ai pas beaucoup de scrupules à télécharger un peu de zic (sauf mes artistes que j’adore) autant je ne me verrais pas copier une création de mes auteurs de jeux chouchous.
ah, si. j’ai joué à strike avec des dés de dice town.
Marrant ce sujet.
A 7 ans je fabriquai un monopoly du coup je l’avais eu pour mon anniversaire. Il y a 40 ans de cela
Plus recemment :
J’ai fabriqué mon “Molky” et joué quelques partis cet été, on rejouera volontier, il va très bien d’ailleurs.
Dans le même esprit j’ai fabriqué un “Cross Boule”, sky, graines et machine à coudre, plusieurs parties de bons moment entre amis l’été dernier, il va ressortir.
J’ai aussi un loup de thiercelieu maison, on y joue trés rarement.
Un “skull and roses” avec des soubock juste pour essayer, on y a trouvé aucun intérêt —> poubelle.
Récemment un “Roue Breizh” pour essayer, 2 parties on suffit pour abandonner, jeu trop déséquilibré avec un nombre impair de joueurs et trop redondant,(au 1er niveau de jeu, je précise), à essayer aux niveaux suivants. Mais là il faut le jeu original.
On peut jouer aux Cités perdues avec un simple jeu de cartes (mais en 4 couleurs au lieu de 5, ça marche tout aussi bien), voire avec un jeu de tarot pour jouer en 5 couleurs.
Je le fais de temps en temps pour des jeux que je convoite et dont je veux tester d’abord l’emprise sur mon cercle de joueurs.
Si ça passe bien, j’achète le jeu. Si ça coince, alors ça reste sous la forme de petits papiers avec mes pattes de mouche dessus.
Bonjour,
Sinon pour ceux qui n’excellent pas dans les travaux manuels, vous avez “Mental Magic”.
Pré-requis: connaître les règles de Magic the Gathering et les textes d’un grand nombre de cartes par coeur, avoir une bonne mémoire.
Principe: on joue oralement. Le nombre de cartes, les cartes autorisées ai si que leur quantité par deck correspondent au format choisi (vintage, legacy, etc.). La seule différence est qu’on choisit la carte qu’on veut lorsqu’on en joue une. Et non, le jeu n’est pas pour autant plus facile!
C’est un excellent moyen de s’entraîner à ce jeu!
Sinon on peut aussi jouer à beaucoup d’autres jeux sans les avoir. Dixit par exemple, avec des illustrations qui tombent sous la main. Certes celles du jeu lui donnent son âme, mais bon…
J’ai aussi fait du Bloodbowl avec rien! Un bout de bois, on trace des cases, des objets pour les figs, et hop. Ah si, il faut des dés spéciaux malgré tout.
Bref, avec de la mémoire, on peut tout faire!