@Pingouin : qu’entends tu par points du maillot vert presque doublé ?
C’est une épreuve considéré vallonnée dans le topic général (comme la précédente).
@Vicen
Je veux juste dire que sprint intermédiaire et arrivée étant peu éloignés et sans obstacle intersticiel, ça risque d’être du quitte ou double (les deux classements pourraient se ressembler, si tu préfères)
De mon côté, j’ai pas réussi à chopper le sprint malgré un doublé final. Un peu comme antonynoh, à la différence que à cette table, c’est ma rouleuse qui remporte la course.
Il y a eu une attaque de poursuivant avant le premier col. Rattraper par Séléné seulement après le dit col. Elle pu le suivre avec la descente mais dans le plat juste devant la ligne, elle a pioché un mix de 2 et de fatigues.
Et nous voici au départ de cette 15eme étape. Après les épisodes de canicule, les organismes aspirent à un peu de repos… Mais les Asphaltes en ont décidé autrement et attaquent dès le début!
Syr Ose va faire l’effort pour recoller dans l’espoir de replacer son leader pour les pts distribués au sommet de la seule difficulté du jour. Malheureusement, Ray Ussyr a encore les jambes un peu raide en ce début d’étape.
Malgré une nouvelle attaque des Asphaltes dans la descente, un regroupement s’opère en vue du sprint intermédiaire… Remporté par Ray Ussyr au nez et à la barbe de son coéquipier!! Mauvaise compréhension ou…
Du coup, vexé, Syr Ose attaque et donne tout dans les derniers kilomètres pour s’adjuger la victoire d’étape
Malheureusement, l’équipe Poumon allié à Ray Ussyr va fondre sur lui et le battre au sprint !!
Il y a clairement de l’eau dans le gaz dans l’équipe Syr99 !!
Bon… Je crois que mon Soizic est sprintintermédiairophobe. Au moment de la décision, il a du feu dans les jambes (et moi un 9 dans les mains)… Mais de peur d’être esseulé devant, il freine comme s’il avait vu un radar et laisse passer son coéquipier qui lutte vaillamment mais en partant de trop loin… Le SI sera pour les Poursuivants.
Si je reviens en arrière, le début de l’étape est clairement à l’avantage du rouleur éco qui met toutes ses forces pour obtenir le Pk loiiiin devant tout le monde. Un effort qui se paiera évidemment puisqu’il finira la dernière ligne droite bon dernier.
Mon équipe gère ses efforts surtout pour Soizic un peu fatigué. Mais la coordination n’est pas toujours de mise et heureusement que l’équipe adopte le bon rythme du peloton qui aide à l’aspiration sinon il y aurait eu des décrochages.
La montée se passe bien, et au terme de celle-ci Rafi arrête de regarder derrière et vient se mettre dans de meilleures positions. Soizic et le coéquipier s’en sortiront derrière sans être décroché même si c’est un peu brouillon (un coup t’es devant, un coup t’es derrière, accélération pour raccrocher, et vas y que j’t’attends…). Néanmoins dans les descentes, le coéquipier protégera bien Soizic de la fatigue avant que celui ci ne revienne fort dans le peloton pour… ne pas jouer le SI donc…
Rafi quant à lui fait aussi jouer son talent de descendeur tout en restant dans la roue de ses adversaires (il sait qu’il va avoir besoin d’énergie pour ne pas perdre sa place sur le podium, il gère). Et c’est dans le dernier virage que mes coéquipiers lance l’assaut que seul un poursuivant arrivera à suivre jusqu’au bout, car les jambes rafraîchis de Soizic et la bonne vitalité de Rafi dans cette étape permettent de gérer sans trop de mauvaises surprises une arrivée vite atteinte après avoir laissé l’autre poursuivant et l’équipe éco sur place
Doublet de mon équipe, et victoire de Soizic… qui en fait visait les lauriers.
