De la bétise des politiques

bertrand dit:En fait , les ogres de barbark refont le coup de Chirac en prison, soi-disant censuré...
C'est sur que cela leur fait une bonne pub pour attirer de nouveaux "rebelles" et autres "résistants"...

Cela dit, celle des Wampas qui me fait beaucoup plus marrer et qui à mon avis frappe plus fort, c'est "Manu Chao". Et c'est pas un cadeau aux "rebelles".

Je ne peux que m’incliner, Philippe.


greuh, eu a son propre jeu.

greuh dit:Je ne peux que m'incliner, Philippe.

greuh, eu a son propre jeu.


Oh, la belle image ! Merci pour ces excuses si honorables. :)

Juste pour info… pour comprendre les bizarreries de cette mairie ?

Googlelising “Jacques Gobet” :


BRÈVES
1371 votes invalidés au bureau n°7 à Oyonnax !
Les 1371 votes des Oyonnaxiens du bureau n°7 du quartier de la Forge, du premier tour des présidentielles, sont invalidés par le Conseil constitutionnel. C’est le score du plus important bureau de la seconde ville qui est rayé d’un trait. 1836 électeurs y sont inscrits.
Dans ce bureau, Ségolène Royal arrivait en tête avec 472 voix, suivie par Nicolas Sarkozy à 353 voix et François Bayrou avec 200 voix. Les électeurs ne devront pas revoter mais 1371 voix partent ainsi dans les pertes et profits de ce premier tour !
Dans un communiqué, le maire d’Oyonnax, Jacques Gobet précise que « cette annulation ne fait pas suite à une erreur dans les résultats de ce bureau qui sont parfaitement justes, le nombre de bulletins trouvés dans l’urne correspondant exactement au nombre d’émargements constaté sur le cahier. L’erreur s’est produite le soir, lorsque la police transporte à la préfecture l’ensemble des documents électoraux de tous les bureaux de vote. Parmi les documents électoraux, il est impératif de joindre les feuilles de dépouillement, celles sur lesquelles les scrutateurs qui ouvrent les enveloppes font le compte des voix. A l’une des tables de dépouillement du bureau de la Forge, il a fallu utiliser deux feuilles. C’est cette deuxième feuille qui n’a pas été jointe à l’ensemble des documents transmis à la préfecture. Les magistrats chargés du contrôle au Conseil constitutionnel n’ont pu que constater qu’il y avait une différence entre le nombre de bulletins trouvés dans l’urne et la liste d’émargement d’une part et le décompte des voix constaté sur les feuilles de dépouillement dont l’une était manquante. C’est cette différence qui justifie à elle seule l’annulation des résultats du bureau n°7. »
Avant le second tour de l’élection présidentielle, Jacques Gobet précise encore : « Il m’a paru nécessaire de donner l’explication précise de ce qui s’est réellement passé, de façon à ce que les électeurs connaissent la vérité. Les assesseurs du 7e bureau n’ont commis aucune erreur, les résultats étaient parfaitement exacts. Je précise que dès le lundi matin, la feuille manquante a été envoyée par fax à la préfecture, mais l’extrême rigueur des magistrats contrôlant les résultats leur interdit de prendre les fax en considération, les pièces originales étant les seules recevables. Cela impose donc la plus scrupuleuse vigilance à la fois lors des opérations de vote, lors du dépouillement et dans le travail du bureau centralisateur à l’issue du scrutin. Je réunirai avant le dimanche 6 mai, date du second tour, tous les présidents des bureaux de vote ainsi que le bureau centralisateur pour rappeler cette nécessité absolue. »


http://www.conseil-constitutionnel.fr/cahiers/ccc23/jurisp0425.htm

Même Le Monde en parle : ici