Cet homme est mon héros, pour l’éternité.
Ca m’émeut de voir une telle bibliothèque, je trouve ça magnifique.
Cet homme est mon héros, pour l’éternité.
Ca m’émeut de voir une telle bibliothèque, je trouve ça magnifique.
Je ne qualifierais pas les nouvelles que je viens de lire d’alambiquées, ça me paraît en tous cas beaucoup plus accessible que Greg Egan. Mais les thèmes sont très variés et il n’y a du coup pas vraiment de cohérence dans le recueil. Je pense que j’aurais presque dû ne pas enchaîner les nouvelles, en lire juste une de temps en temps. Mais je me connais : je serais passé à autre chose et le bouquin serait resté éternellement à moitié lu ! Ken Liu est sur ma pile depuis un certain temps mais je ne m’y suis encore jamais mis. Je note ton avis positif !
Du coup, j’ai terminé le tome 3 là.
Ben ça balance pas mal là. On ne peut pas dire que ça n’avance pas. La ligne directrice est ultra présente (avec les religieux pour bien expliquer les enjeux au cas où ça ne serait pas bien clair). Des promesses sont tenues (le brown machin mal conçu sert à un moment, pas comme le clou dans Prometheus…). C’est bien fait.
J’attaque le 4. J’aime pas trop le début mais je crois qu’ils le font exprès à chaque fois.
Héhé, on dirait moi il y a 8 mois
Je vous partage mon dernier coup de cœur BD.
Bon, je ne loupe pas une sortie de Duhamel, j’aime son trait, son humour, son regard ironisant sur la société.
Un peu déçue par le précédent, Deux Soeurs, alors Whisky je ne voulais pas m’emballer.
J’vous la fais courte. Théo & Amir vivent tous les deux dans la rue et partagent le même pont. De retour d’une course poursuite pour un poulet rôti volé au marché ils tombent sur un chien perdu, bien toiletté il vient des beaux quartiers. Théo s’en prend d’affection quand Amir ne veut pas en entendre parler. Voilà le duo fissuré mais jusqu’où ?
Cette fois-ci c’est David Ratte au dessin et Duhamel s’est donné à cœur joie sur le scénario entre personnages principaux et secondaires en les reliant de son humour cinglant et corrosif au travers d’un fils rouge mêlant instants de rue et panneaux publicitaires, bien pensés, jamais lourds. Quelques échanges oraux et enchaînements d’action bien trouvés au point de me faire éclater de rire.
Whisky ce n’est pas une intrigue, pas un scénario palpitant, pas une profondeur d’histoire. Whisky c’est une tranche de vie à lire d’un coup avec des personnages attachants qui ont ce don de nous faire prendre un peu de recul.
Le 4 est un peu particulier (ton, setting). Ça retombe un peu (mais la trame globale avance), les enjeux sont moins marqués mais l’angle est plus fin que dans le tome précédent. Sur le dernier tiers ça repasse plus en orbite et le rythme est plus trépidant. Ça reste celui que j’ai le moins aimé.
J’en suis au 2/3 du 5 et c’est vraiment à nouveau du grand spectacle. Et pour la peine on avance beaucoup sur les personnages. Jusqu’ici l’un des meilleurs.
Gros problème : plus de tomes dispo chez mon fournisseur. Il y en a à Grenoble… Devant le risque de me retrouver sans ma dose j’ai commandé du neuf en ligne. J’ai honte.
Quelle cadence de lecture ! Tu fais un speedrun de la saga ?
J’avais vu un lot de 5 tomes à genre 20€ sur leboncoin…
Je viens de terminer Gravité à la manque de George Alec Effinger.
Le pitch : au XXIIè siècle, dans ce qui était le Moyen-Orient, nous suivons Marîd Audran, un détective privé qui devra élucider le meurtre de son client Bogatyrev…
Alors là, on est dans une espèce de pot pourri très original. Imaginez le Moyen-Orient actuel avec ses appels à la prière par le Muezzin, les codes de la négociation des souks, les djellaba, le ramadân, et tout ce qui touche à l’Islam. Vous y êtes? Ajoutez à cela des ports de communication intracrânien pour pouvoir ajouter des améliorations ou changer de personnalité - le tout sous formes de cartouches - , des drogues à profusion, des bars à hôtesses peuplés de transsexuels, un “parrain” bicentenaire, des sœurs veuves noires adeptes du cuir… Enfin, ajoutez y un détective privé, anti-héros, fauché, mais plutôt sympa, et vous aurez le cocktail détonnant du livre!
