De la vente de proto

Beaucoup semblent se tourner vers la micro-édition, l’édition à son propre compte sous couvert d’association.
Il me semble interressant de faire connaitre un jeu à quelques centaines de joueurs meme si ce n’est qu’un petit nombre.
A un cout raisonnable je serais d’ailleurs moi aussi plus interressé d’acheter un proto que de le fabriquer.

Je recherche des infos pour produire et vendre (sans bénéf) en petites quantités (disons moins de 500-600 exemplaires) des protos en respectant la loi.
En effet a-t-on le droit de vendre une telle production sans status particulier ou faut-il déclarer certaines choses?
Qui en saurait plus?

un sujet qui aurait pu être sympa…

J’aurais tendance à conseiller le statut associatif, pour
- mettre en avant le côté non lucratif de l’opération
- pouvoir ouvrir un compte en banque spécifique
- pouvoir demander sponsorings, subventions et autres aides
- …

Avec un peu de sérieux et une comptabilité claire, tu es sûr qu’on ne peut pas t’accuser d’avoir gagné de l’argent non déclaré sur la vente des jeux.

Après, pour avoir des infos plus précises sur ce que tu peux (et doit) faire, il y a dans chaque ville des “maisons des associations” ou autres qui sont là pour te renseigner. Au pire, tu peux demander à un “Point Information Jeunesse” de t’aiguiller…

Intéressant comme idée!

Je n’ai pas la réponse mais le sujet m’intéresse. :pouicok:

en france je ne sais pas comment ca tourne, mais en belgique c’est simple :

!! premièrement vérifier avec ton employeur que ca ne pose pas de problème d’avoir une activité annexe (surtout pour les fonctionnaires et chomeurs, plus par principe pour les employés)

Ensuite, tout particulier peut avoir une activité commerciale tant qu’un plafond annuel n’est pas dépassé. Qu’il s’agisse de brocantes, microedition, vente de limonade ou macramé, le principe est le même.
Un petit coup de fil a ton comptable ou controleur des impots (ces fonctionnaires sont aussi au service du citoyen et n’ont pas qu’un rôle répressif) peut certainement aider.

Une fois que els volumes augmentent, il faut déclarer ces revenus exceptionnels, et s’ils deviennent récurrents penser a un statut d’indépendant complémentaire ou autre pour donner un cadre a ton activité.

Ca ne doit pas être tres différent sur le fond en france, mais renseigne toi bien (comptable, controleur impots)