El comandante dit:Pas identiques, plutôt. L'égalité, c'est plus du domaine du droit.
J'aurais du dire à mon prof de math, à l'époque.

El comandante dit:Pas identiques, plutôt. L'égalité, c'est plus du domaine du droit.
Dncan dit:
Mouif....![]()
Il y va surtout d'un côté pratique. Si Monsieur Y et Mlle X se marient et forment le couple XY (ou YX ? Lequel doit être devant ?). Quand leur fille Mlle XY épousera Monsieur AB (lui même fils de Monsieur A et Mlle B, ou vice-versa) ils formeront le couple ABXY... ça deviendrait vite impossible...![]()
El comandante dit:
Cela dit à conditions de vie identiques, l'espérance de vie est plutôt du côté des femmes.
viking dit:Au-delà de ce problème de nom (qui me paraît plus symbolique qu'autre chose), il faudrait s'attaquer aux discriminations à l'embauche, à l'accès aux postes à responsabilités, aux salaires inférieurs à responsabilités égales...
ça me paraît légèrement plus urgent
Mitsoukos dit:Oui mais la pratique n'est valable que dans un sens.![]()
Petite précision : personne n’abandonne son nom. Selon la loi française, quand tu te maries, tu gardes ton nom de “jeune fille”. Point. Y’a pas le choix. Dura lex, sed lex.
Après, il y a l’usage, mais c’est une autre histoire.
Quand à la transmission du nom aux héritiers, le leg du nom paternel vient du fait que, si on est sur de qui est la ère, le père, c’est plus hasardeux. Le legs du nom vient donc de ce besoin du père d’affirmer “voyez, c’est mon enfant”, besoin que ressent moins la mère, parce que elle, elle est sûre que c’est le sien, de gosse, il l’a assez fait chier (et vomir) pendant 9 mois.
Bref, tout ça n’est pas juste là pour emmerder les gonzesses.
Par ailleurs, pour la petite histoire, si vous avez décidé de donner à vos gosses le nom du père, inutile de remplir la déclaration de choix du nom, elle ne sert du coup à rien d’autre qu’à faire chier les employés de mairie qui vont devoir la traiter et surtout la retrouver à chaque naissance suivante (je vous raconte pas le bordel en cas de déménagement).
Bref, ne faites cette déclaration que si le gosse porte le nom de la mère ou les deux noms (et dans ce cas, je vous mépris, lâche que vous êtes).
Keiyan, bizarreries
Mitsoukos dit:Oui et en 2009 y'a t-il beaucoup de femmes qui font des soirées jeux pendant que le mari fait la vaisselle et garde les gosses?
Fulgan dit:Mais pas de problème administratif.
Keiyan dit:Petite précision : personne n'abandonne son nom. Selon la loi française, quand tu te maries, tu gardes ton nom de "jeune fille". Point. Y'a pas le choix. Dura lex, sed lex.
Après, il y a l'usage, mais c'est une autre histoire.
Keiyan dit:Quand à la transmission du nom aux héritiers, le leg du nom paternel vient du fait que, si on est sur de qui est la ère, le père, c'est plus hasardeux. Le legs du nom vient donc de ce besoin du père d'affirmer "voyez, c'est mon enfant", besoin que ressent moins la mère, parce que elle, elle est sûre que c'est le sien, de gosse, il l'a assez fait chier (et vomir) pendant 9 mois.
Les femmes pratiques des sports cérébraux tandis que l’homme badine et pratique la chasse :
Mitsoukos dit:Keiyan dit:Quand à la transmission du nom aux héritiers, le leg du nom paternel vient du fait que, si on est sur de qui est la mère, le père, c'est plus hasardeux. Le legs du nom vient donc de ce besoin du père d'affirmer "voyez, c'est mon enfant", besoin que ressent moins la mère, parce que elle, elle est sûre que c'est le sien, de gosse, il l'a assez fait chier (et vomir) pendant 9 mois.
Ben voyons, l'honneur est sauf comme ça, hein?
