[Fief 2]
si une revolte se crée est il possible qu une revolte puisse attaquer un eveque
sachant que l eveque a la possibilite de calmer la revolte par un lancer de de, sachant aussi que la regle concernant ce sujet est la suivante;
Intervention d'un évêque:
Un évêque peut essayer de calmer les révoltés Il doit se rendre sur le même village que les révoltés et les convaincre de rentrer dans leurs foyers Le joueur lance un Dé.
Je dirais que la révolte peut se créer, mais que l'évèque peut immédiatement tenter de calmer les révoltés (il n'a pas à se déplacer).
Réponse tirée de mes souvenirs que je crois que je m'étais posé la même question à ma dernière partie, il y a vachement longtemps (trop longtemps !).
Autant que je m'en souvienne, en cas de révolte de paysans, l'évêque est bel et bien obligé de se rendre sur le village où se trouve les paysans s'il VEUT tenter de mettre fin à leur révolte. S'il échoue, je crois me souvenir qu'il est lapidé ! Quant à savoir si l'évêque veut risquer sa peau pour aller stopper la révolte, la décision n'appartient qu'au joueur qui le représente. Ensuite et presque enfin, dans le cas où l'évêque n'a pas voulu se rendre sur le lieu de la révolte pour y mettre fin, rien n'interdit aux furieux paysans de se mettre à la chasse à l'ecclésiastique ! Toutefois, il faut se rappeler que si l'évêque et les paysans se trouvent au même endroit, l'évêque peut toujours d'abord tenter un lancer de dé pour stopper la révolte... que ce soit l'évêque qui soit venu au contact, les paysans qui l'aient rattrappé ou que la révolte soit apparue là où il y avait déjà un évêque. La règle ne précise pas en effet la chose comme ça, mais je pense que c'est bien dans l'esprit du jeu : l'évêque peut dans un premier temps ne pas prendre la décision de stopper la révolte qui peut lui être bénéfique et d'un coup changer d'avis si les paysans pénètrent sur ses terres ou menacent directement sa sainte personne. Dans tous les cas, la confrontation évêque/paysans en révolte est risquée pour tout le monde : pour les paysans d'abord, car l'évêque peut acheter des points de conviction; pour l'évêque ensuite car il a deux options tendues : soit il tente un lancer de dé et là faut pas se louper. Ou alors, au contact avec les paysans, il décide de ne pas essayer de mettre fin à la révolte : ça peut être intéressant si l'évêque est entouré d'autres seigneurs et soldats , auquel cas effectivement le curé aura tout intérêt à regarder les autres s'étripper, puisque les évêques (et cardinaux) ne combattent pas. L'issue du combat n'est pas jouée d'avance, car en effet les paysans en révolte sont souvent assez nombreux (d'autant que n'importe qui peut grossir leurs rangs à chaque tour) et malgré sa position reculée stratégique, l'évêque risque quand même d'y passer...