Ce mélange de cyber punk et de roman noir dans l’univers des mille et une nuits, a pour lui d’être très original et rafraichissant (bien qu’écrit en 1987). On reste sur de la lecture légère, dans l’esprit roman de gare. Vous n’y trouverez pas de réflexion métaphysique ni de profondeur des personnages. Néanmoins, j’y ai passé un très bon moment de lecture. Si vous connaissez Tex Murphy, un jeu vidéo point n click des années 90, vous serez en terrain connu, l’aspect oriental en plus.
Je ne sais pas si je recommanderais ce livre qui agglomère des genres et des univers qui ne vont, de prime abord, pas du tout ensemble, mais en tout cas, je ne le déconseillerais pas non plus.
J’ai quasi 2h de transport par jour. Je lis en marchant. Et j’ai une petite fille qui a besoin qu’on l’accompagne jusqu’au sommeil. Et puis ça se lit quand même très facilement.
@znokiss en VO ? C’est pas sorti dans mes recherches via mon moteur habituel (duckduck).
Oooh ! Ça je l’ai lu il y a trrrrrès longtemps, recommandé par casus belli.
Ça ne me rajeunit pas
Ah non, c’était en VF. Sur leboncoin et le lot est déjà vendu…
Ce n’est pas un peu compliqué pour elle ?
Youpi. Je suis sorti de l’hôpital et j’ai donc pu récupérer 3 des 5 tomes restants de “the expanse” qui m’attendaient bien sagement à la maison (ma chère et tendre est allé les chercher pour moi ).
Je recommence ce soir
Je viens de terminer Les âmes de feu de Annie Francé-Harrar.
Le pitch : la société n’a plus de lien avec la nature, elle vit dans des grands immeubles entièrement automatisé sauf pour la nourriture qu’il faut encore produire. Jusqu’au jour où l’on n’a même plus besoin de produire la nourriture dans les champs car elle devient produite à partir d’azote pompée dans l’air. Mais cela créé d’autres problèmes…
Le livre écrit pas une biologiste en 1920 est la première abordée le thème du réchauffement climatique à travers un roman de SF. Bon, sans dévoiler l’histoire, on ne peut pas dire que tout soit crédible. Néanmoins, l’rapproche est intéressante.
Par contre, que ce soit pour le rythme ou la construction des personnages, j’ai eu le sentiment de lire le synopsis des vieux films allemands muets des années 20.
La lecture n’est pas hyper folichonne, mais je suis quand même content d’avoir lu ce livre. Il reste que je ne le conseillerai pas à n’importe qui.
Putain le cliché !
Il n’y a que moi que ce genre de préjugés gêne ?
Avant de s’insurger, je t’invite à lire le livre. Il ne s’agit en aucun cas de préjugés ou de clichés. Le quartier dans lequel se situe le livre contient une quantité très conséquente de bars à hôtesses (et une grande partie du livre s’y passe) et une très grande majorité des hôtesses sont transsexuels. Et pour finir, cet aspect a un aspect très important pour l’histoire, sinon primordial.
Donc, désolé si la façon dont j’ai écrit ma phrase porte à confusion, mais il n’y a aucun cliché ou préjugé de ma part sur ce sujet (chacun est libre de sa sexualité, l’important étant d’être heureux et bien dans son corps).
Je ne juge pas le livre, j’exprime juste un ras le bol sur « transsexuelle // hôtesse ».
Mais bon, si ce n’est que la majorité des hôtesses c’est pas grave.
Je ne sais pas quoi te dire. Je ne peux pas dire autre chose que ce qui est écrit dans le livre et qui a une importance conséquente pour l’histoire. Je ne vois pas comment décrire ce qui est ecrit dans le livre autrement. Encore une fois, le mieux serait sans doute que tu le lises pour qu’on puisse échanger ensuite.