Sauf votre respect, c'est encore un truc de domination ça.
spleen dit:
C'est pas qu'une question d'honneur en fait. C'est plus en rapport avec la notion de parternité.
Mais à priori ça doit être un truc de domination.
Mitsoukos dit:spleen dit:
C'est pas qu'une question d'honneur en fait. C'est plus en rapport avec la notion de parternité.
Mais à priori ça doit être un truc de domination.
Non mais eh, donner son nom à un môme ne prouve en rien que c'est le père biologique.
Et quelle considération avait on pour la femme mariée pour partir du postulat que la paternité puisse être hasardeuse?
Mitsoukos dit:spleen dit:
C'est pas qu'une question d'honneur en fait. C'est plus en rapport avec la notion de parternité.
Mais à priori ça doit être un truc de domination.
Non mais eh, donner son nom à un môme ne prouve en rien que c'est le père biologique. Quelle crédibilité autre que symbolique peut signifier le "regardez c'est mon môme, il porte mon nom"?
Et quelle considération avait on pour la femme mariée pour partir du postulat que la paternité puisse être hasardeuse?
En tout cas, je peux vous dire d’expérience que quand l’homme prends le nom d’usage de sa femme lors du mariage, ça génère un merdier sans nom.
L’administration n’aime pas qu’on aille à rebrousse-poil des usages.
Anecdote: une femme qui veut changer de passeport suite à son mariage (changement de nom) le fait gratuitement.
Pour la même opération, un homme doit payer le timbre fiscal…
C’est en tout cas ce qui m’a été répondu par les employés de marie après une demi-heure de recherches et de cafouillages divers (je ne leur jette pas la pierre, la manip n’est pas courante)
Mitsoukos dit:spleen dit:
C'est pas qu'une question d'honneur en fait. C'est plus en rapport avec la notion de parternité.
Mais à priori ça doit être un truc de domination.
Non mais eh, donner son nom à un môme ne prouve en rien que c'est le père biologique. Quelle crédibilité autre que symbolique peut signifier le "regardez c'est mon môme, il porte mon nom"?
Et quelle considération avait on pour la femme mariée pour partir du postulat que la paternité puisse être hasardeuse?
magmar dit:Mitsoukos dit:spleen dit:
C'est pas qu'une question d'honneur en fait. C'est plus en rapport avec la notion de parternité.
Mais à priori ça doit être un truc de domination.
Non mais eh, donner son nom à un môme ne prouve en rien que c'est le père biologique. Quelle crédibilité autre que symbolique peut signifier le "regardez c'est mon môme, il porte mon nom"?
Et quelle considération avait on pour la femme mariée pour partir du postulat que la paternité puisse être hasardeuse?
Il a été montré par des étude plus ou moins sérieuse qu'un pourcentage loin d'être négligeable de père déclaré sur l'acte de naissance n'été pas père biologique de l'enfant.
Pour avoir travaillé 10 ans dans le notariat, je peux vous dire que le seul système que je considère vraiment comme rationnel et utile en matière de transmission du nom de famille est le système espagnol: chacun a deux noms, le premier étant le premier nom du père et le deuxième étant le premier nom de la mère.
Cela a le mérite de simplifier les recherches généalogiques alors qu’un système “à la carte” où les parents pourraient au gré de leur fantaisie attribuer à leur rejeton alternativement l’un ou l’autre nom ne ferait que semer la confusion.
Mitsoukos dit:Oui et en 2009 y'a t-il beaucoup de femmes qui font des soirées jeux pendant que le mari fait la vaisselle et garde les gosses?
Emlyn dit:Pour avoir travaillé 10 ans dans le notariat, je peux vous dire que le seul système que je considère vraiment comme rationnel et utile en matière de transmission du nom de famille est le système espagnol: chacun a deux noms, le premier étant le premier nom du père et le deuxième étant le premier nom de la mère.C'est celui qu'on a adopté pour les enfants, tiens...
Du coup le nom féminin ne reste qu’une génération^^