Au cours des 10 derniers jours (je crois que c’est suite à la série du Gambit de la Dame), j’ai du disputer une vingtaine de parties d’échecs, certaines “en vrai” et d’autres contre un programme sur mon ipad.
Ce jeu est une sorte de fil conducteur (en pointillés) pour moi, je m’y consacre jusqu’à la passion, je constate au bout d’un moment que pour encore progresser, il va falloir finir par apprendre des ouvertures par coeur, ça me rebute un peu et me lasse car je préfère conserver une spontanéité stratégique et tactique, même si c’est au détriment de l’efficacité. Mais je finis toujours à un moment ou un autre de ma vie par y revenir.
Bref, ces derniers temps, je crois avoir fait quelques progrès entre autres dans des considérations parfois subtiles (bon ou mauvais fou, structure de pions, ouverture des colonnes, etc…). L’immensité des voies, le champs des possibles nous font vite plonger dans des perspectives ennivrantes. Ce jeu est une source inépuisable de positions, de problèmes (au sens positif).
Pour celles et ceux qui trouvent que les parties manquent de dynamique, que les protagonnistes réfléchissent trop longtemps et que le jeu est soporifique, j’invite à découvrir par vidéos le “speed chess” de l’élite mondiale. C’est bien trop rapide pour moi, il faut avoir une assiette de connaissances très solide. Mais ça donne une idée du rythme que l’on peut imprimer au déroulement.
Pour ma part, je préfère un temps de 10/20 minutes par joueur, bon compromis qui conserve une vivacité sans trop faire de sacrifices dans la réflexion. Je constate aussi que les programmes d’échecs ont fait des progrès flagants ces dernières années. Avant, le programme jouait très bien, puis faisait une bourde ridicule au bout de x coups. Maintenant, c’est plus ténu et représente mieux une “forme d’adversité humaine” à un niveau donné.
Je gagne majoritairement mes parties au niveau 1400 points elo. C’est sûrement un détail pour vous, mais pour moi… je ne suis pas mécontent, avec le risque que je m’embourbe désormais à vouloir encore progresser.
Docky, j’ai appris récemment qu’on commençait à 0 ELO aux échecs et non 1500 comme je le croyais. Tu confirmes?
De mon côté, je me replonge dans le go, j’initie des gens – mon faible niveau est largement suffisant pour ça –, je regarde des vidéos, je regarde des parties sur OGS (le site est très bien fait pour ça). Bien sûr je comprends pas tout, mais je suis admiratif de ce que les deux adversaires arrivent à mettre en place et de la façon dont ils s’aménagent mine de rien des sécurités qui s’avèrent payantes comme par magie – de mon point de vue – qq coups plus tard.
Et j’ai initié un camarade à Hanabi. Il est accro et ne cesse de m’en réclamer des parties.
Pour ma modeste connaissance du sujet, ce n‘est ni l‘un ni l‘autre. D‘après la FIDE, un débutant qui ne maîtrise que les règles sans autres considérations tactiques / stratégiques débute(rait) à 1000 points ELO. 1400, c‘est en gros le niveau d’un joueur régulier de club.
Le go me semble avoir de grands charmes, mais il m’est assez opaque, abstrait. J’ai jusqu‘à présent plus d‘accointances avec l‘“immédiateté“ des échecs : le fait que j‘arrive souvent à mesurer (ou subir) les conséquences de mes actes dans un délai plus bref, sur le déroulement de la partie.
Aujourd’hui petite partie de Touche Poulet, de l’editeur Ankama.
On entend tres peu de retour sur ce jeu pourtant il est bien sympa.
Je gagne de peu, a 1 oeuf d’ecard.
J’ai eu du pot de toucher le coffre adverse quasi des le debut ce qui m’a fait un net avantage et qui m’a permis de prendre le bonus qui reduit le cout des oeufs a acheter.
Oui, jeu sympa avec les enfants
Meme entre adulte je dirais
A la recherche d’un nouveau jeu régulier pour nos parties du midi en duo, nous avons fait notre première partie de Carpe Diem, de Stefan Feld.
En effet, notre passion pour Kingdom Builder s’est un peu essoufflée, nous jouons très souvent à Dominion, mais souhaitons changer un peu. Res Arcana et 7WD nous conviennent bien, mais mon partenaire n’aime pas en enchaîner les parties. Donc, nouvel essai.