Bon, il faut reprendre les bonnes habitudes
et tâcher de faire plaisir à Janabis
Après deux étapes relativement moyennes pour l’AlcaTorda, notamment marquées par un regroupement au classement général, la réunion avec la Direction a été un peu houleuse.
Les initiatives de Staska Kowalski pour la maillot à pois ont été diversement appréciées, et la situation au classement est désastreuse : les deux leaders à 4" l’un.e de l’autre, comment définir une stratégie pour la fin de la compétition ?
Sur la ligne de départ, nul ne sait ce qui a été dit entre six yeux. Mais l’équipe aborde l’étape dans la configuration “habituelle” : Staska devant pour lui faire gagner une ou deux précieuses encablures, le premier équipier, puis Rico.
Hélas, quelle que soit la stratégie mise en place, elle se heurte à l’agressivité inouïe des AsPhalTe, qui lancent une échappée très précoce, seulement suivie par GianRicardo Onmorémenti
Et, du coup, retour de l’improvisation ! Staska fait l’effort nécessaire pour recoller à la tête de course et semble viser une nouvelle fois les points du Pic de Nore…
Va-t-elle réussir le même coup de poker qu’aux Saisies ???
Et non ! L’histoire ne repasse jamais les plats…
Le rythme de la course est toujours aussi soutenu, mais le peloton parvient à recoller dans la descente.
Kowalski tente une nouvelle fois sa petite estocade mais elle sous-estime ses adversaires qui parviennent à la bloquer en bas de la descente… à Mazamet c’est Pierrick Rack qui coupe la ligne le premier !
Il n’y a clairement plus aucune stratégie chez les AlcaTorda. Alors que Rico Lamiré se fait honteusement (et à plusieurs reprises) bouchonner à l’arrière, Staska joue des coudes pour se porter en tête, bien décidée à un mano-a-mano avec le jeune rouleur de l’AsPhalTe qui, elle en est sûre, finira bien par craquer au sprint final ! Est-elle décidément trop présomptueuse ???
Et à la 3ème tentative, c’est…
Réussi !
Mais quelle lutte finale !
Les fantômes auront été de rudes adversaires difficiles à manoeuvrer cette fois-ci : contrairement aux stratégies mises en place lors des dernières étapes, il n’a pas été possible d’imposer son rythme à la course… Mais pour cette fois, c’est passé - et tant pis pour les points…
"OUI ! OUI ! OUI !
En plus, la grève inopinée est terminée ici. Picol O'Goulo est au taquet sur sa moto.
Picol, comment cela se passe pour vous ?
Aaaaaah mais écoutez, c'est magnifique, le ciel est bleu, le soleil brille, il fait chaud, les oiseaux chantent & les coureurs viennent juste de partir.
Hé ! Cela démarre fort. D'entrée de jeu, ce sont les Asphaltes qui donnent le ton avec une grosse-grosse accélération de la part du leader Pierrrrrick Rack ! Peggy Soussey-Marieh laisse filer & se contente de suivre. Ce sont donc les Poumons qui s'emploient à contenir ce coup de fouet. Le ton est donné !
C'est maintenant Raymond Coquiveille qui montre toute l'étendue de son talent & hausse encore le rythme.
Le peloton qui était encore au complet mais trèèès étiré vient de casser ! Première cassure & c'est toute l'équipe GiBiCi se retrouve piégée !!!
Oh la la ! Mais Canabis mais pied à terre, il semblerait qu'il abandonne. Je comprends mieux pourquoi il n'a pas attaqué d'entrée aujourd'hui ... nous allons nous approcher.
Canabis ! Canabis !
...
Ah non ! Soulagement !
Il s'avère en réalité que nous passions juste devant chez Canabis & qu'il s'est arrêté sur le bord de la route en compagnie de ses équipiers pour saluer sa femme, ses enfants, sa mère, son chien, sa famille & tous ses amis.
Une petite coupe de Champagne & c'est reparti.
Gianabis passe à côté de moi ...
Gianabis ! Gianabis ! Cette petite pause était prévue ?
