grandmaitre dit:OK j'emmène du rouge qui tâche et du fromage (St Nectaire fermier vous m'en direz des nouvelles!!!)
Y a de la chance que pour la charogne!

Et moi qui ne pourrai pas venir...

grandmaitre dit:OK j'emmène du rouge qui tâche et du fromage (St Nectaire fermier vous m'en direz des nouvelles!!!)
Mitsoukos dit:Dis donc je vais t'apprendre la délicatesse avec la gente féminine Grouik![]()
Tu devrais te laisser faire c'est pas si désagréable...![]()
Pour la peine, et comme je suis sur votre topic, j'ai une petit service: si vous voyez Aldébaran et que c'est le même que le mien que je connais qui était avant sur Valence et qui est maintenant sur Paris, donnez lui un petit bonjour de ma part
TS Léodagan dit:grandmaitre dit:OK j'emmène du rouge qui tâche et du fromage (St Nectaire fermier vous m'en direz des nouvelles!!!)
Y a de la chance que pour la charogne!![]()
Et moi qui ne pourrai pas venir...
TS Léodagan dit:grandmaitre dit:OK j'emmène du rouge qui tâche et du fromage (St Nectaire fermier vous m'en direz des nouvelles!!!)
Y a de la chance que pour la charogne!![]()
Et moi qui ne pourrai pas venir...
avec ces histoires de se laisser faire par une femme que même c’est agréable et de bonnes bouffes autour de bons jeux, ils vont finir par rendre visible le leprechaun, moi, j’vous l’dit!!! lol
Chifoumi, l’invisible
Aldebaran dit:
ce n'est malheureusement pas moi, je n'ai jamais résidé à Valence.
DUNWICH EST DE RETOUR!!!
ROYAUME-UNI • Ressusciter la ville engloutie
Trente ans d’obstination vont permettre à un archéologue marin de reconstituer l’apparence de Dunwich, une ville florissante du Suffolk engloutie par la mer au XIIIe siècle. Les explications du quotidien The Independent.
Une zone inondée à Dunwich, dans le Suffolk
AFP
Lorsqu’on passe aujourd’hui à Dunwich, on ne voit qu’un petit village tranquille situé en bordure de falaises abruptes tombant sur des plages de galets. Parfois, les vagues déplacent les galets, qui révèlent alors les restes d’impressionnants d’ouvrages de défense contre la mer gisant parmi les rochers comme de grosses baleines échouées. Ils avaient été édifiés pour ralentir l’érosion qui rongeait inexorablement la plage et devait peu à peu faire sombrer dans l’oubli ce qui fut jadis une cité florissante. Car la vraie ville de Dunwich gît sous les eaux grises et glaciales, enfouie à 15 mètres de profondeur à près de 1 500 mètres au large.
Avec ses neuf églises, ses cinq monastères, ses trois chapelles et ses deux hospices, l’Atlantide britannique va bientôt être rendue au regard des hommes pour la première fois depuis qu’en 1286 la côte a été battue par une succession de fortes tempêtes et attaquée par la montée des eaux, jusqu’à ce que l’érosion côtière achève de faire disparaître la ville.
Depuis trente ans, un homme, Stuart Bacon, archéologue marin et directeur des études sous-marines du Suffolk, cherche obstinément à redécouvrir cette cité reposant sous les flots. Il a effectué plus de mille plongées sur le site médiéval – avec de faibles résultats, car les eaux brassent une telle quantité de sédiments que la visibilité ne dépasse guère quelques centimètres. Il a exploré les lieux au toucher, à l’aide d’une carte dessinée en 1587 qui s’est révélée remarquablement précise. En 1973, Bacon a découvert les vestiges de l’église Saint-Pierre, engloutie par la mer au XVIIIe siècle. En 1979, 1981 et 1983, il a organisé des expéditions de plongée faisant intervenir jusqu’à 60 plongeurs répartis sur six bateaux, avant d’atteindre les limites de ce que permettaient les techniques disponibles dans des eaux aussi sombres.
Mais, à partir de mai prochain, l’archéologue fera équipe avec David Sear, professeur à l’université de Southampton ; ils utiliseront des technologies d’imagerie acoustique sous-marine de dernière génération pour révéler les secrets du passé.
Grande rivale de Londres, Dunwich a bâti sa prospérité sur son port, d’où partaient la laine et les céréales et où arrivaient le poisson, les fourrures et le bois des pays nordiques, les toiles de Hollande et les vins français. Sa splendeur n’avait d’égale que celle de ses bâtiments. Mais, dès 1279, à l’époque où Dunwich possédait 80 grands navires, la mer avait déjà amorcé son œuvre destructrice, charriant constamment des galets dans le port. Les habitants luttaient âprement pour sauver leur gagne-pain, pelletant à la main les pierres et le sable et consolidant les digues. Ils ont perdu cette bataille : l’érosion était à l’œuvre depuis 8 000 ans, lorsque le Suffolk s’est scindé des Pays-Bas ; depuis 2 000 ans, à Dunwich, la ligne de côte recule en moyenne d’un mètre par an.
En 1832, le lieu, pratiquement déserté, a perdu son statut de commune, mais le site n’a en revanche rien perdu de son romantisme. Les promeneurs continuent d’y affluer pour admirer les vestiges ou nourrir leur imagination. Jusque dans les années 1950, on trouvait encore sans mal des pierres des anciennes bâtisses sur la plage.