D’abord, le visuel. Je pense en général affectionner les vieux jeux, mais là, j’avoue qu’on dirait que l’éditeur a ses idées bien à lui concernant la ligne alea, déjà les Châteaux de Bourgogne est un de nos jeux les plus pourris niveau matériel, je crois que Carpe Diem franchit encore une limite. J’étais prévenue, donc pourquoi pas, mais même ainsi, on a fait une drôle de tête en voyant le matériel en vrai, c’est encore pire que sur les photos : je pensais que les tuiles seraient un peu plus épaisses, les couleurs un peu plus différenciées, etc., mais non, c’est pire. Au point que la partie finie, j’ai fait une petite marque au dos des tuiles vert foncé, parce qu’une journée sans soleil, il se pourrait qu’on ait du mal sinon à les différencier des vert clair.
Le seul truc un peu joli, ce sont les ressources en bois.
On n’a pas compris pourquoi il y avait des petits points au dos des cartes A, B, C et D ni sur le plateau où l’on pose ces cartes. On a loupé quelque chose ?
Maintenant, le thème. Bon, apparemment il fallait en trouver un, mais je ne vois pas l’intérêt de préciser qu’on est en l’an 1 avant JC. L’antiquité ou n’importe quelle période où l’on fait pousser des trucs pour les vendre aurait suffi. De toute façon, on l’oublie aussitôt dit.
Les manipulations, ensuite. On est bien dans un jeu de l’auteur des CdB, il y a tout le temps des petites tuiles à débarrasser et à remettre sur un plateau.
Mais le jeu ?
J’avoue, c’est amusant de choisir une tuile pour construire son petit village (qui ne ressemblera à rien, je vous rassure) en faisant attention au nombre de points que ça pourra rapporter à la fin. Ainsi qu’à avancer sur la piste des banderoles (encore un truc qui ressemble à rien, esthétiquement ou thématiquement). Le choix de l’emplacement sur les cartes avec lesquelles on veut marquer des points est intéressant, aussi important pour empêcher l’autre d’en marquer.
Il nous reste maintenant à arriver à en faire un tout.
Au début, on se dit que 5 petites ressources en bois pour chaque type, c’est peu, mais finalement, ce n’est pas facile du tout de les collecter, il nous a semblé plus facile d’avoir du pain ou des pièces, et il ne faut pas oublier l’importance des cheminées, qui ne donnent rien sur le moment et au contraire prennent la place d’autre chose.
Si on choisit la valorisation du village, les cartes Fontaine peuvent rapporter pas mal de points aussi, sinon elles peuvent bien en ajouter quelques-uns quand on n’a rien de trop pertinent à faire à la place.
Je pense qu’il a pas mal marché avec nous pour cette première partie. Pas de waouh, vu qu’il fait un peu jeu d’il y a dix ou quinze ans (le visuel n’aidant pas à changer d’avis), mais il se pourrait bien qu’il ressorte régulièrement avec le café. Ou pas. A voir d’ici quelques parties.
Docky dit :Pour ma modeste connaissance du sujet, ce n‘est ni l‘un ni l‘autre. D‘après la FIDE, un débutant qui ne maîtrise que les règles sans autres considérations tactiques / stratégiques débute(rait) à 1000 points ELO. 1400, c‘est en gros le niveau d’un joueur régulier de club.
Le go me semble avoir de grands charmes, mais il m’est assez opaque, abstrait. J’ai jusqu‘à présent plus d‘accointances avec l‘“immédiateté“ des échecs : le fait que j‘arrive souvent à mesurer (ou subir) les conséquences de mes actes dans un délai plus bref, sur le déroulement de la partie.
Je peux faire la même phrase en inversant go et échecs 😂
Proute dit :
On n'a pas compris pourquoi il y avait des petits points au dos des cartes A, B, C et D ni sur le plateau où l'on pose ces cartes. On a loupé quelque chose ?
Pour les cartes A par exemple: il faut en ajouter 2 à 2 joueurs, 2 à 3 joueurs et 3 à 4 joueurs. Pour les B, 2 à 2 joueurs, 3 à 3 joueurs et 3 à 4 joueurs. Les D = autant de cartes qu'il y a de joueurs !