Ma ! Si, certo ! Ma, ces enf***** de caz** di mi**** ! Ils font exprès d'accélérer comme des mucche chinoises juste pour nous casser les c****** & nous gâcher la festa.
De toutes façons, on connaît bien le pic de Nore, il est loin de l'arrivée & ils vont lever le pied, on va revenir & leur faire payer leur arrogance.
Oula ! Il est bien remonté le directeur sportif de la GiBiCi ...
Son équipe repart & revient rapidement sur Peggy Soussey-Marieh qui roule à vive allure pour tenter de revenir sur la tête de course qui, effectivement, lève le pied dès les premiers mètres du col.
La jonction devrait bientôt se faire ...
& voilà ! Jonction faite.
La montée se fait à bon train pour un peloton au complet emmené par un GianRicardo Onmorémenti ultra motivé aujourd'hui.
Ou plutôt grosse accélération !
Il fait le trou.
La GiBiCi se fait à nouveau piéger !!! Mais cette fois, ce n'est pas prévu !!!
Heureusement, Canabis est sur ses terres, il connaît toutes les routes du coin par coeur & grâce à ses trajectoires parfaites dans la descente arrive à ramener ses partenaires dans les roues de Peggy.
& c'est le moment que choisit Raymond Coquiveille pour attaquer à son tour !!!
Voilà les deux coureurs de la formation Poumon seuls en tête. C'est osé, mais c'est beau !
Les coureurs nous offrent là une course de folie !!!
Alors qu'on approche du sprint intermédiaire, les Asphaltes reprennent peu à peu du terrain sur les Poumons & c'est comme dans un fauteuil qu'ils emmènent malgré eux Sibanaj disputer ce sprint de loin.
Raymond pensait se faire emmener par GianRicardo jusqu'à la victoire à Carcassonne sans prendre le moindre relais, mais le petit grimpeur a visiblement présumé de ses forces & c'est avec toute la peine du monde qu'il arrive à accrocher la roue du sprinter slovène.
...
Attaque !!! Attaque !!!
Sibanaj vient de placer une énorme mine en tête de course.
Ranabis prend sa roue, mais c'est le seul !!!
Personne ne peut suivre, derrière Canabis vient ajouter un peu plus de confusion à la pagaille provoquée par cette monstrueuse attaque !!!
Les deux coureurs de la formation italienne se retournent, mais non, non, il ne faut pas.
Ils voient que personne n'a suivi, ils roulent tête baissée vers un somptueux doublé !!!
Derrière, Peggy Soussey-Marieh s'échappe par un trou de souris, mais c'est trop tard, c'est trop tard !
Elle ne reviendra pas ou pas assez.
Elle vient mourir dans les roues de Ranabis, qui se relève en lèvant les bras pour saluer la victoire de Sibanaj.
Quel final mes amis ! Quel ... FI-NAL !
Pero, j'ai vu que Sib était muy bien & j'ai regardé les autres qui ne voulaient pas rouler, ils avaient fait beaucoup d'efforts & étaient muy fatigués, alors je suis allé le voir & je lui ai dit : "Ils sont couits, vas-y fas tou pétard !" & il a tout fa pétard.
Dit comme cela, cela à l'air tellement simple que c'en est beau. Juste beau."
ma femme m’a dit “y’arien à la télé”, je lui ai dit “non mais y’a le résumé de Janabis”
un paquet de chips, une bière et la fin de journée est un spectacle.
course bien gérée par l’équipe
1 et 3 encore une fois tout en gérant bien les fatigues , parfait !!
Et nous voici au départ de la 15 éme étape
Pour l’équipe Vertigo qui jusque là n’a pas brillé , cette année le maillot à pois ne sera pas chez Vertigo, les objectifs sont revus à la baisse ; une place dans le top 5 pour Raymond Tada et une victoire d’étape serait bien venu .
La seule difficulté du jour est abordé et c’est toujours l’équipe Asphalte par pierrick rack qui imprime le rythme à la course . Derriére on s’accroche et on retrouve Raymond Tada à l’arriére de la course serait il en difficulté ?
