Les références privées (parce qu’il ne s’agit pas de blagues), j’en rencontre parfois dans mes parties de Dixit, mais c’est loin d’arriver à chaque fois…
Quand il y en a une, je dis “OK ça passe cette fois parce que rien ne l’interdit, mais bon c’est quand même un peu facile et moyen côté fair-play, alors mieux vaut éviter par la suite…”. Et ça passe bien.
Bref, pas la peine d’en faire une vendetta personnelle
ceci dit le plus marrant dans cette histoire de “derrière notre escalier” c’est que la femme du conteur s’est gourré (car lui faisait référence à ce qu’il allait construire derrière leur escalier et non ce qu’il y avait en ce moment même) et que ma copine et moi sentant la référence privée avons choisi en ce sens la carte la plus logique et terre à terre et que nous avons eu bon
je suis content, parce que la dernière intervention de l’ombre de pan me donne de l’eau à mon moulin…
Pour ma part, ces “privates jokes”, références soit-disant partagées seulement à deux, font parfois un flop du style “aaarrrgghh, mais non, chérie, enfin, quand je dis “belle-mère s’en va-t-en guerre”, tu devais comprendre que je parle de la parano de la poussière de ta mère, donc, ma carte, c’est celle-là… ah làlà, merde !” provoquant l’hilarité générale. Donc, tout va bien, on s’amuse !
Sinon, lorsque ces privates jokes fonctionnent, et que seul la personne concernée trouve, (les autres ayant essayé de démasquer les émotions peut-être véhiculées par l’indice du conteur, fouillant dans leur souvenir, dans leur connaissance du couple en question pour essayer de trouver, etc!), on passe en mode “racontez-nous”, du coup, après avoir essayé de trouver réellement ce qu’il y avait derrière la private joke, on découvre ce qu’il y avait vraiment avec une petite tranche de vie, ainsi que le lien avec la carte choisie, joie ou désespoir : “et t’as trouvé ça dans cette carte… j’sais pas comment t’as fait !”, du coup, on passe un bon moment, on apprend à se connaître et personne n’est vraiment lésé ! Du coup, on s’amuse !
Bref, nous, on ne les interdit pas… on en joue !
my 2 cents !
Hum… bof… Par retour, et par (un mauvais) esprit de compétition, le jeu peut devenir un concours de private jokes… ce qui le dénaturerait.
D’ailleurs je dirai que par définition la “bonne” ou “vraie” private joke ne peut pas être devinée (le coup du “sous l’escalier” s’en est une, même si elle a foiré derrière).
On a découvert le jeu avec des joueurs aguerris de Dixit, qui en plus se connaissaient très bien. La première chose qu’il se sont dit, avant de commencer la partie c’est : “pas de référence personnelle”, parce qu’à l’évidence, ils en faisaient entre eux vu qu’ils se connaissaient, mais ça nous aurait exclu d’emblée.
Du coup notre première partie en a été une réussite, en revanche j’aurai fort peu apprécié de subir des private jokes
Ukl