Le jeu de base à 2 ne m'avait jamais vraiment tenté parce que l'aspect course semblait être aussi important que l'optimisation.@Sysyphus: interessant ton retour sur Istanbul. J’avais lu qu’a 2 le jeu n'était pas recommande car finalement presque trop equilibre entre joueur experimentes. Tu joues avec les assistants neutres?
A 4 joueurs, cette course est juste plus amusante/et fun, tout comme l'influence des marchands adverses qui agissent en "poil à gratter" sur le plateau.
Avec le café, et encore plus avec l'intégration de la seconde extension, l'accent est vraiment mis sur la gestion spatiale du plateau, et la course aux 6 rubis devient moins "essentielle", le jeu est donc pour moi meilleur à 2 avec les extensions.
Les marchands neutres remplissent toujours leur rôle de poils à gratter et sont très faciles à manipuler.
J'ajoute quand même que je ne suis pas très difficile sur les versions 2 joueurs.
Et on aura, nous aussi, Rajas sous le sapin ;).
Sysyphus - Pommard dit :Ok, on a l'air d'avoir tout compris, alors.Proute dit :
On n'a pas compris pourquoi il y avait des petits points au dos des cartes A, B, C et D ni sur le plateau où l'on pose ces cartes. On a loupé quelque chose ?
Pour les cartes A par exemple: il faut en ajouter 2 à 2 joueurs, 2 à 3 joueurs et 3 à 4 joueurs. Pour les B, 2 à 2 joueurs, 3 à 3 joueurs et 3 à 4 joueurs. Les D = autant de cartes qu'il y a de joueurs !
Merci.

Proute dit :A la recherche d'un nouveau jeu régulier pour nos parties du midi en duo, nous avons fait notre première partie de Carpe Diem, de Stefan Feld.
En effet, notre passion pour Kingdom Builder s'est un peu essoufflée, nous jouons très souvent à Dominion, mais souhaitons changer un peu. Res Arcana et 7WD nous conviennent bien, mais mon partenaire n'aime pas en enchaîner les parties. Donc, nouvel essai.
D'abord, le visuel. Je pense en général affectionner les vieux jeux, mais là, j'avoue qu'on dirait que l'éditeur a ses idées bien à lui concernant la ligne alea, déjà les Châteaux de Bourgogne est un de nos jeux les plus pourris niveau matériel, je crois que Carpe Diem franchit encore une limite. J'étais prévenue, donc pourquoi pas, mais même ainsi, on a fait une drôle de tête en voyant le matériel en vrai, c'est encore pire que sur les photos : je pensais que les tuiles seraient un peu plus épaisses, les couleurs un peu plus différenciées, etc., mais non, c'est pire. Au point que la partie finie, j'ai fait une petite marque au dos des tuiles vert foncé, parce qu'une journée sans soleil, il se pourrait qu'on ait du mal sinon à les différencier des vert clair.
Le seul truc un peu joli, ce sont les ressources en bois.
On n'a pas compris pourquoi il y avait des petits points au dos des cartes A, B, C et D ni sur le plateau où l'on pose ces cartes. On a loupé quelque chose ?
Maintenant, le thème. Bon, apparemment il fallait en trouver un, mais je ne vois pas l'intérêt de préciser qu'on est en l'an 1 avant JC. L'antiquité ou n'importe quelle période où l'on fait pousser des trucs pour les vendre aurait suffi. De toute façon, on l'oublie aussitôt dit.
Les manipulations, ensuite. On est bien dans un jeu de l'auteur des CdB, il y a tout le temps des petites tuiles à débarrasser et à remettre sur un plateau.
Mais le jeu ?
J'avoue, c'est amusant de choisir une tuile pour construire son petit village (qui ne ressemblera à rien, je vous rassure) en faisant attention au nombre de points que ça pourra rapporter à la fin. Ainsi qu'à avancer sur la piste des banderoles (encore un truc qui ressemble à rien, esthétiquement ou thématiquement). Le choix de l'emplacement sur les cartes avec lesquelles on veut marquer des points est intéressant, aussi important pour empêcher l'autre d'en marquer.
Il nous reste maintenant à arriver à en faire un tout.
Au début, on se dit que 5 petites ressources en bois pour chaque type, c'est peu, mais finalement, ce n'est pas facile du tout de les collecter, il nous a semblé plus facile d'avoir du pain ou des pièces, et il ne faut pas oublier l'importance des cheminées, qui ne donnent rien sur le moment et au contraire prennent la place d'autre chose.