C’est pierrick rack qui passera en téte au sommet désolé pour les images mais un petit probléme technique est venu pertubé la retransmission
Profitant de la descente , Simon Tagne place une attaque et seul Onmorémenti et Peggy Sousey arrive à prendre sa roue
Derrière c’est la panique ; Reja Labert craque et Raymond Tada se retrouve seul derrière loin des échappées.
Voyant ses adversaires marqués par les efforts Simon Tagne place une nouvelle attaque et là personne ne peut le suivre . Derriére Raymond Tada ne peux pas compter sur son équipier et c’est seul qu’il assume le train derrière .
Oh les oreillettes ont du fonctionner Raymond Tada fournit un effort violent tandis que devant Simon Tagne semble avoir levé le pied
Grosse accélération de Raymond Tada qui rejoint Simon Tagne , accélération qui est fatale au coureurs de l’équipe Asphalte
Raymond Tada Poursuit son effort et personne ne peut le suivre il ne se retourne , derriere Simon Tagne imprime un faux tempo pour ralentir la poursuite
Et voilà c’est en solitaire que RaymonTada franchit la ligne d’arrivée à Carcassonne
Derrière c’est l’équipe Asphalte qui emporte le sprint du peloton .
Très jolie travail d’équipe pour Vertigo dommage que Reja Labert n’est pas pu aider son leader .
Il signe une bien jolie victoire d’étape
(Par contre, petite question, c'est quelle version du jeu ? Parce que je n'ai pas les mêmes cartes moi :/ )
Janabis dit(Par contre, petite question, c'est quelle version du jeu ? Parce que je n'ai pas les mêmes cartes moi :/ )
Heu... la même que la mienne en tous cas...
jeu acheté sur une boutique en ligne début 2018
et mon ami Marc Laumonier l'avait acheté avant, ce sont les mêmes cartes aussi...
pingouin dit :Janabis dit(Par contre, petite question, c'est quelle version du jeu ? Parce que je n'ai pas les mêmes cartes moi :/ )Heu... la même que la mienne en tous cas...
jeu acheté sur une boutique en ligne début 2018
et mon ami Marc Laumonier l'avait acheté avant, ce sont les mêmes cartes aussi...
Oui c'est cela ,c,est la seconde édition
Pour info
j’envisage de clore l’étape 15 (et donc de lancer la suivante) dans pas trop longtemps…
j’ai envoyé un message à ceusses qui n’ont pas donné de nouvelles ces derniers temps - une petite réponse fera plaisir
Janabis dit :En prendre, déjà !Pouvoir prolonger ses vacances ... le rêve !
Bon, j'ai eu un petit contretemps mais la 16ème étape sera certainement lancée dans la nuit, au plus tard demain matin.
stay tuned...
TOUR DE FRANCE
15ème étape : Mende - Carcassonne
C'est clair pour à peu près tout le monde : l'étape du jour est la dernière occasion de se reposer avant LA grande explication des Pyrénées. Compte tenu des difficultés à venir d'ici au col du Portet, on imagine mal un candidat à la victoire finale griller ses cartouches pour un résultat hasardeux... seule la descente du Pic de Nore est susceptible de générer des écarts, mais la longue arrivée sur Carcassonne et une bonne discipline d'équipe peut ruiner tout effort solitaire...
Le cortège s'ébranle donc tranquillement au départ de Mende... sauf pour Renato Rubato (SODA) qui tente une échappée solitaire dans une étape qui peut effectivement lui rapporter : 10ème au GPM, 20ème au général et 8ème jeune, il y a un coup à tenter.
Le jeune rouleur prend rapidement une grosse avance et personne ne cherche vraiment à réagir, à l'exception de Sami Subishi qui semble avoir perdu pas mal de temps à organiser une contre-attaque avec quelques-uns, et finit par partir seul et un peu rageux...
