Avez vous le jeu?
Bien entendu.
Combien de parties à votre actif?
Plusieurs dizaines.
Utilisez vous le jeu avec des extensions?
Pas toujours, mais souvent. J’aime beaucoup Chevaux et Diligence.
Au-delà de tout le matériel et des règles supplémentaires, elles ajoutent surtout du lore, et aident à se plonger dans l’histoire du jeu.
Quel est votre configuration (nombre de joueurs) préférée?
3 ou 4 joueurs : au-delà, le rythme est un peu trop lent, et ça permet de jouer plus d’actions.
Quel est votre ressenti général sur le jeu?
J’adore ! Je vis vraiment l’attaque du train à chaque fois.
Et il faut vraiment être attentif à tout ce qu’il se passe pour ne pas se laisser berner par les adversaires et savoir bien anticiper chaque action.
Le principal défaut selon vous?
La prise en main n’est pas facile pour tout le monde : la programmation commune peut perdre certains joueurs peu expérimentés, avec le risque de les voir jouer des cartes au hasard, ou au contraire de créer des moments d’AP.
La principale qualité?
Son matériel, bien fichu et qui donne toute sa dimension à ce qui ne serait sinon qu’un jeu de cartes.
Une anecdote ou expérience significative dessus?
Quelque mois avant la sortie du jeu, Christophe Raimbault m’a accompagné dans le cadre du projet d’intégration du jeu de société que je menais dans la médiathèque où je travaillais alors. Lorsque le jeu est sorti, j’ai tout de suite accroché, et je l’ai rapidement acheter.
Lors d’une de nos dernières rencontres, en décembre 2014, Christophe a gentiment dédicacé mon exemplaire. Je l’ai félicité pour cette réussite et je me souviens lui avoir dit : “ton jeu est vraiment génial, je suis sûr qu’il aura l’As d’Or”.
Une suggestion d’amélioration ou qui pourrait rendre le jeu meilleur?
Les jetons butins mériteraient d’être refaits en 3d, pour ajouter encore à l’immersion.
Sur la même catégorie/mécanique de jeu et en comparaison avec d’autres jeux similaires, où le positionnez vous (très bon - bon - OK game - peu pertinent)?
Must have.
Une note sur 20?
19/20 (parce que la perfection n’existe pas).