Histoire collective...

Comme j’ai pu le faire sur un autre forum il y a bien longtemps…
Je vous propose d’écrire ensemble une histoire.

je vous demanderais de n’écrire que des suites sur ce sujet, de sorte qu’à la fin on ait une histoire continue, drôle, sentimentale, paranormale, peut m’importe, mais continue! Au pire, pour les commentaires, il peut être créer un autre sujet.

Je vous invite à écrire la suite qui vous plaira, sans trop restreindre l’imagination collective. Aussi, il faut faire en sorte qu’une suite soit toujours possible et c’est encore mieux si on laisse une piste de départ pour le prochain contributeur.

Il est approprié sur ce sujet de ne pas utiliser votre signature (il suffit de décocher la deuxième petite boîte lorsque vous poster votre réponse). Merci!

Amusons-nous! Et pour ceux qui aiment lire et écrire, c’est l’idéal! Voilà donc le début de l’histoire…

(c rodrigue)

À peine le soleil osait-il offrir de ses rayons que les masses nuageuses avaient tôt fait de reformer leur voile opaque. C’était l’automne et il n’était pas question d’offrir chaleur et lumière aux gens, pas même à la marquise Serenna. Elle venait tout juste de sortir du lit que déjà son visage radieux avait pris une tournure plus sombre et maussade. La mort de la nature à l’extérieur, son hibernation prochaine et le délaissement de ses couleurs pour revêtir, comme en deuil, son habit grisâtre exempt de vitalité enlevait tout entrain à la noble dame. Elle se vêtit nonchalamment et entrepris la descente du majestueux escalier qui la conduirait à la salle à manger pour le petit déjeuner. Sa démarche fut interrompue deux fois par les salutations respectueuses de serviteurs qui entreprenaient leur ascension vers la chambre qu’il fallait remettre en ordre. Tout en s’installant devant les plats qu’on lui avait déjà servis, Serenna jeta un œil à l’extérieur, examinant le comportement de l’arbre centenaire qui se trouvait juste derrière son immense demeure. Elle ne put s’empêcher d’effectuer une petite moue voyant que de violentes bourrasques de vent fouettaient sans relâche le grand chêne accélérant ainsi le dépeuplement des branches. L’ordre fut donné de clore les rideaux et la marquise se concentra sur son appétit pour se redonner un peu d’entrain. Elle dégustait des tranches d’ananas lorsque sa délectation fut interrompue par le carillon de la porte principale qui résonnât sublimement dans toute la demeure. Un valet répondrait, elle n’avait qu’à attendre qu’on vienne la prévenir, ce qui n’empêchait aucunement ses interrogations : qui pouvait bien venir la déranger par une heure si matinale alors qu’elle n’attendait personne?

Ellle écouta et soudain des pas se firent entendre …le valet suivi d’un grand jeune homme vêtu de façon étrange. Quel est cet homme si tôt chez-moi ? se demanda Serenna. Quelle ne fut pas sa surprise de voir cet homme se diriger vers elle et la prendre par les épaules doucement et lui avouer, je suis Monsieur Phal. Vous savez on s’habitue vite à être un super vilain…

Serenna se dégagea de l’emprise de ce jeune homme sans retenu: " Mr Phal ne vous a t’on pas appris la galanterie ? super vilain ou pas il serait préférable de vous apprendre les bonnes manières"
Elle fit venir son valet et lui glissa quelques mots à l’oreille tout en regardant du coin de l’oeil son audacieux invité. Il va y’avoir du boulot pensa t’elle mais il en valait la peine.
Le valet hocha la tête et sorti de la pièce. Mr phal contempla la décoration de la pièce . Des tons pastels tout en subtilité à l’image de Serenna. Un grand miroir refletait son image, rapidement il tourna la tête…Son regard fut attiré par une immense armoire. Que pouvait elle bien contenir. Trop grande pour renfermer une garde robe et surtout ce cadenas énorme. Mr phal se dirigea vers le meuble mais Serenna s’interposa vivement " Ni pensé même pas…"
“Un jour peut être mais il est bien trop tôt. et de toute façon le temps ne s’y prête absolument pas”.
Le bruit de la porte se fît entendre . Le valet apparu avec une personne fort distingué à ces côtés. Serenna salua le nouveau venu et désigna subtilement Mr phal qui ne masqua pas sa surprise devant une telle élégance.

Dans l’immense pièce que seuls une rangée d’écran de contrôle éclairaient, se tenaient trois fauteuils aux dossiers impressionants.
- Super Vilain vient de prendre contact avec Serenna.
- On ne peut pas dire qu’il fait dans la délicatesse…
- Laisser le faire. Elle se méfiera de son attitude et pas de l’enssentiel.
- Vous semblez bien sûr de votre agent Belzebuth…
- Pas vous ?
- …
Souflant la fumée de son cigare, le troisième homme s’immobilisa quand un nouveau personnage apparu sur l’écran.
- Damned ! Iéna est déjà sur la place. La partie s’annonce serrée messieurs.

  • mr phal je vous présente iena grand orateur et qui n’a pas son pareil aux mölkky !
    La surprise de super vilain étant passé il se dirigea vers ce gentleman pour le salué.
    Une poigné de main franche scella les présentation. Mr Phal ne fit pas attention au léger picotement qu’il ressentit juste après.
    -Je me présente, Mr phal super vilain de son état.
    Il accompagna son geste d’un point levé qui n’effraya pas Iena.
    Serenna observait la scene, amusée de voir super vilain s’agiter comme un enfant avant d’ouvrir son cadeau.
    -Je suis super vilain et la trictrac connection m’appartient vous m’entendez. Je suis libre de supprimer n’importe quelle trictracien d’un simple clic !
    Une secte pensa Iena.
    Iena écouta Mr phal parlé de sank petersburg et puert rico .
    -Vous voyagé beaucoup dites moi ?
    Mr phal s’arréta net, surpris par cette remarque.
    -???
    Et soudain un grand éclat de rire…
    Serenna s’approcha de Iena pour lui expliquer que Mr phal se prennais pour un journaliste et pensait dominer un monde virtuel.
    -Je vous avais bien dit que la tache ne serait pas simple. Iena acquiesca mais ne semblait pas inquièt pour autant. Il n’vait de toute façon pas le choix.
    Mr phal s’écroula…enfin pensa Iena.
    -En tout cas il est résistant c’est déjà un bon point.
    -Votre bague ? demanda Serenna à Iena
    -Oui toujours très efficace n’est ce pas.

    Ailleurs la scène était toujours observé avec grand intérêt.