Si on choisit la valorisation du village, les cartes Fontaine peuvent rapporter pas mal de points aussi, sinon elles peuvent bien en ajouter quelques-uns quand on n'a rien de trop pertinent à faire à la place.
Je pense qu'il a pas mal marché avec nous pour cette première partie. Pas de waouh, vu qu'il fait un peu jeu d'il y a dix ou quinze ans (le visuel n'aidant pas à changer d'avis), mais il se pourrait bien qu'il ressorte régulièrement avec le café. Ou pas. A voir d'ici quelques parties.
Heureusement qu’il est moche ce jeu, sinon Azul ne se vendrait pas :)
Sysyphus - Pommard dit :Proute dit :
On n'a pas compris pourquoi il y avait des petits points au dos des cartes A, B, C et D ni sur le plateau où l'on pose ces cartes. On a loupé quelque chose ?
Pour les cartes A par exemple: il faut en ajouter 2 à 2 joueurs, 2 à 3 joueurs et 3 à 4 joueurs. Pour les B, 2 à 2 joueurs, 3 à 3 joueurs et 3 à 4 joueurs. Les D = autant de cartes qu'il y a de joueurs !
Le jeu de base à 2 ne m'avait jamais vraiment tenté parce que l'aspect course semblait être aussi important que l'optimisation.@Sysyphus: interessant ton retour sur Istanbul. J’avais lu qu’a 2 le jeu n'était pas recommande car finalement presque trop equilibre entre joueur experimentes. Tu joues avec les assistants neutres?
A 4 joueurs, cette course est juste plus amusante/et fun, tout comme l'influence des marchands adverses qui agissent en "poil à gratter" sur le plateau.
Avec le café, et encore plus avec l'intégration de la seconde extension, l'accent est vraiment mis sur la gestion spatiale du plateau, et la course aux 6 rubis devient moins "essentielle", le jeu est donc pour moi meilleur à 2 avec les extensions.
Les marchands neutres remplissent toujours leur rôle de poils à gratter et sont très faciles à manipuler.
J'ajoute quand même que je ne suis pas très difficile sur les versions 2 joueurs.
Et on aura, nous aussi, Rajas sous le sapin ;).
Merci :)
Et décidément on se suit sur les jeux!
SDO dit :Heureusement qu’il est moche [Carpe Diem], sinon Azul ne se vendrait pas :)
J’irais pas jusque-là. C’est plus long et technique qu’Azul.
Mais c’est sûr que son ergonomie, même pas retravaillée lors de la réédition, ne joue pas en sa faveur.
J’aime beaucoup le système de cartes de scoring qu’on sélectionne façon Spyrium.
Petite partie de Ex Libris.
Ca faisait longtemps qu’il etait pas sorti et toujours aussi sympa.
Je m’axe principalement sur mon bonus personnels et je reussi a chopper 17 tomes vert ce sui me fera un joli 51 points.
Je minimise au maximum les livres bannis ce qui me fais un malus de 4 points et je n’axe pas trop ma strategie sur le bonus de stabilite de la bibliotheque.
Malgré tout je fini avec 25 points d’avance .
Une partie d’Azul avec les enfants ce soir justement, le grand, mauvais joueur, a quitté la table (heureusement à ce jeu ça n’a pas trop d’impact sur les autres),
puis une première partie de metropolys avec le cadet 7 ans et demi. Comme c’est un jeu pas évident pour cet âge (objectifs cachés, bluff et enchères, ça fait beaucoup) j’ai laissé filer deux coups l’air de rien pour qu’il reste un peu dans la course, je termine 33-27, ce qui est loin d’être ridicule pour lui !
Je pense qu’on y rejouera !
SDO dit :Une bien belle journée ludique.
Clou du spectacle avec la premiere de Shakespeare + Backstage. Je n’ai pas assez de superlatifs pour dire tout le bien que je pense de ce jeu - sans Backstage, c’est deja un chef d’oeuvre. Avec Backstage le jeu devient a la fois plus méchant mais aussi plus « souple ». Les strategies sont moins unidimensionnelles, on a tjs une manière de rebondir après un mauvais coup. Le coup de genie c’est qu’on ne perd aucunement l’exquise tension qui existe tout au long de la partie. Bravo les artistes d’Ystari, ce jeu devrait etre réédité pour qu’il puisse connaitre le succès qu’il mérite! Celui la il est vraiment tout en haut de mon top, avec Deus et assez loin devant les autres.