La mer livrera peut-être ses secrets grâce au sonar multifaisceaux renvoyant des images acoustiques du fond de la mer, au GPS permettant de localiser des objets avec une précision de moins d’un mètre, et à un “profileur de fonds marins” capable de repérer des objets enfouis sous le fond. Mais elle ne relâchera pas son emprise. Le service d’urbanisme local n’envisage d’ailleurs pas de reconstruire des digues pour protéger la Dunwich d’aujourd’hui de la montée des eaux : il a choisi une politique d’accompagnement du recul naturel du trait de côte. La grandeur de l’Angleterre médiévale restera ce que Daniel Defoe [l’auteur de Robinson Crusoé] appelait “un témoignage de la décadence des choses publiques”.
Repères
• L’histoire de Dunwich remonte très loin dans le temps. La ville a un temps été romaine, et il est probable que le site soit celui de la légendaire Dumnoc, où saint Félix de Bourgogne, le missionnaire qui introduisit le christianisme dans l’est de l’Angleterre, établit son premier siège épiscopal.
Paul Vallely
The Independent
Bon je viens de rentrer en France , le 10 je vais pas etre dispo . Je vais voir pour organiser une partie d’ici 2 - 3 semaines .
Uruvela dit:Bon je viens de rentrer en France , le 10 je vais pas etre dispo . Je vais voir pour organiser une partie d'ici 2 - 3 semaines .
R’LYEH au japon!!
Lors d’un repérage en 1985 par un tour opérateur en plongée sous-marine, Kihachiro Aratake découvrit dans les eaux claires de Arakawa Point, à la pointe sud de l’Ile Yonaguni dans les Iles Ryukyu, une énorme structure de pierre qui semble être mégalithique. Cette structure est pourvue d’immenses terrasses interrompues par de très grandes marches angulaires et de très grandes parois à l’apparence lisse. La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25 mètres de haut. Il faudra au moins dix ans pour que les médias relatent la découverte.
Les premières études sérieuses sont entreprises en 1996 par le professeur de géologie Masaaki Kimura de l’Université de Ryukyu, qui crée l’UAET (Equipe d’Exploration d’Archéologie Sous-marine). Il déclare lors d’une interview en septembre 1999 que l’on peut selon lui clairement voir que ce sont des constructions faites par l’homme : il y a des rues, des escaliers à angles droits, des trous ronds dans certaines roches qui semblent prévus pour l’insertion de piliers de pierre.
Bien d’autres ruines sous-marines sont découvertes par la suite par son équipe au sud-est des Iles Shihuan et dans les régions alentour. La découverte d’une pierre ressemblant à une tête humaine et de sortes de hiéroglyphes est particulièrement convaincante pour Kimura. Lors d’une interview à l’université de Ryuku, le professeur expose les cinq points qui lui font croire que ce monument est, au moins partiellement, créé de la main de l’homme : 1. la forme générale, qui lui parait semblable à un château fort ou à une pyramide ; 2. la grande quantité de marches de 20 cm de hauteur évoquant un escalier ; 3. la présence de formes qui, selon lui, ne peuvent être dues à l’érosion des vagues ; 4. l’existence au fond d’une sorte de route avec peu de fragments de pierre, rendant improbable que cette structure soit le fruit d’actions naturelles ; 5. la présence d’un muret en pierre longeant cette route.
Selon Maasaki Kimura, ce monument servait à la fois de château et de temple. En regardant un modèle à l’échelle assemblé après plusieurs explorations du site par son équipe et lui-même, ils lui trouvent une ressemblance avec le château d’Okinawa (XIVe siècle). Les similitudes avec le château de Nakagusuku incluent des zones de marches avec de grandes terrasses plates, une arche pouvant être une porte d’entrée localisée du côté Ouest du monument, et plus profond, des trous inexplicables situés sur une autre section. Au sommet du monument se trouve une ouverture conduisant vers le bas, évoquant la présence possible de tombes.
grouik dit:Uruvela dit:Bon je viens de rentrer en France , le 10 je vais pas etre dispo . Je vais voir pour organiser une partie d'ici 2 - 3 semaines .
Oki!
Uruvela dit:
Avec dunwich d'ailleurs
Versailles .
PS : et j’ai une grande table
Uruvela dit:Versailles .
PS : et j'ai une grande table
Si y a un desistement pour dimanche, je colmate la brèche !
Jarkus dit:Si y a un desistement pour dimanche, je colmate la brèche !
hé, vous qui avez l’air calés sur le mythe de C… dans les montagnes hallucinées, quel est le nom JDResque ou Hà A des “Anciens” ? ça correspond à quelle créature ?
Tu parles des Mi-Go??? désolé je vois mal ta question car y’a plein de symboles bizarres…
grouik dit:DUNWICH EST DE RETOUR!!!
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ROYAUME-UNI • Ressusciter la ville engloutie
Trente ans d'obstination vont permettre à un archéologue marin de reconstituer l'apparence de Dunwich, une ville florissante du Suffolk engloutie par la mer au XIIIe siècle. Les explications du quotidien The Independent.
Nous sommes riches!!!