La consommation d’alcool chez les lycéens (pas les étudiants) tourne autour d’alcools forts pris en cocktail, notamment de la vodka - j’insiste. Je pense que la consommationde bière se développe après, et touche moins les filles, sauf peut-être avec des bières “frelatées” mélangées à de la tequila et de la vodka.
L’alcool est associé en effet systématiquement dans le discours ambiant à la fête ; mais cette fête est très courante : pour trop de jeunes, il y a une “fête” de ce genre toutes les deux semaines ou toutes les semaines. Chez certains étudiants, c’est à la fois le jeudi (avant que ne partent ceux qui passent le week-end chez papa-maman) et le samedi (pour ceux qui restent et tournent en rond).
“Sans alccol, la fête est plus folle”… Les jeunes n’y croient pas. Plusieurs m’ont vanté les mérites de l’alcool pour se désinhiber, aller ainsi plus facilement vers les autres et pouvoir s’amuser plus à fond. Quel dommage que les adolescents s’aident de l’alcool pour aller vers les autres… 
Par ici, un verre de jus de fruit coûte plus cher qu’un verre de bière.
Ce n’est pas un argument à 2 balles. Le jeudi soir à Rennes les troquets de la rue de la soif se remplissent d’étudiants (entre autres) et les rues sont souvent parsemées de gens éméchés, ou carrément bourrés, agressifs, bruyants. C’est chiant.
Le prix de la bière explique la surconsommation d’alcool fort?
Où que j’aille , un cocktail sans alcool reste moins cher qu’un coctail alcoolisé.
BananeDC dit:Par ici, un verre de jus de fruit coûte plus cher qu'un verre de bière.
Ce n'est pas un argument à 2 balles. Le jeudi soir à Rennes les troquets de la rue de la soif se remplissent d'étudiants (entre autres) et les rues sont souvent parsemées de gens éméchés, ou carrément bourrés, agressifs, bruyants. C'est chiant.
A Rennes, l'alcoolisme est devenu un problème grave, pourtant il y a de nombreuses activités pour ce public. C'est une ville dynamique !