On a rejoue à ce chef d'œuvre il y a une ou 2 semaines. Honnêtement avec great western c'est le jeu que je ressors systématiquement avec grand plaisir.
Totalement d'accord avec ton analyse sur backstage.
En plus thématiquement c'est juste parfaitement imbriqué.
Il lui manque un truc avec les plumes, un truc plus complexe… là, c’est juste avancer sur une piste, dommage.
Ce n’est effectivement pas sur les pistes des Actes qu’il y a le plus de tension (en dehors des jours de repetition)… mais ca fonctionne quand meme bien je trouve. Les mécaniques sont bien imbriquées.
Shakespeare est probablement un des seuls jeux de ma ludo qui ne m’a jamais fait dire « ouais bof… » apres une partie.
Great Western Trail est notre prochain gros morceau ludique. Le jeu est prêt a jouer, faut juste que je finisse de digérer les règles !
Sinon je viens de perdre ma 4ème partie d’affilée a IawW. Dire qu’après 2 parties elle me disait que c’était le type de jeu où elle ne gagnerait jamais (alors qu’elle m’a mis la misère pdt des mois a Century et Ganymede…)
Rodenbach dit :Une partie d'Azul avec les enfants ce soir justement, le grand, mauvais joueur, a quitté la table (heureusement à ce jeu ça n'a pas trop d'impact sur les autres),
puis une première partie de metropolys avec le cadet 7 ans et demi. Comme c'est un jeu pas évident pour cet âge (objectifs cachés, bluff et enchères, ça fait beaucoup) j'ai laissé filer deux coups l'air de rien pour qu'il reste un peu dans la course, je termine 33-27, ce qui est loin d'être ridicule pour lui !
Je pense qu'on y rejouera !
Si t’arrêtais de tricher aussi... il a quel age? 11 ans ou je confonds?
Cette semaine :
- je me lance dans le Cercle Brisé, HàA JCE, en solo. Scénario prologue terminé, avec un des investigateurs prévus pour. Joe Diamond va faire son entrée pour la suite.
- découverte de L’Ombre de Kilforth, avec une déception à hauteur de l’attente. Les règles inbitables n’aident pas à appréhender le jeu.
Après pas mal de tours dans l’ombre (haha), on finit par faire réussir à faire tourner le bouzin. Mais on n’est pas rentré dedans, on a trouvé le jeu très très mécanique, je cherche à obtenir les bonnes cartes pour avoir les bons mots-clé, et faire mon chapitre de saga. L’histoire ? On l’a complètement oubliée. Une erreur de casting, qui part à la revente.
- découverte de Mini Macro Crime City : toute la famille a accroché de suite, nostalgie des “Où est Charlie ?” bien entendu ! Avec ma femme, on est assez vite passé en mode expert, qui offre un challenge intéressant, les enfants restent sur le mode classique. C’est très addictif !
Seul bémol, se mettre à plus de 2 autour de la table peut être difficile pour bien voir les détails. Une belle réussite.
- réception de Forgotten Waters, jeu narratif dans l’univers de la piraterie. J’ai longtemps hésité avant de me le procurer car il n’existe qu’en VO, avec une application dédiée et des phases de narration assez longues. Bon, on s’en sort et les traducteurs font des merveilles quand ça coince.
On se lance dans le premier scénario “Beyond the Ocean’s Edge”…qui se soldera par une mutinerie 2h plus tard : notre équipage mécontent d’avoir été un temps privé de nourriture, la perte de certains membres faute d’avoir bien géré nos voiles dans la tempête, l’intervention d’un perroquet …tout ça a précipité notre chute.
Il nous a fallu quelques tours pour bien comprendre à quoi menaient les différentes actions proposées et choisies en temps limité (actions différentes sur chaque page du Story Book). Passé ce temps de prise en main, le jeu entraine des discussions entre les différents joueurs, l’histoire est sympa (le jeu des acteurs - en anglais - vraiment bon). On va vite repartir du port histoire d’aller un peu plus loin !