pyjam dit:Je viens de voir les images sur BGG, il y a eu un gros effort de fait, c'est carrément beau, et j'ai bien rigoler devant l'image de la “Soshitty Generale”.
http://www.boardgamegeek.com/image/588550?size=large
Les LoanMann Brothers sont aussi énormes, Ou Madof, spécialiste en tombes égyptiennes.
De plus, les agences de marketting, productrice de la ressource bla-bla m'ont beaucoup fait marrer.
Pour du Splotter, c'est beau, voire très beau, pour un jeu, le design est "normal". On s'est planté dans les règles sur notre partie test mais tout le monde n'a qu'une envie : rejouer.
La phase de négociation commerciale est au coeur du jeu. Comme le jeu est très rapide : 10 tours pour monter une société, lui faire gagner du cash, se faire virer et recommencer, ça va très vite. Un seul moyen, trouver des arrangements commerciaux : par exemple, vous produisez du sable, une autre société sait transformer le sable en micro-processeur. Mettons que le cours du MP soit à 80M$ et celui du sable à 30. L'intérêt pour les deux société, c'est de s'entendre pour réussir à générer de la thune rapidement. Revendre le sable à 40 ou 50M$. Evidemment, les accords seront sûrement renégocié à chaque tour, mais comme seules les sociétés avec des intérêts communs vont négocier ensemble, ça reste assez rapide.
Après, le boss de la société de MP peut aussi entrer dans le conseil d'admin de la société de sable, faire dégager le patron, prendre sa place et ensuite, étant le boss des deux sociétés, utiliser sa société de MP pour racheter le sable de l'autre société à un prix dérisoire pour enrichir très vite la première et récupérer un énorme parachute doré.
De toutes manières, le premier conseil stratégique de Splotter à la fin du livret de règles, c'est : Si vous avez une conscience, ne jouez pas à ce jeu.
En tout cas, une des meilleures premières impressions du salon (avec Vasco de Gama et Last tran to Wensleydale).