Dans l'ascension du Pic de Nore, Rubato possède une jolie avance de 2 minutes sur son poursuivant solitaire, et plus de 3 sur le peloton qui ne s'affole pas... Et là, c'est le drame : le dérailleur du rouleur de la SODA explose littéralement, et voila le jeune Renato obligé de poser le pied à terre en attendant que la voiture de l'équipe ramène un vélo neuf ! Quelle erreur de la SODA !
Sami Subishi arrive en tête au sommet, presque surpris de sa bonne fortune : le voilà encore mieux relancé dans le Grand Prix de la Montagne qu'il ne l'espérait !
Rubato est remonté en selle (neuve) avec la rage au ventre. Il arrive au sommet noyé dans le peloton, mais reprend vite les devants lorsque sont lancées, dans la descente, les grandes manoeuvres pour revenir sur l'échappée.
Un petit groupe de poursuite, un peu cadenassé par les antonynoh, démarre et Rubato en est !
Seul, Subishi a énormément de mal à résister au rythme imposé par les poursuivants par ailleurs très aguerris. Son avance fond très vite et, dans la plaine, il finit par être rattrapé. Les caméras saisissent un petit échange entre Subishi et Rubato... et celui-ci relance subitement, laissant le petit groupe quasiment sur place... La rage au ventre, vous dit-on...
Une fois de plus sans réaction adverse, il ne tarde pas à prendre une trentaine de secondes d'avance, et arrive donc en solitaire à Mazamet, où il remporte sans coup férir le sprint intermédiaire... suivi à bonne distance par le petit groupe qui semble attendre la jonction du peloton.
En effet, à l'arrière les équipes antonynoh, D20 et Zprigan ont embarqué Sharks, Vertigo et autres AlcaTorda pour accélérer le train...
Et dans les virages du Parc Régional du Languedoc, lorsque le peloton a effectivement recollé aux poursuivants, Rubato dispose toujours de 30 à 40 secondes d'avance et, si les murs de la cité ne sont pas encore en vue, il est clair que, si réaction il y a, elle doit avoir lieu maintenant !
Et, à la surprise des observateurs, elle est lancée par un trio relativement improbable : Stanislas Riton et Ramory, encadrant le maillot à pois Staska Kowalski, partent en contre-attaque éclair !
Pour Riton, c'est une course qu'il avait été bien près de remporter l'an dernier sur le Tour d'Europe et l'on peut comprendre sa détermination... pour Kowalski en revanche, c'est plus surprenant car on pouvait supposer que la défense de son maillot lui aurait recommandé de la prudence aujourd'hui...
Ils se relaient de façon très fluide, comme à l'école, et fondent sur le jeune Rubato qui a certainement beaucoup puisé dans ses réserves aujourd'hui ! Et lorsque les coureurs commencent à entrevoir les contreforts de Carcassonne, Staska Kowalski accélère violemment, sans que ses compagnons ne parviennent à répondre !
Elle rejoint Rubato en tête et discute brièvement avec lui. Pendant quelques kilomètres on les voit coopérer activement pour préserver leur courte avance sur les poursuivants. Et puis... Kowalski laisse parler sa nature de sprinteuse ! Elle porte une 3ème accélération que Rubato ne peut plus suivre et, sous la Flamme Rouge, elle a pris la centaine de mètres d'avance qui ne peut plus être reprise !
Etonnante victoire du maillot à pois, dans une étape de transition sans beaucoup d'enjeu à part symbolique... peut-être lui fallait-il cette victoire de "prestige" pour régler définitivement la situation au sein de l'équipe Alca Torda ?
Toujours est-il que l'impact de l'étape au classement est effectivement quasi nul...
Dans les classements "annexes", on notera seulement que Romain Cocotte est parvenu à grappiller quelques secondes sur Roulta Bécaen et, sauf énorme performance des Giana Bici ou Lessteph dans les Pyrénées, le maillot blanc se jouera entre ces deux-là !
Et ça commence... par la 16ème étape jusqu'à Bagnères-de-Luchon...